Tel père, telle fille (Olympe)

*Guerrera, un nom qu'Alexander connaissait. Aussi désintéressé soit-il par les petites gens, il avait décelé en cet homme un potentiel. Il avait nourri ses craintes, la peur prenant le pas le poussant à toujours chercher plus de puissance, une quête de puissance qui aurait du être sans fin, mais c'est alors qu'entra en scène l'amour d'un père pour sa fille. Pfeuh, l'amour.. quelle vaste idiotie. Les gens parlent de l'amour comme d'une force à toute épreuve, des idiots. Ce qui rend fort dans l'amour, c'est la peur. La peur de perdre l'être cher, la peur de ne pas être assez bien, la peur d'être trahi. La peur prenait sa source partout, c'est elle qui était forte. C'est pour ca qu'elle ne pouvait qu'être incarnée par lui, un être dont la perfection ne peut-être ignorée. Un être qui dispense cette force à tout le monde sans distinction. Après tout, les dieux n'ont-ils pas tendance à se faire craindre pour régner? Il avait donc miser beaucoup sur cet homme qui finalement c'était laissé aller à la faiblesse de l'amour pour une fille aussi peu intéressante que d'une banalité affligeante. Le blond avait essayé de le ramener sur le bon chemin, mais au final il s'était enfoncé dans son erreur et avait grandement déçu Alexander. Hors, il à horreur d'être déçu alors il à attaquer dans ses rêves se faisant de plus en plus violent jusqu'à finalement le tuer dans ses rêves et par conséquent dans la réalité. Aujourd'hui qu'il était à Mystic Falls et qu'il avait retrouvé sa bonne humeur légendaire grâce au retour dans son existence de sa louve favorite, la douce Aliana dont la peur possède un goût d'une douceur incomparable, il entendait à nouveau le nom de Guerrera. Cette fille qui lui avait coûté un élément prometteur était là également. Mais c'était noël avant l'heure? Parfait. Les planètes étaient parfaitement alignées semblait-il, mises en places pour lui. Pour lui accorder leur bénédiction et le récompenser en lui offrant à la fois le retour de sa petite poupée et une vengeance qu'il attendait assez impatiemment. Puisqu'il n'avait pas pu manipuler le père plus longtemps, il allait voir si la fille pouvait se montrer d'une quelconque utilité.

La nuit régnait sur la petite ville et Alexander avait les yeux clos dans son bureau, assis face à la fenêtre. Il se concentrait, se baladait à travers les rêveurs jusqu'à atteindre sa proie. Olympe. Un sourire étira ses lèvres. Il devait mettre en place le décor. Une foret, en pleine nuit. Pas de lune. La perdre au milieu des arbres. Elle était là, le jeu pouvait commencer. Il fit apparaître le père d'Olympe, le faisant avancer vers elle en répétant son nom. Il était mortellement blessé et tombait à genoux devant elle*

Olympe... Mi Hijà.. Pourquoi ne m'as tu pas écoutée....? Pourquoi avoir quittée la meute...?

*Alexander observait la scène tranquillement, invisible aux yeux de la brune. Il se plongeait dans son esprit, voyait ce qu'il pouvait en utiliser. Tant de choses intéressantes. Tant de choses qu'il pouvait exploiter. Il commençait évidemment par jouer sur sa culpabilité*

La meute est moins forte séparée... Nous étions moins fort sans toi...

*L'illusion du géniteur Guerrera se mit à cracher du sang sur Olympe et Alexander souriait de plus belle. Il allait tirer profit de la situation, il allait briser la demoiselle, il allait s'assurer qu'elle deviendrait l'arme que son père aurait dû être. Elle paierait son affront.*

Il à attaqué... Je n'ai rien pu faire... Il te connaissait... Me hais-tu à ce point..?

*Après la culpabilité, ajoutons un soupçon de réflexion. Laisser le cerveau de la demoiselle faire germer l'idée qu'Alexander plantait, l'idée qu'il voulait développer, l'idée sur laquelle il construirait la haine de la brune. Cette haine qui la consumerait et la transformerait en un parfait outil de destruction qui divertirait Alexander quelques temps comme tant d'autres avant.*

Avatar : Marilyn Lima Messages : 107 Date d'inscription : 23/05/2021

Tel père, telle fille

Olympe & Alexander

Les paupières sont lourdes, et le sommeil prend place. Morphée vient s'emparer d'elle. Elle ouvre les yeux, et voilà qu'elle se trouve dans une forêt. Il fait nuit. L'esprit confus, elle regarde tout autour d'elle. Des arbres à l'horizon, juste des arbres. Déambulant dans les pénombres de la forêt, elle tend l'oreille. A la recherche du moindre petit bruit. Un animal, une branche qui craque. Mais c'est finalement la voix de son père qui l'interpelle. Attendez... quoi ? Elle l'entend répéter son nom. « Papa ? » appelle t-elle à son tour alors qu'elle accélère le pas à travers les branches cherchant frénétiquement autour d'elle. Tout ça n'a pas de sens. Il est mort. Mais elle l'entend. L'esprit est confus. L'esprit est persuadé que c'est de lui dont il s'agit. Et là elle le voit, il s'avance vers elle. Quand elle remarque qu'il est blessé elle court vers lui. « Papa ! » s'exclame t-elle alors que ce dernier tombe à genoux devant elle. Elle s'accroupie et l'attrape afin de le mettre dans une position confortable. Il doit se ménager. Elle sent une boule se former dans sa gorge alors qu'elle plonge son regard dans le siens. Des tonnes de souvenirs lui reviennent en tête et lui picote les yeux. « Qu'est-ce qui t'es arrivé ? » demande la louve alors qu'elle tente de retenir les larmes qui menacent de couler en le voyant ainsi, si faible. Il lui demande pourquoi elle a quitté la meute. Il faut dire qu'elle n'était pas du tout en symbiose avec sa façon de faire. Son coeur se serre. Elle ne pouvait pas rester, c'était plus fort qu'elle. Mais pourquoi ça fait si mal maintenant ? « Tu sais très bien pourquoi je l'ai fais. Je pouvais pas rester la-bas... Il faut, il faut qu'on te soigne, d'accord ? » elle tente de regarder autour d'elle, si elle peut trouver quelque chose pour compresser la plaie. Elle attrape des feuilles morte et tente de faire pression. Pas question qu'elle le perde. Pas encore.

Nous étions moins fort sans toi. La boule de tristesse qu'elle retient depuis tout à l'heure au fond de sa gorge se fissure et une larme roule sur sa joue. Olympe n'a jamais été du genre à exposer ses émotions, mais là la culpabilité la frappe de pleins fouet. Voir son père ainsi est un véritable crève coeur. « Je sais... Je suis désolée. Je suis tellement désolée. Je voulais pas que ça finisse comme ça. Je te le jure. Je m'en veux tellement si tu savais » Elle s'en veut surtout pour leur dernière conversation téléphonique. Celle ou il a tenté de la fiancé avec un autre, où elle l'a envoyé violemment boulé. Elle lui a dit un tas de truc pas gentil. Et elle regrette tellement. Elle aimerait effacer le film et revenir en arrière. Il se met à cracher du sang, et la panique gagne le coeur de la jeune alpha. Non non non. « Bouge pas. On va te soigner. Ca va aller » dit-elle pour le rassurer. Ou plutôt pour se rassurer soi-même. « Ca va aller » répète t-elle encore une fois. Elle le berce contre elle, continue d'essayer de compresser la plaie. Ce sentiment d'impuissance face à la situation est en train de la bouffer. Elle ne peut pas le regarder dépérir sans rien faire quand même ! Soudain il se remet à parler. Il parle d'un il. Celui qui a attaqué. La tristesse se remplace par une colère grandissante, et un grognement bestial sort de sa bouche. « Qui ? Qui t'a fait ça ? » qu'elle aille lui faire la peau. Son visage se durcit, il devient menaçant. On ne touche pas au gens qu'elle aime sans subir la fureur de la louve. Soudain l'incompréhension s'affiche sur son visage. Elle fronce les sourcils quand il affirme qu'il la connaissait « Quoi ? » questionne t-elle, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire. Colère, incompréhension, puis tristesse de nouveau quand son père se demande si elle le hait à ce point. « Mais non, je ne te déteste pas. Je n'ai jamais réussi à te détester » les larmes coulent toute seule. Non elle n'a jamais pu. Elle aurait voulu. Elle a essayé. Et même si son père était très loin d'être parfait, il restait son père et elle l'aimait. Plus que tout. Il est sa famille. Et c'est pour ça qu'elle doit le venger. On ne s'en prend pas aux Guerrera impunément. « S'il te plait, dis moi. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? » demande Olympe, elle veut savoir. Elle a besoin de savoir. Car c'est ce qui la bouffe quotidiennement. Depuis sa mort, une partie d'elle est morte avec lui. Et même si elle tente de se montrer forte, elle souffre de cette perte tous les jours.

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*Alexander aux commandes de ce drame qui se jouait prenant sa source dans l'esprit de la jeune louve, se nourrissant de sa culpabilité de ses peurs et de sa tristesse, le rêve avait tout de la réalité grace à la maitrise de son architecte, tout à un détail prêt, cet homme mort depuis un moment qui pourtant se tenait la, certes condamné mais encore vivant. Le croquemitaine observait tranquillement la scène à l'abri de la perception de la louve qui était bien trop obnubilée par son géniteur mourant pour penser à autre chose. Ce géniteur, une poupée fabriquée de toutes pièces, un pantin dont Alexander tirait les fils à sa guise. Envahir les rêves de quelqu'un c'est s'offrir un accès à ses souvenirs, ses pensées, ses doutes, ses peurs. Ce sont ces dernières qui alimentent Alexander mais le blond aime à faire plus que simplement se nourrir, surtout lorsque cela concerne une vengeance. Il se devait de marquer le coup et allait montrer à cette gamine ce qu'il en coûtait de s'immiscer dans ses plans pour les réduire à néant. Il observait donc la demoiselle qui s'excusait, il entendait dans sa voix sa volonté de retenir ses larmes. Le blond se délectait de la détresse de cette brune qui voulait réussir l'impossible, sauver son père. Il se délectait du désespoir, des suppliques, des justifications qu'elle offrait. Il essayait de se convaincre plus que de convaincre son père, elle cherchait à se rassurer et se reposait sur sa force, la pauvre, elle ignorait à quelle point elle était faible en ce monde dont il était le maître incontesté. La colère remplace peu à peu la tristesse alors qu'Alexander dirige la discussion sur le "coupable". En effet, le blond à un plan bien défini en tête. Une idée précise du déroulement de ce petit voyage mémoriel qu'il allait offrir à Olympe.

Le père Guerrera regardait sa fille dans les yeux alors que son souffle se faisait plus rare, sa voix plus faible. Alexander claqua doucement des doigts et Olympe put voir une petite fille, elle et son père plus jeune un peu plus loin devant elle. Ils rejouaient des souvenirs agréables de moments père/fille. Des discussions, des moments tendres. Alors que le père mourant reprit la parole doucement*

Mi hija... Nous étions si heureux tout les deux... Tu nous à trahis... Mi hija... Il est venu... Tu n'étais plus là... Tu aurais dû... Tu aurais été assez forte pour l'arrêter... Mais tu nous as abandonné...

*La voix du vieux loup-garou s'affaiblissait et son souffle s'estompa peu à peu jusqu'à ce que la vie s'échappe définitivement de son corps. Maintenant que colère et culpabilité étaient assez forte, Alexander allait offrir à la belle de quoi réfléchir, il allait lui offrir quelqu'un contre qui diriger cette colère. Il puisait dans ses souvenirs, ses découvertes, son passé pour lui offrir le coupable idéal. D'abord juste une voix dans la forêt*

Hey Olympe... Toujours aussi belle ma foi. Cela fait longtemps..

*Après ces quelques mots la voix prit forme derrière elle. Un jeune homme aux cheveux bruns, un sourire léger sur les traits. Xander. Ses vêtements maculés de sang. Il regardait Olympe et penchait la tête doucement. Alexander s'était appliqué sur l'apparition de ce garçon qui prenait une place importante dans les souvenirs et les émotions de la jeune Guerrera. *

Allons Olympe, tu le détestais presque autant que moi.. Tu n'as plus à faire semblant. Il ne pourra plus dicter ta vie désormais..

*La voix du jeune homme était mielleuse et exultait la joie. Il semblait parfaitement heureux de la situation le regard posé sur le corps désormais sans vie de l'ancien alpha. Il estompa un peu du sang sur sa veste d'un geste empli de dédain avant de reporter son regard sur la jeune Olympe. Alexander au loin profitait du spectacle, se demandant ce que serait la réaction de la brune, comprendrait-elle immédiatement ce que son rêve lui suggérait? Aurait-il besoin de pousser les révélations aussi fausses soient-elles plus loin? La rage la consumerait-elle immédiatement? Ou bien d'abord l'incrédulité, la tristesse et l'horreur feront une apparition? Tant de possibilité qu'Alexander avait hâte d'observer. Tant de souffrances à venir, il ferait d'elle une arme, c'était décidé mais pour en faire une arme, il allait devoir la forger et quoi de mieux pour cela que les flammes ardentes d'une rage incontrôlable?*

Sujet: Re: Tel père, telle fille (Olympe) Jeu 2 Sep 2021 - 9:35

Tel père, telle fille

Olympe & Alexander

Voir son père ainsi, aussi faible et sans défense c'est une chose à laquelle Olympe n'a jamais été habitué. D'habitude c'était lui qui tenait la vie de ses victimes dans le creux de sa main. C'est d'ailleurs pour ce genre de comportement que la jeune Olympe avait pris ses distances. Sauf que désormais c'est le grand méchant loup qui est désormais à l'agonie. Et Olympe ne peut pas faire comme si ca ne la touchait pas. Car malgrè tout il reste son père, et elle l'aime. Sa mort a été une déchirure intèrieur, et la revivre est une souffrance qu'elle aurait préféré éviter. Les mains maculé de sang, Olympe tente désespérément de compresser la blessure mortel de son père. Mais ça ne suffit pas, elle en est consciente et pourtant elle s'accroche. Elle ne peut pas le perdre. Pas encore une fois. Elle s'y refuse. Elle doit trouver un moyen de le sauver. Ils se sont quittés en mauvais therme, et ça elle le regrettera toujours. Elle écoute son père parler, il l'accuse, lui fait comprendre que c'est de sa faute et ca lui crève le coeur. Le liquide salée embaume ses yeux alors qu'elle secoue la tête négativement « Nan ce n'est pas vrai. Je ne pouvais juste plus cautionner tout ça... ». Son père a fait beaucoup de mal, bien trop. Toute ces meutes décimés ou mise à genoux pour agrandir son pouvoir. Ces cadavres de ceux qui n'allaient pas dans son sens. Rester à la meute c'était cautionner ça, et elle ne voulait pas. Alors oui, son père a fait des efforts, pour elle, pour renouer leur lien. Mais voilà, Olympe avait commencé une nouvelle vie qui lui plaisait. Elle n'était pas prête à tout quitter, et encore moins pour se marier à un inconnu. Sujet de leur dernière dispute d'ailleurs.

Pour l'heure elle veut savoir. Elle veut savoir qui est le responsable. Qu'elle lui fasse payer comme il se doit. « Pour arrêter qui ? Réponds moi ! » mais c'est trop tard. L'alpha souffle sa dernière bouffée de vie. Le coeur de la louve s'affole. Ses yeux s'écarquillent. « Papa ? » non. Non pas encore. Elle se met à le secouer. « Papa ? » l'appelle t-elle plus fort en le secouant encore plus comme si ca allait le réveiller. « Papa !! » crie t-elle cette fois-ci en continuant de le secouer. Mais plus rien. Elle sent son coeur si lourd dans sa poitrine, une boule dans la gorge se former. Cette fois-ci elle ne peut empêcher un sanglot sortir de sa bouche. « Non, non non, reviens. T'as pas le droit, tu peux pas m'abandonner, aller ! » les larmes coulent toute seule sur son visage. La douleur qu'elle ressent face à son corps inerte est abominable. « Je t'en prie » dit-elle en continuant de le secouer. Se résignant à la fatalité qu'il ne reviendra pas, elle finit par se fatiguer « Je suis tellement désolée » sanglote t-elle.

Puis une voix raisonne. Les instinct et les sens de la louve s'éveille. Elle se relève d'un coup, aux aguets. Le coeur encore chargé d'émotions, elle reste néanmoins vigilante. « Qui est là ? » demande t-elle. Cette voix, elle a l'impression de la connaitre. De l'avoir toujours entendu. Si proche et si lointaine à la fois. Elle réveille un truc en elle. Une nouvelle fois il parle, la louve fait volte face et tombe face à... Xander. Son coeur fait un salto dans sa poitrine. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas vu ce visage. Visage qu'elle avait aimé plus que tout. Et qui l'avait trahi et abandonné. Mélange de rancœur, colère, tristesse mais aussi d'amour. Beaucoup d'amour malgré tout. Du moins jusqu'à ce qu'elle le voit avec tout ce sang. « Xander ? » questionne t-elle surprise et incrédule. « Qu'est-ce que tu... » souffle t-elle alors que son cerveau commence à faire la connexion entre ses mots et le sang sur ses vêtements. Non. C'est pas possible. Pas lui. Pas ça. C'est un cauchemar. Elle doit rêver. « Qu'est-ce que t'as fais... » dit-elle sous l'état de choc alors qu'elle l'observe avec des yeux tout rond. Son coeur ratte un battement. Ne lui dite pas que c'est ce qu'elle croit ? Certes, elle sait que Xander voulait se venger de son père. Mais elle pensait qu'il avait finit par dépasser ça en tombant amoureux d'elle. C'était-elle trompé ? Oui visiblement. Elle sent alors une haine et une rage l'envahir d'un seul coup. La louve en elle prend le contrôle alors qu'elle se jette sauvagement sur lui dans un grognement bestial. « Qu'est-ce que t'as fais !? » lui hurle t-elle dessus sauvagement. L'attrapant par le cou et le plaquant avec violence à un arbre de la forêt. Une partie d'elle aimerait qu'il ait une explication, qu'il lui dise que ce n'est pas lui. Mais c'est trop évident maintenant. La colère continue à gronder en elle alors qu'elle sert plus fort sur sa gorge, elle finit par le balancer plus loin au sol. « Comment t'as pu me faire ça !? » hurle t-elle alors qu'elle court de nouveau dangereusement vers lui pour le plaquer au sol. « Comment !? » hurle t-elle de nouveau, alors qu'elle finit par lui assener un violent coup au visage. La rage dans le coeur.

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