Soirée amusante. [Almaël/Astrée]

Soirée amusante  

Doucement la routine se réinstalle, professeur le jour, barman le soir et les weekend. Bon je dis routine, mais le mot est mal choisi au final, parce que aucune de mes journées en se ressemble, je le supporterais jamais et tous le monde le sais ! Enfin, ce soir je suis au bar, à jongler avec des bouteille, faire danser le shaker, marier les saveurs pour les palais, ajouter de la liberté pour les vampires désireux. Ma tête se relève à chaque personne entrante, sourire aux lèvres je salut tout à chacun d'un signe de tête et d'un bonsoir. Non je ne suis pas si bienveillant gratuitement, un client satisfait est un client qui revient, puis si mon sourire et on corps peuvent vendre je dirais jamais non. Enfin sauf se soir, se soir mon corps appartient déjà à quelqu'un, d'ailleurs c'est l'une des raisons de mon accueil si rapide aussi, je guette l'arrivée de ma petite Astrée. Rien de sérieux entre nous, nous profitons juste l'un de l'autre mutuellement dans le respect, nous offrons de bon moment tout simplement. Pour résumé, l'avantage d'un couple sans les inconvenants, alors comment ne pas craquer !

Je relève à nouveau la tête, nouvelle déception, mon azure retrouve mon comptoir, riant doucement de moi même, de l'impatience inattendu qui me ronge. Le pire c'est que je suis pas si pressé que ça, bien entendu j'ai hâte qu'elle arrive, mais j'ai quelques clients pour me divertir. Vraiment cet homme totalement maladroit qui drague sa voisine sans voir qu'elle n'a d'yeux que pour le mec trois table plus loin m'offre un spectacle sympathique. Quant à elle, son maniement est aisé, un style qui lui est propre, une façon subtile de manipuler se pauvre jeune homme pour se faire rincer, l'admiration me touche. Le spectacle est un régale pour mon esprit malsain.  La commère qui est en moi est aussi occupé par un autre couple qui s’attelle à une découverte buccale mutuelle depuis un moment, pour peu un nouveau record mondial va s'établir dans mon établissent. J'arrive même pas à savoir si cela me plairais ou non.

Nouveau bruit de porte, nouveau regard, et enfin vient la libération de mon attente. Un sourire s'étire sur mes lèvres. Nos regard ne se croisent pas, je la détail pourtant sans discrétion. Un tableau qui teint mon visage de luxure : regard brillant à peine dissimulé, dent mordant la lèvre inférieur d'un demi sourire en coin. A vitesse vampirique, je lui prépare un cocktail à base de vodka, gingembre, cranberries, champagne. Aphrodisiaque ? Bien sûr qu'il l'est ! Je soigne la décoration, petite attention caché dans une cerise pendant sur le rebord. Avant même qu'elle n’atteigne le comptoirs, la boisson glisse sur le plan travail pour atterrir dans les mains d'un employer qui lui servira. Petit temps pour moi, rapide ajustement sauvage de tignasse, lissage de chemise noir d'un geste de la main, vérification des dents et de l'état général du visage dans le miroir à l’effigie d'un célèbre whisky du Tennessee. Une fois mon petit check up boucler en quelques secondes, je me dirige vers l'ouverture pour rentrer en salle.

Un léger rire m'échappe alors que je la coupe dans son élan de discussion quand j'entre dans son champs de vision. «Désolé Alex, j'emprunte cette charmante demoiselle ! » Dis-je à mon serveur en me dirigeant vers Astrée pour la saluer d'un tendre baiser sur la joue. Les mots qu'elle me glisse sensuellement entame la sensibilité de mon épiderme. De n'importe qui d'autre le monsieur Hanson me serait offensant, mais pas de ses lèvres, bien au contraire, il m'amuse, voir peut être m'apprivoise. « Tout le plaisir est pour moi Miss Vizconde. Vous êtes sublime, comme toujours.» Déclarais-je sincèrement en venant remettre habilement de mon index une de ses mèches de cheveux à sa place en effleurant sa joue.  Je récupère ensuite un verre du même breuvage pour venir trinquer avec elle.  «A cette nouvelle soirée magnifique, folle, savoureuse à tes côtés.» Puis ma main ce place dans le creux de ses reins pour la guider vers une table réservé à notre intention, petit coin isolé, pour plus d'intimité et tranquillité, siège cosy s'apparentant à une banquette en U, table basse pour plus de familiarité, et photophores rouge pour une légère note de romantisme. Je tire la table pour lui permettre de se glisser facilement et la rejoins ensuite. « Comment vas tu depuis la dernière fois ma belle ?»

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Soirée amusante.

Almaël & Astrée

Une bonne soirée en perspective qui s’annonce. Aucun doute à avoir sur le sujet. Et pour cause : quand le cœur est en bonne compagnie, la soirée ne peut qu’être amusante. Et la pensée se tournant vers les autres soirées passées, sourire en coin se dessinant sur le visage. Depuis la rencontre avec Almaël, l’amusement du soir a une place importante maintenant dans le cœur. Quelques mots lancés doucement envers l’homme offrant la consommation, même si les yeux cherchent surtout l’attraction de la soirée. Aussi, quand la silhouette du propriétaire des lieux s’offre au regard attentif, le sourire plus grand ne peut que s’afficher sur les lèvres maquillées de rouge. Silhouette tatouée abandonnant l’employé derrière le comptoir, pour se retrouver en compagnie de la tête blonde. Idée bien plus attractive dans l’esprit voulant s’amuser. Sourire charmeur se dessinant sur le visage, alors que le nom de l’homme est doucement prononcé. Clin d’œil lancé, alors que le compliment atteint doucement le chemin du cœur, frisson agréable remontant le long de la colonne vertébrale. « Je peux vous retourner ce compliment, Mister Hanson. Cette chemise noire vous va à ravir et vous rend …. Hum …. Attractif, je dirais ! » Comme toujours, mais les lèvres n’ont pas le besoin de prononcer cette dernière pensée. Mèche rouge glissant doucement sur le devant du visage, mais bien vite repousser par la main tendre de la tête blonde. Effleurement doucement sur la peau pâle de la joue, caresse agréable au toucher, frisson agréable remontant le long de l’échine dorsale. Lèvres reprenant la paille pour siroter une nouvelle gorgée, alors que le patron des lieux commande lui aussi un cocktail similaire. Verres s’entrechoquant pour célébrer la nouvelle soirée s’annonçant. Sourire lancé avant de reprendre une nouvelle gorgée de la boisson sucrée. « Comme toutes nos soirées depuis que l’on se connaît. » Vérité doucement lancée. L’inutilité de cacher ce que l’esprit pense réellement, surtout si c’est pour flatter doucement l’égo du propriétaire des lieux. Exception à la règle lancée depuis le deuxième soir, l’ordinaire faisant que jamais le même homme passe dans le lit, même pour l’amusement régnant dans le cœur. Main se posant sur le creux des reins, sourire lancé avant de suivre le chemin indiqué par la main dirigeante. Talons raisonnant sur le sol malgré la musique ambiante. Le regard se posant sur la table qui semble être réservée, endroit légèrement écarté des autres pour plus d’intimité. Mains du propriétaire bougeant légèrement la table pour permettre aux deux silhouettes de se glisser plus facilement sur la banquette confortable. Silhouette s’asseyant, verre se posant sur le bois magnifique alors que le regard se plante dans celui du propriétaire venant se joindre sur l’assise moelleuse. « Très bien, je te remercie. Plusieurs rendez-vous à la boutique sont prévus, donc que demander de mieux, franchement ? Hormis peut-être de refaire la devanture du salon ? Et toi alors ? » Nouvelle gorgée de la boisson sucrée de prise, alcool diffusant une douce chaleur à l’intérieur du corps tatoué. Main se posant sur celle de l’homme avec une grande délicatesse, doigts frôlant doucement la peau pâle, caresse tendre. Jeu de séduction pour plus d’amusement pour la soirée. « Il paraît que tes cours sont appréciés par tes élèves en tout cas. J’en entends régulièrement parler les soirs où je surveille les dortoirs. Bravo Monsieur Hanson, vous faîtes un carton plein auprès de ces jeunes. » Compliment sous-entendu, à mots couverts, bien que ce n’est que des dires d’élèves. Jambes se croisant doucement sous la table, tissu noir remontant doucement sur la peau, alors que la main manucurée libre vient tapoter doucement les doigts sur le bois. Regard se détournant des yeux attractifs, pour se porter sur l’ensemble du bâtiment. Ambiance battant son plein, comme chaque soir passé ici. « En tout cas, on ne pourra jamais dire le contraire : on ne s’ennuie jamais chez toi ! L’ambiance y est toujours présente. »

Soirée amusante  

L'attente enfin assouvie, je délaisse mes fonctions sans aucun scrupule. Après tout cette équipe c'est toujours passé de moi, ils peuvent très bien continué ainsi, je ne suis qu'un plus, qu'un extra qui s'active selon ses envies, n'en fait qu'à sa tête sans qu'on puisse le blâmer car il détiens le pouvoir. J'ai absolument pas la prétention de me croire indispensable, je ne le suis pas, puis je ne veux pas l'être. J'aime pouvoir m'extraire à ma guise, chose qu'un unique ne peut réaliser. Quelques secondes de remise en beauté plus tard, me voilà à me glisser habillement de l'autre coté du bar et surtout en présence de la magnifique Astrée. Échange de sourire en disant long sur nos pensées respectives, accompagné de regard admiratif tout autant partagé, puis en découle un échange de compliment mérité. Ses mots pesés et réfléchies me font sourire en coin et je hausse les sourcils. « Attractif hein ? Mmmm c'est ... interessant.» Je ne dirais rien plus, m'amusant gentiment de la laisser dans le floue du double sens de ma reprise. Je ne l'ai absolument pas mal pris, il m'en faut bien plus pour prendre la mouche et heureusement d'ailleurs, titiller mon humanité n'est pas de ma volonté.

Tintement de verre à la suite d'un toast que je porte à l'hommage de notre soirée, à nouveau un compliment sort de ses lèvres. « Parce que vous savez les égayez comme il faut mademoiselle !» Déclarais-je sincèrement en lui envoyant à mon tour un clin d'oeil. Puis ma mains se place délicatement dans son dos pour la diriger aisément vers un petit coin que je nous ai réservé. Douce attention qui ne m'arrive jamais, ou pas dans se contexte, il faut dire qu'a part mes deux princesses je ne suis chevalier  que le temps d'une soirée pour tout les êtres vivants de cette planète, même avec Richard, la séduction ne nous  amadoue plus, ou que très peu avant que la luxure nous consume. Enfin, avec cette miss, ce jeu continue et me régale toujours autant, si se n'est un peu plus à chaque fois.

Confortablement installé, j'oriente la discutions sur sa journée. Je suis pas du genre à prendre des nouvelles des autres sans arrière pensé, faut être honnête, mais l'écouter elle, ne me dérange pas, bien au contraire. Je suis même ravie que ses affaires fleurissent, et prêt à lui donner le fond de ma pensé pour la vitrine de son salon. « Darling, tu as juste besoin de peinture et de temps pour ça. Je veux dire, pourquoi payer une fortune pour des artisans, alors que tu as de l'or dans les mains. Refais la peinture et dessine tes motifs toi même Astrée. En plus si la vitrine est à ton art, je suis sur que la clientèle se bousculera.» Je suis sincère avec elle, j'ai eu la chance de voir son travail et il m'a éblouie, il y a pas de doute, la sorcière est doué avec des crayons dans les mains. Je passerait bien sous son dermographe, mais je suis pas sur que l’aiguille résiste au choc, ou que ma peau accepte de garder l'encre. « Tu devrait me réserver un créneaux. Bon on devrais peut être faire ça au marqueur par contre, ça cassera moins de matériel et sera sans doute moins éphémère...»



Question retourné, je réfléchie quelques instants, cherchant quelques détails de ma journée qui ne soit pas ennuyant ni trop illicite. Faut vraiment que je passe moins de temps à synthétiser et à planer. Petit hochement d'épaule et moue penaude mas mignonne, je me lance. « J'ai pas fait grand chose je dois dire, juste aider deux trois gamins pour améliorer leur note de chimie se matin. Et cette après midi, J'ai profité d'un peu de bon temps à Richmond. Rien de bien particulier en soit.» La journée n'a peut être pas été si calme que ça, mais ce n'est pas le moment de l'avouer, il y a des activité qui font mieux de resté à couvert, dissimuler dans une part de notre esprit.


Premier rapprochement physique de la part de la demoiselle, une main cherchant mon attention doucement. Il ne lui en faudra pas plus pour obtenir mon attention. Ma main se retourne doucement afin de pouvoir venir jouer doucement avec ses doigts. Je sourie d'apprendre que j'arrive à faire parler de moi jusqu'à la nuit tombé, dire que je craignait de devoir supporté ses mômes, au final l'entente est prodigieuse. « Et bien, je suis ravie de l'apprendre. Je fais de mon mieux pour les intéresser, pour rendre ses heures sympathique et divertissante. Bon et on va pas se mentir, la chimie est bien plus participative que les cours magistraux, ce qui m'aide considérablement. » Un peu de modestie n'a jamais écorché personne, puis de toute façon je peux pas négliger que défoncé toutes les réactions chimique deviennent extrêmement obnubilante, alors pour des gamins qui découvrent, la fascination doit être la même non ? «Et avec toi alors ? Comment sont ils ? » Certes, surveillante de nuit, la demoiselle n'a normalement pas trop à faire à eux, cependant dormir n'est pas une activité favorite de vampire, puis les loups reste des actifs à l'approche de la pleine lune.

La soirée continu dans l’enchaînement des compliments, bien que se dernier soit bien plus pour mes employés que pour moi. Je n'ai fait que lancer un concept et mettre de l'argent dedans. «Merci pour eux !» Répondis je en montrant le bar d'un geste polie de la main. Puis je me lève avant de tendre une main vers elle, l'autre lacer dans mon dos alors que je me courbe un peu pour une invitation d'un autre siècle mais qui à bien plus de classe que les manières de cette époque « Mademoiselle m'accorderait-elle cette danse pour que je lui montre l'ambiance que je peux apporté de ma propre personne ?»

 

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Soirée amusante.

Almaël & Astrée

L’attraction. Mot prononcé doucement, pour faire sourire et rendre la soirée un peu plus joyeuse. Non pas qu’elle ne le soit pas d’ordinaire, bien au contraire. Mais il est bien vrai que ce n’est pas la peine aux lèvres de devoir prononcer ces quelques mots supplémentaires. Mèche rouge glissant doucement sur le devant du visage, alors que la main vient doucement la remettre à sa place. Une caresse des plus agréables sur la peau pâle. Les verres s’entrechoquant, bruit représentant doucement le commencement de cette soirée. Petite gorgée de boisson prise, avant que la vérité ne se bouscule doucement dans l’air. Une douce constatation, et pour cause, le propriétaire des lieux faisant une exception sans faille dans l’esprit. Jamais deux fois le même amant, les complications pouvant se faire plus facilement. L’engagement pour ennemi, le besoin de s’amuser. Sûrement que le cœur n’a pas trouvé la personne idéale pour continuer à battre au rythme de la passion, jour après jour. Sourire en coin se dessinant doucement, alors que les yeux se lèvent au ciel. « C’est ainsi quand on se trouve en excellente compagnie, mon cher. » L’impossibilité de prononcer le contraire, alors que le blond ne prend pas les choses au sérieux et laisse le temps faire son œuvre ! Aucune prise de tête lorsque la silhouette se trouve à ses côtés, moments d’amusement et de détente uniquement. Main se posant aux creux des reins, moyen simple mais loin d’être brusque, de guider dans la direction souhaitée. Talons claquant au rythme des pas sur le sol, pour voir une table qui a été réservée pour la soirée. Moyen de se séduire toujours un peu plus. Jeu de séduction toujours bien présent, laissant la température grimpée doucement, avant que le feu de la passion ne consume les deux corps en cours de soirée. Silhouette prenant place délicatement sur l’assise, avant que la réponse à la réponse à la question ne se fasse. Hormis encore éventuellement le besoin de refaire le devant du salon, pour attirer plus facilement le regard. Compliment réchauffant doucement le cœur, le tatouage étant devenu une véritable passion. Vivre de sa passion, le bonheur que chaque être peut rechercher. Hochant la tête d’un mouvement positif, le soupir ne peut pourtant s’empêcher de franchir les lèvres rouges. « Tu as sans doute raison. Mais pour ça, il faudra que je me décide la couleur, les motifs à dessiner sur le crépis. Enfin bon, c’est un projet qui me reste en tête pour l’instant, on verra au moment voulu. » Reprenant une gorgée de la boisson sucrée, l’écoute se faisant de nouveau. Sourire se dessinant doucement sur les traits fins, avant qu’une main tendre se pose sur celle du propriétaire des lieux. Clin d’œil lancé avec le rire sincère, contradiction parfaite. Humeur joueuse. « Au marqueur ? Hum … Pas besoin de te réserver un créneau, je pourrais tout aussi bien te faire ça ce soir, à l’abri des regards indiscrets. » Ecoute attentive sur sa journée. Question sincère, aussi, l’attention portée ne peut pas en être autrement. Hochement de tête. Elèves racontant souvent l’affection qu’ils portent au professeur sympathique. « Une journée bien chargée également. » Nouveau frôlement du bout des doigts, jeu lancé pour plus de piment à la soirée. Sujet des élèves abordé, et pour cause, le soir fait souvent l’objet de certaine confession. Rire, avant qu’une petite taquinerie, qui pourrait être sincère, vient franchir la barrière des lèvres. « Sympathiques et divertissantes ? Hum il faudrait peut-être que je m’invite à ce cours pour voir ça de mes propres yeux. Je suis certaine que je pourrais être une excellente élève ! » Bien que la matière n’a jamais été une des préférées. Sourcils se fronçant, la réflexion se faisant. Etre surveillante et professeur, ce n’est sûrement pas le même emploi. « Dans l’ensemble, ça va. Certains font le mur, mais on les repère rapidement. » Regard se détachant de la silhouette du propriétaire des lieux, pour balayer doucement la salle. Endroit vraiment sympathique, ne décevant jamais le cœur remplit d’amusement. Compliment déliant la langue, avant que le sourire sincère ne se dessine sur le visage. Le blond acceptant surtout les félicitations pour ses employés. Main se tendant pour une invitation. D’humeur joueuse, la réflexion pour faire languir le compagnon de soirée. Quelques secondes s’écoulant, avant que le corps ne se relève avec un clin d’œil. « Après mûre réflexion, j’accepte votre offre, Mister. J’espère ne pas être déçue. » Taquinerie, le doute n’étant nullement présent. Main se glissant dans celle du propriétaire, avant que les pas se dirigent vers le centre de la piste. Corps se tournant pour frôler doucement celui du patron. Lèvres venant murmure doucement quelques mots à l’oreille. « Comment mets-tu l’ambiance mon cher ? »

Soirée amusante  

Charmante soirée qui débute autour d'un verre, prise de température en douceur en quelque sorte. Une discutions tournant autour de l’emploie qui s'installe et qui est étrangement loin de m'ennuyer. Au contraire, je m'y intéresse jusqu'à y mettre mon grain de sel, complimentant sincèrement son ego au passage. Léger rire qui m'échappe quand la demoiselle m'avoue qu'elle nage dans le brouillard et se noie dans les détails pour sa devanture. « Alors au moment voulu, ferme tes yeux et regarde simplement se que tu vois. The Humanity était mon idée de base, tous le monde me disais ça ne marchera jamais. Et voilà que j'en suis à ne même plus savoir combien de bar j'ai à travers le monde.»Vantard ? Oui, je reste quand même fidel à mon égoïsme. Cependant c'est un vrai conseil que je lui donne là. Nombreux expert se sont jetés à mes pieds pour me conseiller essayant de touché une part de l'argent que je pouvais investir, et tous les designs, les noms et les fonctionnements qu'ils m'ont proposés n'ont séduit mes yeux et mes oreilles. Des milliers de dollars perdu, pas ennuyeux vus ma richesse déjà fleurissante à l'époque, mais pour une start-up, le bilan pourrait être dévastateur. Jamais mieux servis que par soit même !

Sujet se recentrant sur le métier plutôt que l’environnement de travail par ma demande pour profiter de ses talents. Paradoxe intraitable au vus de ma situation, de ma peau figer dans le temps qui n'acceptera jamais aucun changement, sauf des souvenirs de canine poilu si par miracle ma vie n'y passe pas. Une proposition à la limite de l'indécis dessine un petit sourire en coin sur mon visage alors que mes yeux la regarde faussement choqué, mes doigts s’arrêtant de jouer avec les siens. « Miss Vizconde, quelle alléchante idée. L'homme en moi ne serait y résister, cependant votre idée à aussi réveillé l'homme d'affaire qui sommeil en moi. Que diriez vous, le temps d'une soirée organisé en votre honneur, de venir tatoué éphémèrement la clientèle du bar ? Bien sur un    caché vous sera versé, vos consommations offertes et vous pourrez distribuer vos cartes. Vous auriez tout à y gagner ! Sous condition bien sur que vous réussissiez le test à huit clos, mais j'en doute absolument pas. » Une campagne de pub à mes frais, mais qui cependant, sera tout aussi fleurissante pour mon bar. Mes doigts reprennent leur activité alors que mon azur se plonge dans ses iris en attente d'une réponse.

A mon tour de parler de ma journée, beaucoup de point restant toute fois sous silence, nous parlons maintenant de ses gosses dont nous nous efforçons de donner une éducation. Objectivement, ce point est loin d'être dans mes priorités, arrivée dans mon esprit uniquement par amour pour Aimée. Je me donne donc à fond pour rendre cette tache barbante intéressante.  Effort qui semble intriguer mon vis à vis, qui s'en prendrais presque à moi ouvertement. Regard d'avertissement lancé alors qu'un sourire joueur vire sur mes lèvres.« Vos doutes face à vos paroles de début de soirée sont entrain de vous décrédibilisé totalement mademoiselle ! Mais soit, venez donc voir comment, avec habilité, on peux obtenir l'attention de ses petites têtes !» A mon tour de la provoqué sur son savoir faire pour tenir ses gamins, bien que quelques minutes après je m'en inquiète plus sincèrement. Riant quand elle avoue que certain s'essaie à de si vielle pratique. « Ces ados...Ils n'ont vraiment aucune originalité parfois. »

Temps de passée à des choses plus sérieuse, d’arrêter la parlerie et de passée à l'action. Ma main tendu pour invitation, reste suspendu un moment, le temps d'échange de regard d'abord charmeur qui tournent à la surprise et à interrogation. Jeu lancé qui ne me laisse pas sans réponse, ma main finissant par être attrapé s'occupe de ramener vivement le corps féminin contre mon torse. « Avouez que vous aimez jouer de ma maigre patiente et vous amusez de me faire languir indéfiniment. Méfiez vous du retour de bâton mademoiselle Astrée. » Petit murmure à l'oreille avec un souffle maîtrisé pour faire frissonner l'échine de la coloré, message clôturé par un titillement délicat de son lobe. Je ne pensais pas que se geste me serait rendu, avec encore plus d'aplombs, mais la demoiselle me provoque belle et bien encore. Un sourire étire mes lèvres, en danse, mes talents ne sont plus à prouver. Cinq cent ans de pratique, ou presque, ça aide ! «A vrai dire tout dépends de si vous arriverez à me suivre Miss. » Pique lancé, je m'éloigne de quelques pas, levant mes mains comme le veux la tradition de cette danse si connu à Mistic Fall. Je commence simple, la demoiselle vivant là bas à forcement un minimum de savoir faire sur cette pratique, bon j'aurais pus remonté encore plus, au farandole moyenâgeuse, mais la sensualité n'était pas vraiment d'actualité. Je remonte ensuite les époques, guidant à chaque fois la demoiselle pour ne pas la perdre, et m’apprêtant chaque seconde à la rattrapé en cas d'emmêlage de pied. Les rocks des années cinquante ne pardonnant que très peu pour ça. Bien entendu je fini sur un tango, le grall selon moi, cette proximité des corps qui veulent fusionner encore et encore, les regards passionné et brûlant de désir échanger, je ne connaît rien de mieux. Je ne comprend absolument pas que se savoir faire disparaisse auprès des jeunes pour ses ridicules slow. « Alors, êtes vous conquise par ma façon de mettre l'ambiance ma dame ?» Demandais-je sourire aux lèvres alors que son corps pend sur le coté par la force de mes bras. Bien sur tout cela sous les applaudissements des clients qui ont regardé le spectacle.

 

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Almaël & Astrée

Aveu remplit de sincérité lancé, alors que la devanture de la boutique reste complètement fade. Tristesse dans le fond de l’âme, de voir le projet de la vie ne pas arriver à ses fins, à cause d’un manque total d’inspiration. L’indécision peut parfois être la pire ennemie de chacun. Rire s’échappant des lèvres maquillées, alors que le hochement de tête se fait par la positive, les paroles ayant étaient assimilées. « Je verrais ça de toute manière, quand j’aurai un peu de temps. Les rendez-vous des clients avant tout. Mais effectivement, tes idées sont bonnes. Et si le résultat obtenu est aussi réussi que tes bars, j’ai bien hâte de voir ce que ça donnera. » Le doute que le reste de ses établissements font autant fureur, que le bar de ce soir. Dans tous les cas, l’idée est bien ancrée dans l’esprit, reste à voir quand la réalisation pourra se faire. Pour l’instant, la soirée s’annonce agréable et ce n’est guère le moment de penser à tout ça. Sujet de la conversation dérivant doucement vers l’art du tatouage. Paroles prononcées avec sérieux, la possibilité de pouvoir marquer le propriétaire des lieux au marqueur. Mais à l’abri des regards, cela rendra toujours le moment des plus agréables. L’écoute se faisant rapidement, le sérieux de l’emploi reprenant le dessus. Idée vraiment sympathique aux oreilles, la possibilité de se faire connaître à travers la ville. Surtout en vue de tatouage éphémère, la certitude que les potentiels clients ne regretteront pas leur choix. « C’est une idée vraiment intéressante et alléchante que vous me faîtes là, Monsieur Hanson. Cela permettra à ma boutique de se faire connaître en plus, ce qui n’est pas négociable. J’accepte avec plaisir, on verra plus tard ensemble quand est-ce qu’on met cette petite situation en place. Mais comme vous dîtes, d’abord voir si j’arrive à relever le test à yeux clos, avec le chef des lieux ! » Petit clin d’œil lancé en signe de complicité. Sujet dérivant sur l’autre travail du propriétaire des lieux. Sourire se faisant sur les lèvres, avec un léger rire. « Je viendrais voir avec plaisir alors. » La relance faite, la réflexion se faisant. Les deux métiers ne se ressemblant pas tant que ça, malgré que le public soit le même. Un travail nocturne parfois difficile, surtout quand certains décident de faire le mur. Mais ce sont des enfants, quoi de plus normal que de vouloir tester les limites ? Riant, la tête se secoue négativement, faisant voler quelques mèches. « Aucune originalité, on est bien d’accord. » Soirée dérivant enfin vers le moment de détente. Humeur joueuse, décidant de faire languir un peu le compagnon de soirée. Petite pointe de taquinerie pour finir les dires, bien que le doute n’est nullement présent. Toujours de bonne soirée, depuis que les deux personnes se sont rencontrées. Corps se collant contre celui du partenaire, sourire provocateur aux lèvres, alors qu’un frisson agréable remonte le long de l’échine dorsale. « Vous aimez, Monsieur Hanson, que je joue avec votre maigre patience. Je ne crains nullement le retour de bâton. Allez, allons-nous amuser. » Mais petite taquinerie de nouveau lancée, afin de rendre la soirée un peu plus pimentée. Petit clin d’œil, alors que les lèvres viennent se coller à l’oreille, pour un léger murmure. « J’aime le défi et je ne doute pas que je le relèverai. » Jeu doucement lancé. Compagnon de soirée reculant de quelques pas, alors que la musique se fait entendre. Danse de Mystic Falls. La silhouette ne la connaissant pas par cœur, mais les pieds ne se débrouillant pas trop mal. Diverses danses s’enchaînant, remontant ainsi le fil des années, des époques. Sourire toujours accroché aux lèvres, le corps se libérant de différentes tensions présentes depuis le début de la semaine. Dernière danse se faisant. Tango. Moment sensuel et agréable, les corps et les regards passionnés ne se quittant pas un seul instant. Silhouette se trouvant dans les bras, sous les applaudissements de la clientèle alentour. Rire nerveux s’échappant des lèvres, alors que le corps se redresse. « J’approuve totalement. » Respiration quelque peu rapide, alors que la main se glisse dans les mèches rebelles, pour les rejeter en arrière. Main attrapant celle du compagnon de soirée, alors que les lèvres viennent se glisser vers l’oreille, pour un minimum d’intimité. « Votre public semble vous réclamer mon cher, mais nous avons pourtant une danse qui ne se fait que dans un endroit discret. » Sourire innocent se dessinant lorsque le corps se recule, pour entraîner le propriétaire des lieux à sa suite. Les pas connaissant le chemin menant jusqu’à une des chambres se trouvant à l’étage. Main se posant sur la poignée de porte, alors que le regard croise celui du compagnon de soirée. « Toujours celle-ci j’espère ? Je n’ai pas tellement envie que quelqu’un soit passé dans le lit avant … » Main ouvrant la porte, alors que la silhouette s’avance. Porte se refermant dans un bruit sourd, alors que le corps vient se coller contre celui de l’homme, les lèvres cherchant les siennes pour un baiser passionné.

Soirée amusante  

Compliment et taquinerie, c'est ainsi que la soirée à débuté, c'est ainsi qu'elle continue et qu'elle finira, les derniers seront juste plus houleux. Je n'ai pas à l'espérer, je le sais, ce n'est pas la première fois, nos rencontres sont ainsi, mais ne manque pas de profondeur pour autant. La preuve avec cette échange en cours sur la devanture de sa boutique. Sujet sérieux dans un sens, mais sans oublié le fils rouge, c'est donc avec un demi sourire que je la reprend. « J'ai toujours de bonne idée, en douteriez vous miss Vizconde ?» Alors je l’étonne un peu plus, lui proposant une collaboration entre nos deux entreprises. Rien à voir l'une et l'autre, et pourtant, le mélange est possible et chacun y trouvera son compte. Puis notre travail en commun se voulant d'éduquer les jeunes surnaturel arrive sur le tapis avant que la véritable soirée commence.

Fini la posture assise et décontracté, passage après quelques obstacle taquin au déhanché. Mon DJ est habitué, un simple signe de la main, et nous remontons le temps musicalement parlant avant de par étape revenir à notre époque que je ne me risquerait pas de qualifier. Deux sourires illumine nos visages, c'est indéniable, la colorée sais se faire guider et trouver parfaitement ses pas ! D’ailleurs l'ovation faite par les clients en témoigne, j'ai beau avoir un ego surdimensionné, avec une cavalière médiocre, je ne peux faire des miracles. Cependant, ce dernier sais resté présent pour ne pas complimenté la demoiselle sur sa performance, ou un simple oublie ? On ne peut nier l'intensité du moment non ? Rien que la proposition semi indécente de la miss le prouve. Légère grimasse et regard de biais pour la faire marcher sur mes intentions. « Mmmm, cruel dilemme que de choisir entre mon publique et ma partenaire. » Ma main se place sous mon menton, prétendant réfléchir à cette décision qui est pourtant toute faite. Seulement mes mains se feront attraper et je n'ai rien d'autre à faire que de la suivre, caressant tendrement ses paumes sur le trajet.

Aucune surprise sur notre destination, mon seule étonnement restant mes employés la laissant passer de l'autre coté du bar, mais je suis à sa suite en même temps. Je monte les marches, la basculant de temps à autre pour la taquiner sur son équilibre et volé un baisé sur sa joue ou son front. « Vraiment ? Vous me conduisez vers mes propres appartement ? N'est ce pas déplacé de la part d'une jeune fille ?» J lui adresse un sourire amuser avant que ses lèvres ne s'empare des miennes pour un baisé auquel je répond avec avidité avant de l'attraper dans mes bras pour la porté jusqu'au lit. Déposé sauvagement, je ne manque pas de sauté sur le lit pour la rejoindre retrouvant ses lèvres pour une nouvelle danse tactile. Mes lèvres valsent allant et venant entre ses lèvres et ses lobes alors que mes mains suivent ses courbes avec la hardeur d'un tango. Le temps passe, et nos reins entament de doux slow raisonnant dans tout mon corps, frissons électrique menant doucement à un rock puissant une fois nos vêtements envolés. Douceur, hardeur, passion, sauvagerie, à chacun son petit moment, la seule règle étant de toujours rechercher ses gémissement et les miens, de découvrir de nouvelle sensation et surtout de nouveau plaisir.

Ébat clôturer par un câlin de papouille, fermeté des caresses jouant avec la sensibilité d'une peau après. « Vous me surprendrais toujours Astrée ! » Déclarais-je entre deux souffles. Peu habitué à partager mon lit deux fois avec la même personne, l’ennui me prenant trop vite. Pourtant la sorcière sais y faire, aucune redondance, et un réel plaisir d'arpenter son corps. La tendresse se poursuit un moment, profitant encore et encore du contact de nos peaux, de la douceur de leurs frictions même les plus chaste. Le simple pouvoir d'un câlin au final. Le temps passe,et nos corps se remettent, un derniers baisé et je me lève. Je traverse la pièce ouvrant un tiroir du bureau pour prendre un marqueur et revient vers le lit. « A vous de jouer mademoiselle. Profitons de la sensibilité de la peau qui dure encore un peu.»

 

Codage par Libella sur Graphiorum

Soirée amusante.

Almaël & Astrée

Une danse endiablée, le souffle court qui pourtant procure un fin plaisir le long de la colonne vertébrale. Savoir danser n’est pas donné à tout le monde, mais le partenaire du soir possède ce don sans nul doute, sachant guider comme un maestro. Le fin duvet sur les bras recouverts légèrement de sueur en vue de la température ambiante, alors que le tempo change de nouveau. Nouvelle mélodie raisonnant aux tympans, pas s’accélérant pour se caler sur le rythme. Partenaire savant parfaitement où ses pieds doivent se placer, connaissant toutes les danses des siècles passés. Dernière mélodie, le corps commençant à se fatiguer légèrement. Applaudissements raisonnant pour le maître des lieux, en vue de sa performance bien plus que parfaite. Respiration quelque peu rapide, en vue de l’effort fourni, alors que les lèvres viennent se glisser non loin du lobe de l’oreille, pour venir proposer une autre danse bien plus discrète. L’esprit sachant pertinemment que l’idée sera acceptée, bien qu’il se doute que le propriétaire du bar va tout faire pour faire languir la réponse. Rire raisonnant doucement en vue de la voix raisonnant. Mais le cœur ne voulant pas attendre plus longtemps. Main se glissant immédiatement dans celle du partenaire, avant que les pas ne se mettent en mouvement. La connaissance parfaite des lieux, si bien que la question à savoir où aller ne se pose nullement. Douce caresse dans la paume à chaque pas, sourire en coin s’affichant sur les lèvres en vue de ce doux signe d’affection. Rire raisonnant de nouveau, avant que les épaules ne se haussent une fois, et que le sourire s’affichant produit celui d’un être innocent. « Ne serait-ce pas déplacé surtout de votre part, de vous laisser faire, Monsieur Hanson ? » Main ouvrant au même instant la chambre tant connue. Question doucement posée, espérant sincèrement que personne d’autre ne soit passé dans les draps. Aucune attache certes, mais simple principe de ne pas se poser dans des draps souillés par un inconnu. Lèvres venant à la rencontre de celles de l’amant, alors que la porte se referme dans un bruit sourd. Bras encadrant la silhouette, avant que les deux corps ne se retrouvant sur le confortable matelas. Mains baladeuses caressant le corps de l’amant, alors que les lèvres suivent leur propre exploration. Vêtements enlevés avec ardeur, les deux corps ayant besoin de se retrouver. Mains continuant leur chemin, tout comme les lèvres, remplacées par moment par les dents afin de procurer quelques frissons de plaisir. Corps dansant au même rythme, plus au moins rapidement suivant le moment. Sensation toujours agréable logée au plus profond de l’être, alors que le rythme ne fait que s’accélérer. Soupirs divers raisonnant dans la chambre, alors que les deux corps continuent à s’entrelacer toujours avec une passion dévorante. Passion se terminant, alors que le dos se retrouve posé tranquillement sur le matelas. Respiration quelque peu rapide, alors que la main caresse d’un geste lent, l’avant-bras de l’amant. Rire doucement lancé, alors que les lèvres viennent poser un rapide baiser sur la joue, en guise de remerciement. « Et vous alors Monsieur Hanson ? On peut dire que vous ne faîtes jamais de nos soirées, une habitude redondante. » Le corps ne prenant jamais le même amant deux fois, au risque des attaches mais aussi d’une sorte d’habitude s’installant. Exception envers le professeur et pour cause, la routine ne prenant jamais place au sein des ébats nocturnes. Mains continuant les douces caresses sur la peau encore sensible de l’amant, avant que ce dernier ne se redresse. Sourcil se fronçant, ne comprenant pas immédiatement pourquoi ce réel besoin de s’éclipser du lit, chose qui n’était jamais arrivée avant. Marqueur dans la main, un sourire se glisse sur les lèvres. Main repoussant les mèches de cheveux, alors que le corps se redresse dans le lit, s’enroulant malgré tout dans le drap pour ne pas attraper froid. « Que veux-tu ? Ou alors je fais selon mon inspiration ? Et sur quelle partie du corps le veux-tu ? Même si j’avoue, je verrais bien quelque chose sur les côtes. » L’attente de la réponse, avant que la main ne se mette au travail. Grande concentration, comme à chaque tatouage, bien que là il ne s’agisse pas d’aiguille. L’autre main tendant la peau au besoin, alors que les yeux ne quittent pas un seul instant le dessin commençant à prendre forme. « Ca va tu es bien installé comme ça ? »

Soirée amusante  

La danse rythmera cette soirée, tout d'abord une démonstration aux yeux de tous, spectacle qui aura régalé des yeux surpris dans le meilleur des sens, chacun de nous maîtrisant comme il se doit cet art. Puis une chorégraphie libre, mais totalement personnel, réservée et dictée au seul plaisir du partenaire. Oh, des observateurs ne m'auraient pas dérangés, n'ayant aucune pudeur, et encore moins de complexe, bien au contraire, cependant avec ou sans, rien ne change, mon attention n'étant rivé que sur l'acte et le plaisir partagé ! Les mains continue le ballet sur sur nos peaux émoustiller, pour un calin d'après tout aussi appréciable, « Ne flatter pas trop mon ego Miss Astrée, je risquerais de me relâcher.» Fit-je en riant et en lui adressant un clin d'oeil. Comme ci cela était possible ! L'un comme l'autre n'avons rien à envier à tout ses couples, au contraire, nos cœurs balancent pour la liberté, les expériences sans répétition et aucune exclusivité. Les avantages d'un partenaire sans les prises de tête et les habitudes d'une couple. C'est d'ailleurs grâce à cette envie commune que nous arrivons à partager le même lit a diverse reprise.

Alors que le rideau aurait pus se fermé sur se final, je prolonge d'un nouvelle acte, Cette fois, ce sera à un marqueur d'exécuter sur ma peau les enjamber, entre-chat et autre farandole, guidée par les mains experte de la demoiselle. « Mmmm. Bonne question.» Je n'y ai jamais réfléchie, pourquoi se prendre la tête avec quelque chose qu'on aura jamais ? SI le tatouage est éternel pour la vie éphémère d'un humain, il est tellement éphémère pour la vie éternel d'un vampire qu'il n'en vaux aucune peine. J'y pense donc quelques secondes avant de reprendre la parole. « Que dirais tu que je te mette au défis ? Après tout il y à un contrat à la clé me semble t'il.» Je l'observe, attendant de voir sa réaction à cette petite mise sous pression. Suis je abominable ? Oui et non. J'aime mettre les gens dans des états différent pour observé leur réactions, ce qui peut être perçu comme mal, bien que je ne fasse qu'étudier le comportement humain selon mon point de vue, mais je me permet de le faire parce que je sais aussi qu'elle réussira ce test, qui n'en est pas vraiment un, haut la main. N'est ce pas elle qui à parler de faire selon son inspiration ? « Je te laisse carte blanche, je veux juste pouvoir y retrouver une rose et une couronne qui représente ma sœur, et « psi », la vingt troisième lettre de l'alphabet grec en hommage à mon vielle ami perdu.» Les deux seules personnes qui ont vraiment compté dans ma longue et interminable vie, peut être que la liste se rallongera un jour, mais je ne pense pas, après tout en plus de quatre cent ans, il n'y a eu que eux. A sa demande, je me tourne sur le coté et remonte mon bras sur ma tête pour lui laisser champs libre sur mes cotes. Le chatouillis provoqué par la mine est agréable, comme une douce caresse fraîche, fine et précise. Je ferme les yeux, profitant pleinement de se contact, et tente de deviner se qu'elle dessine. Je marmonne un mmmm quand elle me demande si je suis bien installé. A dire vrai, je pourrais presque m'endormir si la curiosité ne jouait pas de ma patiente. Alors pour me canalisé, de ma main libre, bien que entraver par le matelas, je m'abandonne à des caresses sur les bouts de peau à porté de ma tatoueuse.

Des dizaines de minutes plus tard, me voici devant le miroir à me contorsionner pour admirer le résultat. Je reste là, planté devant le miroir, stoïque, ne dégageant aucune réaction intentionnelle. Faire monté et durée le suspens, mon jeu favori ! Mais pour être honnête, je suis choqué, je m'attendais pas à ça, une énorme surprise, énorme et agréable. Dans mes souvenirs je ne lui ai jamais parlé d'Aimée, bien que notre relation fusionnel se ressente aussi au travail. Quand à se cher Freud, je ne m’épand jamais sur l'amour que je lui portais, notre relation ambiguë est toujours resté secrète, pour toujours et à jamais. Pourtant, ces deux relations complexe ressorte totalement dans son œuvre, comme si l'auteur les avaient vécu, ou les connaissaient sur le bout des doigts. « Je ne sais point si je dois vous féliciter ou pas mademoiselle Vizconde. Par votre faute, je suis encore plus frustré de ne pouvoir marqué ma peau à jamais. » Mon azur reste encore un moment rivé sur mon reflet, un petit sourire s’installent maintenant sur mes lèvres. « Il est magnifique Astrée. Loin de mes idées, mais cent pour cent dans mon envie.» Je m'extirpe avec difficulté de l'image pour retourner sur le lit au près de l'artiste et la récompenser d'un doux baisé. « Tu as gagné le droit de faire une frasque dans mon salon, puisque je ne peux le porté sur moi, il doit être dans ma pièce de vie.»

 

Codage par Libella sur Graphiorum

Soirée amusante.

Almaël & Astrée

La danse remplie de frénésie aux yeux de tous, prend un côté plus secret et intime une fois les deux corps se retrouvant dans la chambre. Moment de plaisir partagé, alors que les deux peaux jouent l’une contre l’autre. Ordinairement jamais le même amant ne partageant un moment aussi intime, mais l’exception se faisant en la personne d’Almaël, pour des raisons de concordance parfaite. La liberté de se voir sans avoir les contraintes d’un couple. Le cœur sachant que tôt ou tard, il devrait se poser, mais l’incapacité pour l’instant a trouvé chaussure à son pied. Aussi, l’âme continuant à vagabonder de corps en corps, afin de trouver peut-être un jour, l’idéal.e pouvant partager la vie future. Doux rêve qui a peu de chance d’arriver, la certitude résidant au fond de l’organe vital. Rire s’échappant des lèvres, alors que les yeux se tournent vers le ciel dans un geste comique. « Vous relâchez, Monsieur Hanson ? J’en doute fort. Ce n’est pas dans votre façon d’être ! » Plaisir presque enfantin de pouvoir se taquiner sans la crainte de blesser l’autre par un mot mal employé. Sourcils se fronçant légèrement d’incompréhension, lorsque la silhouette de l’amant s’éloigne après l’unisson des corps. Mais le regard attentif comprenant la situation, lorsque le marqueur est désigné comme maître de cérémonie pour la suite de la soirée. Question posée afin d’avoir une vague idée du dessin à faire, alors que l’enjeu est toujours ancré dans les pensées. Sourire en coin s’affichant, alors que le regard croise celui de l’amant du soir. Clin d’œil complice lancé, alors que le bouchon du marqueur est retiré. « Je relève le défi. » Ton sans appel, l’âme ayant envie encore de se montrer joueuse pour les minutes à venir. L’écoute se faisant avec grande attention, alors que les pensées s’égarent déjà pour imaginer un motif original. Idées venant très rapidement. « On peut commencer. » Silhouette de l’ami s’installant, avant que les mains ne se mettent au travail. Pointe du marqueur venant frotter contre la peau, alors que les lignes se tracent doucement, avec précision, sans aucune once de précipitation. Les yeux de l’amant se fermant sûrement pour profiter du contact, mais le besoin de s’assurer que tout va bien, comme lors des séances au shop. Le client est toujours roi, et plus l’installation est confortable, plus la douleur est facile à gérer. Bien que pour là, on ne peut pas dire que ça soit un moment inconfortable. Minutes s’écoulant, mais le corps ne prêtant plus attention au temps. Dernier trait de poser, alors que les yeux regardent avec attention le motif et que les mains corrigent à l’aide du feutre indélébile, les quelques points manquants. Sourire heureux, fierté faisant briller les pupilles, alors que le bouchon revient à sa place initiale. « Terminé ! » Le corps se déplaçant pour laisser l’amant se relever, pour aller observer l’œuvre marquée. Rire s’échappant, alors que le soulagement fait place dans le cœur de voir que le motif est apprécié. Touche personnelle glissait dans l’œuvre, moyen de montrer que l’imagination avait été bien présente. Baiser rendu alors qu’une idée vient germer dans l’esprit. « Aucun problème, contente que ça te plaise. Je te ferais uniquement payer la peinture si tu veux bien, pas les heures de travail car je viendrais après mes horaires habituels. » Moyen de se faire un peu d’argent, même si le labeur allait sûrement prendre du temps. Sourcils se fronçant, alors que les doigts passent délicatement sur le motif dessiné. « Peut-être qu’il existerait un sort permettant d’ancrer l’encre dans la peau d’un vampire ? Cela doit bien exister je pense … Je vais me renseigner ! » Sourire sincère se dessinant. « Que vas-tu faire mon cher, une fois que je serais partie ? » Question honnête, l’âme s’intéressant véritablement au quotidien de l’amant et ami.