Petites courses de noël avant l'heure feat LIBRE

Petites courses de noël avant l'heure

Cendrine & Aliana

Une journée de cours qui se termine enfin. Je m’adapte de mieux en mieux à cette vie, mes notes s’améliorent également. Les élèves de la classe se lèvent dans un ensemble impeccable pour se ruer hors de la classe. Comme toujours je préfère attendre qu’ils soient tous sortis. Si je commence à m’en sortir face à eux, je préfère éviter les bains de foule. Leurs regards me dérangent de moins en moins, et je suis capable de rester toute une journée enfermée dans une salle de classe avec eux sans craquer. En somme c’est plutôt une belle évolution quand on sait d’où je viens. Pour cette dernière heure de cours je n’avais même personne chez qui trouver du soutiens en cas de faiblesse. Nathaniel ne partage pas ce cours avec moi, et dernièrement après ce qu’il doit supporter je dois avouer que j’évite de rajouter à son quotidien la charge de mes problèmes. Castiel non plus n’est pas présent, et j’avoue que, de la même manière nous ne parlons pas vraiment de mes craintes lorsque nous nous voyons. Trop occupés à nous mettre mutuellement à l’épreuve dans le but de nous améliorer l’un l’autre. Une fois que tous les élèves ont enfin quittés la pièce, j’adresse un sourire timide à notre professeur et place mon sac sur mon épaule avant de quitter la salle a mon tour.

Contrairement à mes habitudes, je ne remonte pas immédiatement dans ma chambre, mais je prends le chemin inverse pour rejoindre l’extérieur. J’y réfléchis depuis plusieurs jours et ma décision est prise : en cet fin d’après midi je prendrais la direction du centre commercial. Au fond de moi cette idée me théorise. Depuis que je me suis échappée, je n’ai jamais osée me retrouver seule dans les rues de Mystic falls. Mais je ne pourrais pas toujours trouver une personne pour m’accompagner. De plus, le mois de décembre est déjà bien entamé et je n’arrive pas à imaginer être incapable d’offrir quelque chose à ces personnes qui ont tant fait pour moi. Bien-sur j’aurais également pu leur commander quelque chose sur internet, disons que c’est une solution de secours que je pourrais toujours envisager si jamais cette sortie est un échec. Mais j’ai cette envie d’y mettre vraiment de moi même, de prendre le temps de chercher pour trouver quelque chose qui pourrait véritablement leur correspondre. Il faut dire que même si je n’ai que peut de personnes auxquels j’ai ce sentiment d’être redevable, je n’ai pas non plus d’idées précise de ce qui pourrait leur plaire. Même si je connais Nathaniel depuis toujours, ces trois ans coupés du monde me donne l’impression que tout est différent, et je crains vraiment de faire un faux pas. Pour Cast’ c’est différent, même si nous entretenons une relation presque fraternelle je me suis rendu compte que je ne connaissais encore rien de ses goûts dernièrement.
Je réussi à atteindre la zone commerciale, et je dois avouer que j’ai du lutter contre moi même à de nombreuses reprises pour ne pas faire demi-tour et rentrer au manoir en courant. Ma seule motivation étant de ne plus être un fardeau pour ceux qui me sont chers. Quand je rentre dans le centre commercial je suis saisie par le nombre de personnes qui tout comme moi semble avoir choisi cette journée pour faire leurs courses de noël. Je sens mes muscles qui commencent à se tétaniser, et alors que je commence à suffoquer une personne me bouscule. Le contact électrise ma peau est me paraît incroyablement douloureux. Il n’en faut pas plus pour que la louve décide d’intervenir et me permette de reprendre le contrôle. Alors que l’individu est déjà loin un grognement sourd s’échappe du fond de ma gorge, et en espérant que personne n’ai rien remarqué je me précipite dans une direction au hasard pour changer d’emplacement.

De toute évidence le hasard fait bien les choses en me conduisant tout droit face à une librairie, et surtout face à un livre d’on j’ignorais encore l’existence. « Oh, elle a sortit un nouveau roman ! » Depuis que j’ai repris le cour de ma vie, j’avoue avoir passé de longues heures a me perdre dans des livres. Un manière pour moi de m’échapper, et également de m’évader quand les bruits de couloirs tenaient à me rappeler que mon prince charmant de m’appartiendrais jamais. Au moins dans l’univers de ses livres, j’arrive à tout oublier, à laisser de cotés mes angoisses et mes regrets. « Au moins ce sera un cadeau parfais pour moi ! A moins que… »
Alors que je me retourne vivement pour entrer dans le magasin, je manque de percuté une jeune femme. Je fais un bond en arrière afin d’éviter tout contact physique avec elle. Autant pour moi, que parce que bousculé une personne, en soit ça ne se fait pas. Mes sens m’indiquent immédiatement que je suis face à une vampire, et pourtant je n’ai pas l’impression de l’avoir déjà croisée à l’école Salvatore. Quoi qu’il en soit je ne change définitivement pas, car je commence à balbutier tout en me confondant en excuse. «  Je… euh.. pardon. Je ne regardais pas .. je suis désolée, vraiment. »  

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Cendrine & Aliana

Ce genre de situation, c’est un peu l’histoire de ma vie depuis que tout s’est terminé. Je fais preuve d’une maladresse incroyable, et je fini par paniquer quand je me retrouve en contact avec quelqu’un. Il faut dire que depuis toujours je suis du genre à ne pas retenir mes émotions, je suis du genre à m’exprimer sans me retenir, encore plus depuis que la louve fait partit de moi. Il faut dire que le dernier roman que j’ai lu venant de l’autrice datait d’avant mon enlèvement. Ces souvenirs m’ont inévitablement transformée en une sorte d’enfant devant la peluche qu’elle rêve d’avoir. Oui, il en faut peu pour me faire réagir. Seulement je n’avais pas non plus envisagé, que dans cet élan d’enthousiasme je finirais par me transformé en une espèce de tornade qui risque de rentrer en collision avec la première personne sur mon passage.

Ce que j’imaginais encore moins, c’est que je pourrais me retrouver face à une vampire. Depuis mon arrivée à l’institut Salvatore, j’ai éviter un maximum le contact avec les membres de cette espèce. Je dois dire que cette épisode avec Castiel, et son sang qui à rendu fou plus de la moitié d’une salle de classe n’a pas été fait pour me rassurer. Si je dois désormais imaginer le fait qu’il ait besoin de l’une de ses créatures pour survivre, cette idée ne m’en paraît pas moins monstrueuse. L’odeur de la jeune femme ne corresponds absolument pas à celle qui suit mon meilleur ami, elle est différente. Pour autant, instinctivement la louve me hurle de rester vigilante. Un instinct primaire qui s’explique avec la haine que nos espèce semblent se vouer naturellement.  Suis-je en sécurité ? Cette simple question manque de me faire perdre la tête, et je lutte mon garder un souffle régulier. Espérant que mon rythme cardiaque se calme pour ne pas alarmer la vampire en face de moi.  

Pour autant sa réaction face à me maladresse est tout a fait calme. Elle me sourit en m’affirmant que mon attitude ne l’a pas déranger. Son sourire se veut rassurant et j’essaye de lutter contre ces fantômes du passé que me hurle de fuir, de courir aussi vite que je peux pour rejoindre ma chambre de dortoir et ne plus en bouger. Je me surprends même a penser que je me dois impérativement de rentrer saine et sauf. Pour Nate, pour ne plus avoir à lui infliger de tel choses. Pour autant je fait mon maximum pour me concentrer sur sa question, et pour y répondre le plus naturellement possible.

« Je les ais tous dévorés il y a de ça plusieurs années, j’ignorais qu’elle allait ressortir de nouveau récit… et si un nouveau livre est sortit ce n’est plus vraiment une trilogie ! » Exprimer réellement le fond de ma pensée me permet de garder le contrôle, et de reprendre mon calme autant que faire se peut. Son attitude n’ayant rien de réellement menaçante.  Un peu honteuse de ma réaction excessive je tourne légèrement le regard en direction de la vitrine pour éviter de rougir.  C’est alors que je constate la mention « Réédition » sur l’étiquette.

« Oh non, je n’ai rien dit… apparemment il s’agit du dernier tome en fait. » Je ne peux caché une petite mine déçus après cet ascenseur émotionnel. Mais égale à moi même j’affiche de nouveau ce sourire égale sur mon visage. « Enfin, même si je l’ai déjà lu, la trilogie sera un cadeau parfait pour mon meilleur ami ! Tu… tu les as déjà lus ? »    

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Cendrine & Aliana

De toute évidence, la vampire ne semble en aucun cas emprise de mauvaises intentions. Un jour peut-être j’arriverais à me débarasser de ses craintes. A passée outre ces crises d’angoisse incessante. Il faut dire que j’ai perdu l’habitude d’être seule hors des murs de l’école. Je me souviens encore de mon premier entretiens avec mademoiselle Tig. Quand celle-ci à voulut mesurer l’importance des dégats psychologiques causés par le traumatisme de cet enlèvement. Par chance, je ne fais pas partit des ces personnes atteintes au point d’avoir débloqué un syndrome de Stockholm, il n’aurait manqué que ça pour parfaire le tableau tiens. Pour autant il paraît que mes réactions sont « totalement normale ». Cependant quoi qu’il en soit elles n’en sont pas moins handicapante dans la vie de tous les jours. J’ai même du mal à croire que j’ai réussi à arriver jusqu’au centre commercial. Souvent quand j’entends des pas derrière moi je sens un frisson désagréable me parcourir. Quand un regard inconnu se pose sur moi c’est toujours la touche froide, glacée. Et si un jour il me retrouvait ? Serais-je capable de lui échappé maintenant que la malédiction c’est activée. Je suis la première a en douter. Et puis je suis inquiète dès que je m’éloigne de mes proches. Comment survivre si je me retrouvais séparés d’eux une nouvelle fois !


Je suis contente d’avoir autre chose sur quoi me focalisée. Cette discussion littéraire m’offrant une porte de sortie pour m’évader des mes pensées obscures. L’idée de trouver quelqu’un d’appréciable dans les allées de cette galerie bondées me réconforte quelque peut. Après tout le monde extérieur n’est peut être pas si effrayant après tout. Dans un sens je me fais pensée à ses princesse de compte de fée qui son enfermée dans leur château et qui n’en sorte jamais. La seule différence étant que je suis la seule à ériger ces barrières. Comme si elle me protégeais du monde, alors que je ne fais qu’éviter la réalité. Pourtant avant j’étais la première à apprécier flanner dans les rues de la ville. A faire du shopping avec cette petite boule au ventre que ça provoquait quand dans le miroir mon seul soucis était de me demander si ainsi Nathaniel finirait par me remarquer. Maintenant tant de choses ont changées. Quand je porte une robe, ma seule idée est de me concentrer sur ces marques, ces cicatrices qui datent d’avant ma transformation en louve. Ces marques qui montrent ma faiblesse et reflètent des douleurs du passé.


Je me concentre facilement sur les mots de Cendrine, d’ailleurs je ne suis même pas obligée de me forcer à sourire quand elle mentionne l’écriture d’un nouveau récit. «  Oh vraiment ? Je n’en ai pas entendu parler mais je serais heureuse de découvrir une suite. Où peut être même une nouvelle saga. Après tout je trouve sa plume magnifique, au-delà du contenu de ses récits. »

Ça me fait du bien de le focaliser sur autres choses. De penser différemment pendant un instant. Parler tout naturellement avec une parfaite inconnue marque le début de quelques progrets non ? Alors elle renchérit sur mon idée de cadeau, me posant alors la question cruciale, que je ne me suis pas vraiment posée. Est-ce que Castiel aime lire ? A vrai dire je n’en sais rien. Je me souviens de son air perdu lors d’une référence a la guerre des étoiles. Parfois j’ai l’impression qu’il vit dans un monde un peu étranger a celui de ma génération lorsqu’on parle de ce genre de chose. Mais j’oserais presque dire que ça fait partit des choses attachantes chez lui. Après tout qui serais-je pour juger ce décalage avec la réalité.

«  Je dois avouer que je ne sais pas trop… En fait l’idée était de partager avec lui un petit bout de mon univers ! J’espère que ça lui plaira. » A vrai dire elle fait naître en moi un petit doute que je n’avais pas au début c’est pourquoi je me permet de lui poser une nouvelle question «  Tu pense quoi de cette idée ? » Je lui adresse un petit sourire timide avant de conclure. «  Moi c’est Aliana, enchantée. »   

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Cendrine & Aliana

Échanger au sujet de son auteur préféré, voilà finalement une situation que je n’avais pas imaginée. Je suis sortie de l’école Salvatore la peur au ventre, mais je dois avouer que maintenant ça commence à aller mieux. Bien sur, le regard du moindre inconnu à tendance à me procurer cette sensation désagréable d’insécurité. Rectification faite, le regard de tout homme que je ne connais pas me donne l’envie soudaine de disparaître. Définitivement je suis encore loin d’être capable de passer outre ce sale épisode de ma vie. Mais j’ai tellement peur, peur de perdre de nouveau tout ça. C’est aussi cette raison qui me pousse à vouloir absolument trouver un cadeau pour ces deux hommes qui ont pris tant d’importance dans ma vie. Pour Castiel qui n’a pas vraiment eu la vie facile ces derniers temps mais qui pour autant fait tout son possible pour prendre soin de la petite rousse fragile que je suis. Je suis assez contente d’avoir trouvé une idée. Comme me l’a dit Cendrine, je prends le risque qu’il puisse ne pas aimer ce livre, mais je lui ouvre une petite porte vers mon monde imaginaire. Vers un univers qui avant ma disparition ne m’avait apporté que des moments de bonheur. Cependant il ne m’est pas venu en tête une seule seconde que ce cadeau pourrait aussi être une porte ouverte vers un présent qu’il pourrait me faire dans le futur.

C’est décidé ! Ce sera ce livre et rien d’autre. Il faut dire que je me connais, si je passe trop de temps à me poser des questions je risque de faire le tour du centre commercial sans jamais être capable de me décider. Je sors mon portefeuille de ma poche et lance un nouveau regard à mon interlocutrice. Tout en m’apercevant qu’il n’y a plus personne à la caisse du magasin.
«  Dit moi tu voudrais bien m’attendre ici un instant? »
Sans vraiment attendre de réponse je me précipite dans le magasin, attrape un exemplaire de cette nouvelle édition et me dirige au lieu approprié pour payer mon achat. Evidement, je lui demande un paquet cadeau. Il n’y a rien de bien compliqué dans le fait d’emballer un livre, mais je tiens à ce que tout soit parfait, et non que l’emballage soit gâchés par mes mains qui ont très clairement perdu l’habitude de ce genre de geste. J’inspire et expire péniblement face à cette constatation : réapprendre à vivre englobe bien plus de petits détails que ce que l’on pourrait imaginer.
Finalement la vendeuse me remet un beau cadeau bleu brillant orné d’une carte avec un chapeau de père noël sur laquelle il est joliment calligraphié «  plaisir d’offrir ». Tout semble parfait je n’ai plus qu’à passer à la suite.

Je me dirige vers la sortie en espérant que cette agréable personne n’ai pas décidé de partir. Elle n’a vraiment pas l’air méchante et je dois avouer que jusqu’ici sa présence m’a été d’une grande aide. C’est pourquoi une nouvelle idée me vient subitement en tête.
« Excuse moi… Tu aurais un peu de temps devant toi ? Je… C’est compliqué à expliquer mais disons que j’ai beaucoup de mal à supporter le fait d’être seule dans un endroit si… Si peuplé. Je sais c’est un peu paradoxal mais ça me provoque des crises d’angoisse parfois. »
Je baisse les yeux un peu honteuse, je ne voudrais pas devenir un boulet, ni même abuser de sa gentillesse mais sa présence me vient comme une solution. Acceptera-t-elle de répondre positivement à ma demande.
« J’ai encore un cadeau à trouver, pour un garçon… vraiment spécial. Tu pense que tu pourrais m’accompagner ? Et peut-être m’aider à trouver une idée ? »  

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Cendrine & Aliana

Un cadeau de fait, une bonne chose de faite. A vrai dire je pensais mettre beaucoup plus de temps à trouver une première idée. Maintenant il me reste une autre mission que je ne veux pas louper. Je tiens vraiment à y arriver. A faire un petit quelque chose en plus, dans cette optique j’ai même décider d’admettre que je pourrais avoir besoin d’aide. Une preuve de mon affection et amène un défi que je dois relever et sans son aide. Pourtant, dès que je croise un nouveau regard dieu seul sait à quel point j’ai envie de me rouler en boule dans un coins pour l’appeler, pour qu’il vienne me chercher. Mais je refuse de passer une nouvelle fois pour la petite louve fragile qu’il devra toujours protéger. Je veux être plus que ça, je ne veux plus lui donner de nouvelles raisons de se faire du soucis pour moi.
Je suis ravie, vraiment heureuse qu’elle ait accepter de prendre sur son temps pour me venir en aide. Je sais que j’ai de la chance, d’être tombée sur une personne aussi adorable. Je lui adresse un grand sourire, pareil à une petite fille avec laquelle ont vient d’accepter de jouer.

« Merci, infiniment ! J’espère vraiment que je ne t’embêtes pas trop...»

Comme toujours, je passe mon temps a me remettre en question, à plus ou moins m’excuser d’être comme je suis. Un peu comme si je m’excusais finalement d’avoir vécu ces choses qui me rendent différente. Pourtant, quelques fois, je reprendre l’impression de pouvoir vivre normalement, ces conversation simple m’y aident vraiment. Alors oui j’ai de la chance de tomber sur une personne gentille, serviable, qui peut me redonner confiance concernant le monde qui m’entoure.
Elle me demande plus d’informations sur lui,et je ne peux que rougir quand elle me fait remarquer que «  spécial » n’est pas une information suffisante. Je me met alors à réfléchir, qui est Nathaniel ? Qu’aime-t-il vraiment ? C’est un loup, mon Alpha pour être exact… Mais ça je ne peux pas lui en parler. Il a un tempérament de feu un peu compliqué parfois et puis tant de choses.

«  En fait j’ai été… Absente pendant trois ans, et ses goûts ont pu changés. »

Une nouvelle fois je me met à douter, ce qui n’arrange rien au fait que je ne sois pas confiante naturellement, j’ai aussi la net impression d’avoir manquer beaucoup trop de choses dernièrement. Puis… il y a eu la mort de James dernièrement, qui me pousse aussi à chercher un moyen de le faire sourire ne serais-ce qu’une petite seconde.

«  Il fait partie d’une équipe de Football, et on se connaît depuis qu’on en enfant. Je pense que je voudrais trouver quelque chose qu’il pourrait utiliser souvent, où qu’il pourrait voir régulièrement. Il a perdu son frère adoptif dernièrement… Je voudrais surtout trouver quelque chose qui puisse peut être lui rappeler que je ne le laisserais pas tomber, que je ferais ce que je peux pour ne plus jamais le laisser. »   

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