during the night -- jade

During the night

PAULINE Ϟ JADE

Il fait nuit. Il est même trois heures du matin. De la musique se fait entendre dans cette grande maison, une blonde se déhanche sur la piste de danse à ne plus s'arrêter, entre alcool et drogue, elle tient encore debout. Et elle n'était pas prête à s'arrêter, mais elle a reçu plusieurs appelle de son père. Au vu de l'état dans lequel elle était, elle n'avait pas répondu. Mais elle avait quand même écouté ses messages vocaux qu'il lui avait laissé. -- Pauline, ma princesse. C'est papa, on voudrait que tu rentres. On a un problème... on pourra te le dire par préférence, seulement en face et non par téléphone. -- elle entendait bien à sa voix qu'il était inquiet. Alors elle ne cherche pas vraiment à comprendre la blonde, elle prend un risque en reprenant le volant. Oui, beaucoup essayaient de l'empêcher, mais elle leur dit qu'elle a un truc important à faire. Elle part. Elle roule, en s'ambiançante sur la musique qui passait sur la radio à l'instant même. Puis sans qu'elle ne s'y attende, une bête surgit au beau milieu de la route, elle essaie de ne pas lui rouler dessus, par réflexe tourne vers la gauche, mais elle finit dans le décor.

La blonde a perdu connaissance une petite minute, elle n'a rien de grave, excepté une légère coupure sur le front et au bras. Elle saigne, mais pas de là a appelé une ambulance d'urgence. Enfin, qui sait peut-être qu'elle a un trauma crânien. Elle cherche son téléphone sur le sol de la voiture, elle veut appeler un de ces pères pour qu'il vienne le chercher, mais manque de bol, pas de batterie...Et l'assistante vocale de la voiture est...morte. Elle sort alors de cette voiture, sans trop de complication. Elle ne sait pas quoi faire, attendre comme une fille qui ressemblera à une prostituée en faisant du stop sur le bord de la route, bah oui, elle est habillée d'une jupe courte, même très courte puis les talons ça n'arrange pas le coup. Et l'heure non plus... Mais, elle allait pas non plus partir jusqu'à son domicile à pied, dans le noir, seul, mais surtout avec des talons de plus de dix centimètre. Parce que oui, vingt bornes avec des talons aux pieds ça risque de faire mal. Alors elle prends son mal en patience, elle compte attendre l'arriver d'une voiture, d'une personne. Il fait froid, mais avec tout ce qu'elle a dans le sang, l'humaine ne sent pas la froideur, son corps est chaud, elle a chaud. Puis elle voit une sorte de silhouette humaine. « Eh toi ! » Crit-elle pour interpeller la personne avant de marcher vers la personne, d'ailleurs, elle marche pas très droit. « Ma voiture a décidé de rencontrer le fossé... » dit-elle en rigolant. « Euh... et je voudrais bien prendre ton... » ah. Un nouveau problème arrive. Elle ne se retient pas, elle vomit, pas très chic pour une reine. Comme ça. Encore une fois, la magie de l'alcool mélangé à la drogue. Heureusement, elle a vomi juste a côté de la personne. Heureusement pour elle. Elle redresse la tête, en rigolant. « Ah, sorry not sorry. Du coup je peux prendre ton téléphone ? » Redemande-t-elle sans utiliser la politesse. Elle a pas que ça en tête, puis elle n'a jamais utilisé la politesse d'ailleurs ? Enfin, bref. La blonde continuait à saigner au niveau du bras, contrairement au visage ou cela avait déjà cessé. Elle se trouvait encore dans une sacrée situation, espérons juste que cette personne face à elle ne soit pas un psychopathe, quelqu'un de malveillant. Sinon, rip à toi Pauline.

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Avatar : Giorgia Whingham Messages : 97 Date d'inscription : 03/05/2020

During the Night*** Jade & PaulineCe soir j’ai décidé de prendre l’air. J’avais besoin d’espace, de voir autre chose que les murs de cette école. J’avais appris à connaître cette ville, connaître l’école. Je m’y étais fait des amis et pourtant aujourd’hui je suis redevenue une inconnue. Une personne que quiconque n’a jamais croisée. Dans un sens, c’est peut-être un mal pour un bien, j’ai l’occasion de recommencer ma vie a zéro. De prendre un nouveau départ, ne serait-il pas dommage de s’en priver ? Pourtant ce soir je me suis laisser envahir par les remords, engloutir par la culpabilité. Oui, dix ans se sont passés depuis cette soirée la, le temps c’est écoulé. La plus part des gens de cette fille n’ont plus aucuns souvenir d’elle. De qui elle était, ou de ce qu’elle faisait.
Au fond de moi une petite voix ne cesse de me chuchoter que je ne suis pas entièrement responsable de ce qui s’est passé, qu’elle n’aurait pas dû s’en prendre à nous de cette manière, nous humilier de la sorte. Je ne pouvais pas prévoir ce qui allait se passer, ni la réaction de Diego. Qui dans un sens à provoqué la mienne. Je ne pouvais pas non plus savoir quel genre de monstre sommeillais en moi. Une accumulation d’inconnues qui m’aura valut de vivre le pire moment de toute ma vie, et la fin de celle de 5 étudiants qui pensaient s’en prendre à des proies faciles.

J’avais quitté l’école et pris la direction de centre ville. Sans grand étonnement je me suis rendue compte que Mystic Falls n’avait pas vraiment changer. Les mêmes bâtiments, les même magasins, même le Mystic Grill semblait en tout point identique à celui que j’avais quitté il y a plusieurs années. Dans ce genre de bourgade, rien ne change jamais vraiment. Les choses restent plus où moins toujours les mêmes. Dans une grande ville un vampire pourrait vivre plusieurs siècle sans que personne ne s’en aperçoive, en changeant de logement, et d’identité. Ici tout le monde se connaît, et je garde l’espoir que ces 10 ans leur aura fait oublié le visage de cette étudiante « de l’école d’en face ». C’est d’ailleurs cette raison qui m’a poussé à faire le déplacement de nuit. Le retour a la vie réelle est déjà assez difficile. Sans que je me complique encore la tâche avec les regards interrogateurs des habitants trop curieux, ou suspicieux. Autant dire que j’ai retrouvé le chemin du pont Wickery sans aucuns problèmes. De toute évidence l’enceinte de ce jeux magique qui nous retenait prisonnier, était parfaitement calqué sur le Mystic Falls réel. Étrange, étonnant, et carrément flippant !

Alors que j’arrivais à la sortie de la ville, j’ai pu entendre un grand bruit sourd. J’accélère la démarche, sans faire appel à mes pouvoirs le temps de sortir de la ville. Une fois ça m’a suffit. Je ne prendrais plus le risque de me faire repérer, de me faire démasquer d’une quelconque manière. Plus encore je ne donnerais plus aucunes raison à Alaric de mettre en place ce genre de punitions… Aussi inventives, détestables, que cruelles dans un certain sens. Je comprends maintenant les motivations qui l’ont poussé à agir de la sorte. Mais on ne pourra pas non plus m’en vouloir d’avoir quelques ressentiments concernant les décisions qu’il a prises. Une fois que j’ai quitté le champ de vision des habitants qui auraient décidé de veillés, je m’élance à la poursuite de l’origine de se boucan. Je n’ai pas à faire beaucoup de chemin avant de comprendre ce qui s’est passé. Au loin je remarque une voiture qui a déviée de la route. Je remarque une silhouette hors du véhicule et je ralentis immédiatement l’allure. J’entends alors la voix de cette jeune fille qui semble vouloir attirer mon attention. Ah bon ? Le grand bruit de carrosserie qui s’écrase dans le décor n’était donc pas suffisant ? Je m’approche d’elle jusqu’à arriver à sa hauteur et détailler l’ampleur des dégâts. Hein ? l’état de la voiture ? Ah non non ! Je parles de la tenue beaucoup trop courte de celle qui se tient devant moi. Sérieusement ? Des talons vertigineux sur lesquels moi même je n’oserais pas me percher, une jupe tellement courte que je me demande comment elle fait pour se déplacer dans faire profiter son entourage d’une vision des plus gênantes. Autant dire qu’elle est à des années lumières de mon Jean troué, et mon T-shirt oversise noué à la taille. Deux styles biens différents, et malheureusement je suis prête à parier que la couverture m’en apprends beaucoup sur le contenu du livre.
Quand je me rends compte qu’elle prends son accident à la rigolade. Que la grâce démarche n’a d’égale que celle d’un ivrogne sortant du bar local. Je sens que vais amèrement regretter cet élan d’altruisme qui m’a poussé à venir jusqu’ici. Alors qu’elle était en plein milieux d’une phrase elle s’interrompt brusquement.

Non mais dites moi que je rêve ! Cette petite pimbêche alcoolisée à sérieusement faillit me vomir dessus ? Mais quel ermite à donc pu bien faire son éducation ! J’ai beau avoir promis au directeur de ne pas faire de vague, je ne vois absolument pas où est le problème à recarder la jeunesse dorée de cette ville. D’ailleurs heureusement pour elle l’odeur de sa déjection camoufle aisément celle du sang qui s’écoule encore de son bras. « Non mais tu viens de qu’elle planète sérieusement ? Une excuse ? Un s’il te plaît ? T’as été éduquée par un ours ou tu vis vraiment dans une grotte ? »
Je la détaille de la tête aux pieds, la prenant de haut pour lui faire comprendre que dans son état elle ferait mieux de ne pas trop la ramener. « Je vais résumer, t’es tellement bourrée que t’es pas capable de tenir ton estomac, une voiture encore bien moins, et en plus tu te permets d’être désagréable ? Please dit moi que c’est une caméra cachée. » Je recule de quelques pas, consciente que le fait de l’énerver pourrait comme qui dirait, froissé son estomac et la forcer à réitérer son exploit. « Alors je te propose un truc, tu refais les présentation avec un minimum de formes et d’élégance sinon je te laisse seule dans cet état et à cet endroit on est d’accord ? » :copyright:️ DABEILLE

During the night

PAULINE Ϟ JADE

Un accident. Oh oui, en effet. Elle venait d'en avoir un. Ce n'était pas grand chose, enfin la voiture est dans un sacré étant, mais fortement heureusement elle n'avait pas eu de grosse blessure. Juste quelques petites coupure,s mais elle pouvait toujours te tenir debout. Mais bon, pour le coup Pauline, tu as vraiment été bête. Pourquoi tu prends le volant ? Tu es ivres. Tu te souviens pas ce dont il t'es arrivé il y a plus ou moins un an. Ton copain est mort dans un accident, parce que lui aussi était ivre en prenant le volant, tu viens exactement de reproduire la même bêtise. Heureusement que tu n'y as pas laissé la vie. Elle hausse les épaules, ces pensées, elles craignent. Mais ses pensées ont raisons. Elle a été irresponsable...tant pis. Elle fait les cent pas sachant réellement quoi faire avant d'être stoppé par cette silhouette. Elle crit, histoire d'interpeller la personne. Avant de s'approcher d'elle, difficilement. Elle est tellement ivre que même marcher droit, elle n'y arrive pas. Elle pourrait se fouler une cheville d'ailleurs, chose à ne pas faire. Elle adresse la parole à la personne se trouvant face à elle, une jeune fille, elle a l'air d'avoir a peu près son âge. Elle lui demande son téléphone, de façon impolie. Elle vomit, bon sang retient-toi Pauline... C'est pas très glamour tout ça. La femme vient à lui répondre. Elle n'aime pas le ton qu'elle entreprend. Personnes ne parle de la sorte à Pauline, même si elle était ivre la jeune fille, ce n'était pas pour autant qu'elle allait laisser quelqu'un lui parler ainsi. « de terre. » Elle répond à la première question. Puis à la seconde prenant un air de fille qui réfléchit. « Exquoi ? Excuse ? Euh... Pourquoi ? » Elle joue les idiotes, mais elle provoques seulement. Pauline bourrée, c'était pire qu'une Pauline sobre. Mais pourtant, elle ne devrait pas provoquer la personne qu'elle a en face d'elle. Mais la blonde a beaucoup trop de fierté pour la fermer. « oui ! J'ai été éduqué par un ours, c'est cool. Mon papa est un ours et mon autre papa... un autre ours. J'aime ça. Et toi tu as été éduqué par quoi des ratons laveur ? » Elle prend un air moqueur, puis rigole aussi comme une bécasse. Même si elle essayait de se reprendre, on voyait clairement qu'elle était ivre, parce qu'elle essayait de bien parler, mais sa gestuelle, sa façon de se positionner et de bouger en dit long. Elle la regarde, elle la juge, l'observe dans les détails. Nerd. Elle a un style de nerd. Ce jean troué fait clairement peine à voir et ce t-shirt très basique, très simple. Horrible. Pauline avait l’œil pour la mode, et là ma chérie, c’est pas ça du tout... Elle n'adhère pas. « Je vies dans une grande et magnifique maison. Et toi ? » Elle décide de ne pas dire ses suppositions sur son lieu d’habitat. Mais ne pouvant s’en empêcher la blonde la complimente , enfin… « Sympa le jean ? Tu l’as trouvé où dans une poubelle ? » Dit-elle. Oh. Elle dit que Pauline est bourrée. Mais c’est faux, elle est juste bien là ! N’importe quoi elle. Pauline hausse un sourcil. Ça commence à l’énerver, cette fille qui prend un air supérieur, cette fille qui se croit justement supérieur à elle. Elle se prend pas pour de la merde elle. « Et toi alors ? Non-assistance en personne en danger. Je demande ton téléphone pour appeler un de mes pères, tu ne veux pas. Que penseront-ils de toi ? Oh ma belle. Quand cette histoires va fuiter je te jure que ça va... » Une remontée, oops. Mais non, elle vomit pas. « Que ça va mal se passer pour toi ! » Dit-elle d'un ton menaçant, mais à la fois pas crédible au vus de son allure. Mais elle est sérieuse celle-là ? Elle demande à pauline à sa façon d'être juste plus agréable. Elle est mal parti. Mais pauline joue le jeu. Elle tire sur sa jupe pour la baisser un peu, parce qu'elle commence à se faire vraiment courte. Elle pousse sa mèche derrière l'oreille. Elle se racle la gorge. Elle commence a prendre une grande inspiration, comme si elle s'apprêtait à se présenter avec politesse, mais non. Elle affiche un sourire hypocrite sur ces lèvres. « Tu plaisantes là ? Je ne me rabaisserais pas à ta hauteur ma belle. Je ne te demande pas grand chose, je pense avoir été assez polie. » dit-elle, oui elle aurait très bien pu se montrer plus agressive non ?

Pauline lève doucement la manche de son bras droit. Tu ne vois vraiment pas que j'ai besoin d'aide ? » en soit, elle s'en fiche d'avoir de l'aide, parce que bon, c'était pas grave. Pauline saignait un peu, pas de la à perdre connaissance à cause du sang, mais elle saignait. Et visiblement la jeune femme n'avait pas remarqué ces petites blessure. Habituellement lorsque l'on voit une personne mal au point et une voiture déviée de la route. On demande ce qu'il s'est passé. Pour le coup, elle n'a rien demandé du tout. Pauline à vu une bête en plein milieu de la route, non c'est pas vraiment à cause de l'alcool cet accident. C'est cette bête aux yeux jaune qui l'a fait partir dans le décor. D'ailleurs ça ressemblait vaguement à un loup, mais elle a pas eu le temps de bien l'apercevoir. Elle soupire et roule des yeux attendant toujours que la personnes daigne lui prêter, ou appeler par elle-même son père. Son blabla de bonne manière, pauline n'en avait que faire.

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Avatar : Giorgia Whingham Messages : 97 Date d'inscription : 03/05/2020

During the Night*** Jade & PaulineJe commence à penser que sortir le soir hors de cette école n’est vraiment pas une bonne idée. Pour Alaric non représentons un danger, nous, les élèves se sa propre école, mais je commence à me demander si il s’est déjà mis a la place d’une créature surnaturel. A-t-il tout simplement mis les pieds hors de son bureau ces dernières années. J’ai vu des gens en manipuler d’autres pour le plaisir, j’ai vu des groupes d’adolescents s’en prendre a nous. Nous ridiculiser. Quand il y a eu des représailles c’est contre nous que les choses se sont retournées. Alors que je me balade tranquillement j’entends un bruit d’accident, je viens aider et cette petite princesse de super marché se permet encore d’être désagréable, de me prendre de haut. Si on nous considère comme des monstres justes parce que nous avons la capacité d’être plus redoutables que les humains, comment devrions nous nommer ses humains qui choisissent d’être détestable ?
Une chose est sure, l’instinct de survie des humains est déplorable, car si elle ne sait pas ce que je suis, une petite voix discrète ne devrait-elle pas lui crier qu’elle est en danger ? Peut-être est-elle trop sotte pour l’écouter ou même pour comprendre ses propres instinct. Elle est aussi peut-être trop ivre pour que ce genre de connexion puissent se faire dans son esprit. Au moins on a pas tout perdu, la jeune fille sait au moins de qu’elle planète elle vient. Dommage que ça n’ai pas été une vrai question… Juste une manière rhétorique de lui faire remarquer ses manières déplorables.

C’est fou cette facilité que les gens ont a être désagréable, et ce soir je n’ai vraiment pas envie de supporter ces jérémiades. « Oui c’est ça t’a raison, une joyeuse bande de raton laveur qui parle et qui danse. » Je lève les yeux au ciel, découragée. De toute évidence je suis même pas sur que cette conversation aie une issue intelligente vu son état. Ce qui m’énerve encore plus c’est que même si elle fait peine a voir elle se prend encore pour la reine de monde. Mais ma grande t’a vraiment aucunes limites. Je préfère ne même pas répondre aux questions qu’elle me retourne. Pour faire quoi ? Perdre mon temps encore d’avantage ? Lui donner de nouvelles occasions de montrer a quel point elle peut être détestable ? Je préfère éviter.
« Non rassure toi il est parfaitement a mon goût, en fait ça s’appelle avoir de la personnalité, un style qui m’appartient. Tu devrais essayer, ça te changerait de tes attitudes de bimbo. » Par contre si elle veut commencer à jouer sur les attaques personnelles elle s’est pas trouvé la bonne personne. Parce qu’elle va très vite m’énerver la demoiselle. Visiblement elle a d’ailleurs envie de continuer sur cette voix la.

Vraiment ? Elle me fait vraiment son petit discours ou elle se place comme une fille en danger ? Elle s’est prise pour une princesse en détresse ? Le sang commence a bouillir dans mes veines, et je ne me rends pas encore compte que le sang qui sèche sur son bras vient sûrement obscurcir légèrement mon jugement. La soif quand a elle ne se manifeste pas, ou en tout cas pas encore. Ses blessures sont superficiels et elles ont déjà a un bon avancement de la coagulation ce qui ne devrait pas poser de réel problème. Je m’approche d’elle d’avantage, de manière a lui faire comprendre que là elle n’est pas en position de force. Que suspendue sur ses talons aiguilles a tituber elle n’est capable de rien d’autre que tanguer dangereusement. « Ecoutes moi bien. T’as l’air assez en forme pour faire tes caprices. T’es capable de te montrer odieuse et détestable ? Alors tu n’es pas en danger. Et combien même tu le serais ? Tu crois vraiment que tu me donnes envie de t’aider ? ».

Je recule à nouveau , jugeant intelligent de laisser une distance de sécurité entre nous deux. Non elle pense réellement avoir été polie, en parlant en plus de se « rabaisser à ma hauteur ? » Envoyez la dans un centre de de dressage je vous en prie. « Non je ne plaisante absolument pas, je suis même très sérieuse. Tu ne me demandes peut-être pas grand-chose, et je t’aurais surement donné ce que tu veux si tu te comportais pas comme une garce. » Je jette un regard autour de nous, personne a l’horizon, elle risque effectivement de trouver la nuit très longue. « Mais si vraiment tu as besoin d’aide tu aura au moins gagné une leçon de vie, la politesse et la gentillesse pourraient de sortir de ce genre de situation. Là tu viens juste de t’enfoncer dans tes propres bêtises. » et je fais mine de faire demi-tour :copyright:️ DABEILLE

During the night

PAULINE Ϟ JADE

Tic, tac. Le temps tourne et l'aide ne t'a toujours pas été fournis. Tes parents doivent être si inquiets, mais cette personne face à toi n'est probablement pas prête à t'aider. Pauvre chose qu'elle est. Tu es ivre, alors la façon dont tu parles te fait encore plus passer pour la pire des idiotes, mais même si l'alcool coule dans ton sang, tu es capable de constater que ce qu'elle porte est de très mauvais goût, et ça, tu ne te prives pas de le lui dire, comme à ta plus grande habitude d'ailleurs, avec n'importe quel individu.

- Étrangement, pour un style qui t'appartient, un style a ton goût. Je connais pourtant pas mal de personne qui porte ce genre de tenue très, délurée. Ils vivent même à la rue, il me semble. T'en a peut-être déjà rencontré ?

Tu parles bien évidemment des sans-abris, ces personnes dont tu t'amuses à te moquer, mais pourtant, sans que personne ne le sache, tu n'es pas seulement une garce riche, ton argent tu ne le dépenses pas toujours dans les fringues, tu leurs fait part d'un peu d'argent, mais ça personne le sait. Tu préfères paraître pour une garde dénigrant chaque personnes les unes après les autres. Tu commençais par en avoir marre, elle ne voulait toujours pas t'aider, malgré tout ce que tu avais beau lui dire -comme reproche-, elle ne t'aidait pas. Tu avais le bras en sang -enfin pas tellement- tu en faisais peut-être un peu de trop, mais tu voulais son fichu téléphone ! Appeler tes parents, les secours, ou bien même ta meilleure amie théa. Tu avais besoin que l'on te ramène chez toi, encore plus dans cet état et durant la nuit, parce que non, tu ne veut pas rester ici, dans l'obscurité de la nuit au bord d'une route près d'une profonde et ténébreuse forêt. Tu remarques bien l'attitude de cette blonde face à toi, commencer à changer, l'aurais-tu agacé ? Peut-être bien. Écoutes-moi bien. oh oui ça, tu vas bien l'écouter Pauline, tu n'as rien d'autre à faire.

- Visiblement, non, tu n'as pas envie de m'aider. Tu te débrouilleras quand t'auras une paire d'avocats au cul ma Belle.

Toujours dans l'agressivité et les lancer de pics. Tu ne comprendras jamais que tout ce que te demande cette femme s'est un peu de gentillesse et de politesse, mais pourtant ces mots ne font pas partie de ton vocabulaire. Tes amies ont beau te reprocher ton comportement, tu n'es toujours pas décidé à changer ta façon d'être, parce que tu ne te rends pas compte de la personne détestable que tu peut-être. Roulant des yeux, tu lui demandes si elle plaisante, apparemment non, alors tu soupires. Tu prends une mine de gamine capricieuse à qui on ne dit jamais non, parce que oui, c'est le cas. Pour ça que ça te frustre cette situation et cette femme qui ne veut pas te prêter son téléphone, tu n'es pas habitué à ce que l'on te refuse quelque chose, alors ça, ça a le don de t'énerver.

- Causes toujours, tu m'intéresses.

Viens-tu ajouté alors que la femme commence à te juger sur ta façon à te comporter comme une garce. Tu ne comprends pas où est le mal dans tes actes et tes paroles. Et tu ne comptes certainement pas te montrer plus sympa avec cette demoiselle incapable de prêter quelque chose, tu ne l'écoutais d'ailleurs même plus, trop plonger dans tes pensées, à la façon dont tu allais pouvoir repartir, parce qu'elle, c'est même pas la peine. Mais quand tu l'as vois qui commence à tourner le dos, tu n'as pas le choix. Tu l'as retiens de partir, tu vas devoir prendre ton jeu d'actrice en main. Qu'est-ce que tu ne ferais pas pour éviter de finir manger par des loups en pleine forêt ?

- Bon ex...cu..ses moi ! pffiou, trop compliqué pour toi, mais c'est pas fini. Auriez vous, s'il-vous...pl..aît la gentillesses de me prêter votre téléphone mademoiselle ? tu prends un ton moqueur, parce que cette façons de parler est encore une légère provocation, mais tu auras été polie. Quand même.

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Sujet: Re: during the night -- jade Mar 1 Sep 2020 - 18:34

During the Night*** Jade & PaulineElle me la rappelle un peu, beaucoup trop. J’en viens a me demander ce qui m’énerve le plus. Son attitude ? Sa façon de parler ? Ses manières ? Son ingratitude ? Ses airs de princesse ? Son ivresse ? Sûrement un savant mélange de tout ça, mais ce qui me rend folle c’est cette lueur dans ces yeux, semblable en de nombreux points à ceux d’Inez. Je ne referais pas cette erreur, ce soir il n’y aura pas de bain de sang… J’ai promis devant Alaric que tout ceci était du passé. Je ne tiens pas à disparaître une nouvelle fois sans laisser la moindre trace. Alors, le plus simplement que je peux j’essaie de me rappeler ce visage qui m’a poussé à rallumer mon humanité. Seulement la confusion ne fait que grandir quand moi même j’ignore auquel pensée quand les deux visage de Joz’ viennent s’imbriquer dans mon esprit. Alors que je fais de mon mieux pour ne pas craquer elle revient mettre de l’huile sur le feu. Définitivement j’en viens a douter de l’instinct de survie des humains… Ce sixième sens semble totalement exclu de leur personnalité.
Pour sa première salve de paroles désagréables je préfère ne même plus relever. Je sens la moutarde me monter au nez ce qui n’a rien de rassurant pour elle. En soit elle devrait se contenter de son accident qui par miracle l’a épargné au lieu d’en rajouter d’avantage. Mais il faut croire qu’une garce ne s’arrête jamais sur sa lancé, qui plus est quand elle est complètement ivre.

Je fais de mon mieux… Vraiment, mais quand madame la pimbêche viens me menacer de me mettre une horde d’avocat au fesse s’en est trop. Le sang a son bras à largement commencé à coaguler, ce qui a grandement réduit l’odeur qui aurait été susceptible de me faire passer de l’autre côté du miroir encore quelques minutes plus tôt. Je fais un pas en avant, puis un deuxième jusqu’à arrivé a sa hauteur. Mon indexe viens se poser sur le haut de sa poitrine et mes yeux noirs de rage ne lâchent pas les siens. « Ecoute moi bien maintenant. Premièrement il n’est pas dans mes habitudes de venir en aide aux petites traînées désagréables dans ton genre. Deuxièmement vu ton état je te conseil de pas prendre le temps de me juger, tu ferais d’ailleurs mieux d’apprendre à écraser crois moi ça t’éviterais des problèmes. Troisièmement pour la petite anecdotes tu n’as même pas été assez poli pour me demander comment je m’appelle. Donc tu peux bien appeler les avocats que tu veux ils ne pourrons rien faire pour toi. Alors si tu as fini de me faire perdre mon temps sache que j’ai autre chose a faire espèce de misérable cloporte ! » A la fin de chaque phrase, j’avance d’un pas, la colère montante me poussant à me montrer beaucoup plus agressive que celle que je suis normalement. Alors que je commence à faire volte face pour disparaître elle recommence. A tiens ? Je peux continuer à causer ? Sans que ça l’intéresse ? Et bien soit son sort ne m’intéresse pas d’avantage.

Je commence à m’éloigner de plusieurs pas, ma main droite commençant même a me démanger à l’idée de finir écraser sur le coin de sa figure. Quand soudain, une petite voie qui n’est cependant en aucuns cas teinté pas une once de franchise vient chatouiller mes oreilles. On pourrait même croise que la politesse lui brûle vraiment la langue. Quand finalement, je fini par avoir une grande idée. Avant de me retourner pour la regarder, je compose le numéro du poste de police de mystic falls. Sans porter le téléphone à mon oreille je peux entendre les premières tonalités, c’est ce moment que je choisi pour lui adresser quelques mots. « Tu sais quoi ? T’es mignone avec tes airs de princesse ! J’ai hâte de voir comment tu seras reçus dans un cellule de dégrisement… et conduite en état d’ivresse ? Je pense que tu vas pouvoir oublier ton permis pendant un moment. » Timing parfait, à la fin de ma phrase j’entends une voix qui répond dans le portable que je porte à mon oreille.

« Bonjours monsieur, je vous contacte concernant un accident de voiture vers le pont wickery. Une jeune femme viens d’avoir un accident, et elle est complètement ivre. D’après elle c’est sa voiture qui a décidé de rencontrer le fossé. Je vous rassure elle n’a rien de grave, cependant l’alcoolémie ne la rend pas très agréable…. D’accord… Oui très bien. » Je raccroche un sourire indéfinissable sur les lèvres et range mon portable dans ma poche.

« Tu vas être contente princesse, ton carrosse vient te chercher. »:copyright:️ DABEILLE

Sujet: Re: during the night -- jade Ven 6 Nov 2020 - 18:46

During the night

PAULINE Ϟ JADE

Tu essayais pourtant de te montrer un peu plus chaleureuse avec la blonde face à toi. Mais il y avait ce quelque chose chez elle, qui faisait revenir ton côté garce dont tu n'arrives pas à te débarrasser. Elle n'avait pas voulu te donner de l'aide, pour que tu puisses seulement appeler un de tes pères, ou encore ta meilleure amie. Quelqu'un qui pourrait se soir venir te rechercher...Mais visiblement, elle n'appréciait pas ta façon de faire, tes manières et ton attitude, elle te le faisait comprendre. Et toi, tu continuais de jouer avec ces nerfs.

« Oh, mais après ça, on viendra me reprendre sur ma façon de parler. La traînée, pour être polie, elle te dirait bien d'aller te faire foutre ! »

Ce mot, tu ne l'acceptes pas, tu la même en travers de la gorge. Jouer sur une simple tenue, c'est ce que tu faisais habituellement, mais ça tu n'appréciais pas qu'on ne te le fasse.

« Puis quand on ressemble à une vulgaire clocharde, on ferait mieux de se « l’écraser » également. »

La méchanceté dans tes mots. Tu ne pouvais pas rester sans rien dire et son prénom pourquoi lui demander quand tu sais qu'il n'a aucune importance ? Tu n'en as que faire d'elle. Mais il est vrai, tu te l'avoues. La blonde était bien en supériorité contrairement à toi, tu étais ivre, sans téléphone ni voiture. Elle était sobre, avait un téléphone. Donc oui, elle était ta seule chance pour ce soir. Alors tu décides de te taire une seconde, de reprendre une attitude un peu près correct. Puis elle faisait alors mine de s'en aller, tu te sens dans l'obligation de la retenir en te montrant un peu plus polie dans ta formulation. Mais à ses mots, à cette réponse. Tu sens ta gorge se nouer, tu sens que l'effort de politesse sert à rien. Que tu veux répliquer, mais tu t'en empêches, pour toi, ce n'était que du bluff alors bon ? À quoi répliquer ? Cependant quelques secondes plus tard, tu entends que la blonde raconte au téléphone. Tu fronces les sourcils. Tu sens que tu commences à avoir les nerfs, que la colère monte. Lorsqu'elle raccroche, tu la fusilles du record.

« Va en enfer ! »

C'est tout ce que tu peux dire, te trouvant dans une situation délicate. Et quelques minutes, plus tard, ils arrivent, ils viennent te chercher. Comme l'avait envisagé la blonde, tu peux voir que ça la rends fière. Mais, toi, tu n'oublies pas un visage. Tu sais, que de toute façon se sera juste une petite soirée au poste et que tes parents arriveront d'ici peu.

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