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Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel

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Castiel Mc Toruh
Castiel Mc Toruh

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MessageSujet: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptySam 9 Mai 2020 - 11:15


Le début d'une liste

de problème sans fin...

Avec Androméda


Plus le temps passe, plus la fatigue m’envahis, mon cerveau s'embrume complètement, réfléchir est bien plus compliqué dans cette état. Je commence et la fatigue me distrait totalement, ou alors je tombe peut être dans des micro sommeil. Bref, ça me prend du temps, mais j'essaie d'analyser les propos de Red, de prendre ma décision.Parce qu'au final, j'en suis bien là non ? Vivre ou mourir ? Vivre en étant dépendant d'une vampire dont je ne connais absolument rien, ou mourir de ne pas finalisé se lien qu'on à préparé inconsciemment. J sais m$me pas pourquoi je me sens si partager, pourquoi j’hésite autant. Mourir, depuis que j'ai massacrer ma famille, je n'attend que ça, que ma vie soit prise pour une raison x ou y, que je pais enfin mon crime à l'égalité. J'aurais dut laisser Alistair le Wendigo me manger vivant au final, cela aurait vraiment été œil pour œil, dent pour dent... Pourtant, alors que je regarde la mort en face de moi, maintenant que j'ai ce que j’attends depuis plus d'un an, j'hésite. J'hésite parce que ma vie à changé depuis, et même si je me sens pas toujours à ma place ici, il y a des personnes à qui je me suis attaché, des personnes qui me font m'accrocher à cette nouvelle vie. Puis y à aussi une tête blonde qui apparaît devant mes yeux beaucoup trop régulièrement.

A nouveau ma main vient caresser les diverses morsures, et je peux plus vraiment me mentir, je n'attend que le moment où ses crocs vont perforer à nouveau ma peau, où je sentirais mon sang se faire aspirer doucement ou non selon l'humeur de la vampire. Je me dégoutte à penser ça, dire qu'il y à quelques jours, je haïssais simplement les vampires. Je souffle longuement, comment j'ai pus en arriver là ? De la sangsue à devoir éloigner à coup de veine de venus, à la vampire à qui je laisse docilement boire mon sang à la source. Et le seul sens à tout ça : mes gènes de calice. Une race oubliée depuis un moment, ou gardé secrète par les vampires pour une raison obscure. En tout cas j'en suis là, tirailler par mon besoin de retrouver la blonde, et l'immoralité de toute cette histoire. Comment puis-je trouver un équilibre entre ma part tueuse de sangsue et ma part serviteur de vampire. Comment m'assurer que jamais je n'aurais de geste mal vaillant envers Andromédia et la réciproque est tout aussi vrai. Après tout les vampires ont autant de haine pour les loups que nous en avons pour eux...

Si ma tête n'a aucune idée de la bonne décision, mon corps lui sais entièrement ce qu'il veux. Si chaque geste jusque ici me demandais des efforts colossales et un rassemblement d’énergie indéfinissable, je me retrouve pourtant assis sur mon lit sans m'être rendu compte d'avoir bouger. Peut être que je me prend trop la tête, que je devrais laisser les choses se faire, j'aimerais en apprendre plus sur les calices, savoir dans quoi je m’apprête à mettre les pieds, mais Red m'a bien signalé que le temps m'était compté...Alors les recherches devront attendre, et au pire j'irais retrouver le Wendigo que je n'aurais pas besoin de beaucoup prier pour devenir son repas.

Je me lève, étonné de retrouver une mouvance aisée, simple et presque naturel. Je sors enfin de cette endroits maudit après trois jours, bizarrement, je ne me retourne pas, au contraire je presse le pas autant que mon état me le permet. Je déambule dans les couloirs, sans vraiment savoir ou je vais, je laisse mes jambes et mon intuition me guider. De toute façon le contraire est improductif, oui, j'ai essayé de gagner ma chambre dans un premier temps, histoire de me changer de cette blouse qui m’horripile, mais mon corps c'est écroulé de tout son poids sur le planché, acceptant de se relever que lorsque je me suis décidé à reprendre ma quête de retrouver Androméda. Foutu gène de calice à la con !

Je fini par me retrouver dans le couloir des chambres des filles et mes pieds me mène tout naturellement devant une porte que j'ouvre sans réfléchir. Je déteste ce que je suis entrain de faire, déjà jamais je ne serais venue de se coté du bâtiment, encore moins pour rentrer dans une des chambres sans y avoir été invité et sans frappé. Pourtant je suis là, dans une pièce meublé certes, même occupé vus le nombre d'affaire personnel à droite à gauche, mais totalement déserte d'âme. Je m'approche d'un des deux lits avant de m'écrouler au sol, laissant juste un de mes bras se poser dessus avant que ma tête ne vienne à son tour se poser sur le dernier. « Ou es-tu Androméda ?»  Me demandais-je à voix haute avant d'exploser en larme. Je veux pas mourir, définitivement je ne veux pas...


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Tout ça sonne comme un conte : la belle et la bête, la belle et le clochard. Les opposés s'attirent, c'est une science indéniable. Pourtant les mois passent, et j'ignore si se disney trouvera sont "Happy End"
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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyVen 15 Mai 2020 - 17:09
Le début d'une liste de problèmes sans finDans la nuit je reprends une nouvelle course. Plus rapide, plus énergique que celle qui m’avait mener ici. Je ne saurais réellement expliquer ce qui me pousse à parcourir la nuit avec autant d’énergie. En vérité à cet instant je ne pense plus. Mon esprit déjà malmené par ces dernières journées à tout simplement cesser de fonctionner ce soir. J’avais pourtant souhaité moi même que ma raison s’envole, et c’est bien ce qu’elle a fait… Je n’étais tout simplement pas disposée a me rendre compte que la seule chose qui retenait mon destin de prendre ce tournant définitif c’était moi même. L’air sur mon visage ne m’aide pas à retrouver le fil de mes idées comme il le fait toujours. La seule chose que je suis capable de faire c’est courir, me rapprocher de mon but, aller encore et toujours plus vite dans cette direction. Sa direction. Ma vision est trouble, et des flash de notre dernière entrevue se succèdent me dissimulant le monde qui m’entoure. Pourtant aucune mauvaises surprises. Aucun accrochage. Comme si mon corps connaissait parfaitement la direction à emprunter, mes sens devenant facultatif dans cette course. Ceux-si ne souhaitant s’exprimer que pour me faire ressentir des choses que je ne peux pas contrôler.
Mon odorat se joue de ma mémoire olfactive. Chaque fois que je passe à travers les branches d’un arbre, c’est les souvenirs de son odeur boisée qui se manifeste. Ma vue troublée se laisse surprendre par des visions sorties de nul part, qui me transmettent son image. Mon ouïe débloque totalement me permettant d’entendre sa voix prononcer mon prénom. Donnant à chacune de mes foulées plus d’ardeur que la précédente. On pourrait penser que le sens du toucher me laisse en paix, alors que je ressens dans toutes les parties de ma peau cette sensation de frustration de manque comme si quelque chose m’avait été arraché. Le goût, que dire de lui quand ça fait maintenant trois jours que je n’ai plus le goût de ce qui me maintient en vie. Comme si les règles du jeux avaient complètement changées, comme si le sens même de ma vie s’était inversé.  Alors je cours, puisque c’est la seule chose que je semble encore capable de faire. Je cours, j’avance dans la ville à une vitesse vampirique. Oubliant tout sens de la discrétion, cherchant au plus rapide, au plus cour cherchant le moyen de plus rapidement d’atteindre l’objectif que mon corps s’est fixé. Je ne suis même pas sure d’être maîtresse de ces mouvements, ni de réaliser encore où me mènera cette course folle. Si je ne comprends pas où je vais, je suis prête à tout pour y arriver. Comme si toutes les réponses à mes questions se trouvaient au bout de cette ligne droite, comme si tout prenait plus de sens à chaque pas, alors que mon esprit refuse encore de faire la mise au point.

Soudainement la voix qu’il me semblait entendre devient plus claire, je reviens subitement à moi, mon cœur se serre et je m’immobilise. « Castiel ? ». Je suis perdue, je ne comprends pas, comment ? Mes yeux s’écarquillent face à une lumière blanche qui se dirige vers moi. L’adrénaline monte, prends possession de mes muscles et ordonne à mes pensées de cesser. D’un seul saut je me retrouve hors de la course de se monstre de métal. Une seconde de plus aurait suffit pour que les efforts de toute une vie soient anéanti. Comme un signe pour annoncer que le temps n’était pas à la réflexion ou aux débats. Une occasion pour le corps de reprendre le pouvoir sur l’esprit et de me précipiter à nouveaux vers un destin sur lequel personne n’aura le moindre contrôle.
Je fini par escalader le mur d’enceinte de l’école sans même m’en rendre compte. Je ne prends pas la peine d’être discrète, je justifierais bien que de toute façon à cette heure là tout le monde dort. Mais en vérité je n’ai même pas pris l’initiative de réfléchir à ce problème. En quelques secondes je pousse la grande porte pour me précipiter dans les escaliers. Je ne prends même pas le temps de gravir chacune des marches, sautant par dessus les volées de marches qui se présentaient devant moi.

Le deuxième étage se dessine alors devant moi, et je rentre en trombe dans la couloir qui mène aux dortoirs. Une part de moi tente de comprendre pourquoi tout ce cinéma, pourquoi cette course incontrôlable, toutes ces sensations qui prennent part de moi, pourquoi tout ce souvenirs si mon corps me précipite tout droit dans ma chambre comme le ferais un père furieux. Alors que mon esprit se refusait jusqu’à présent à admettre ce besoin de le revoir, il se met alors à contredire mon corps, essayant de lui faire comprendre qu’il n’y avait rien de logique la dedans. Mais après tout, n’avons nous pas laissé tomber tout sens de la logique au fond de ce cour d’eau, ce jour là. N’avons nous pas pris le chemin de tourner en dérision toutes les lois et les meurs établis depuis tant d’années par nos ancêtres ? Il est évident que quelque chose d’inédit est sur le point de se produire. Quelque chose de plus fort que moi, plus fort que lui. Quelque chose qui nous dépasse totalement.

Je pose finalement une main sur la poignée de la porte de ma chambre, énervée contre moi même de ne pas comprendre ce qui se passe jusqu’à ce que mon odorat se rappel a moi. Cette odeur que j’avais imaginée tout le long du trajet semble prendre une dimension beaucoup plus réelle, alors que mon corps semble attiré irrémédiablement à l’intérieur de cette pièce. Puis soudainement, comme si le voile que cette soirée avait voulut poser sur mes yeux s’était envolé. Mes yeux acceptent de faire la mise au point, de m’accorder le droit d’observer quelque chose de réel, seulement quand je me retrouve face à cette silhouette que je ne peux que reconnaître. Celle que je n’avouerais jamais avoir eu en tête à de trop nombreuses reprises depuis trois jours. Une dernière pulsions de vitesse me précipite à ses cotés. Mes genoux ploient gracieusement sous mon poids, afin que j’atterrisse rapide là où mon corps semblait vouloir trouver sa place, et de manière à être à sa hauteur.

J’entends ma raison, cette petite voix qui à toujours dicté mes actions. Celle qui me dit que cette intrusion n’est pas acceptable. Que ce n’est soit disant pas par ce que tu as couché une fois avec cet homme qu’il à le droit de s’autoriser à pénétrer dans ta chambre en pleine nuit. J’entends cette voix qui m’incite à devenir la petite peste que tout le monde connaît. Seulement mon corps refuse de lui obéir. Ma main prends la direction de son visage, ma paume venant trouver sa joue pour l’amener à regarder dans ma direction. « Castiel... » Je ne saurais expliquer ce qui se passe quand en découvrant son visage fatigué et couvert de larmes mes yeux s’humidifient à leur tour. Ma petite voix intérieur se mettant à m’insulter moi même alors que je me perds une nouvelle fois dans la profondeurs des différences nuances de bleus qui composent son regard. Je ne comprends rien, je perds pieds, mais au fond c’est comme si je savais. Comme si j’avais compris que rien ne me préparait à cette nouvelle réalité, à cette nouvelle version de moi même que j’allais découvrir. Mes sens semblent enfin s’apaiser m’autoriser un bref retour à la normal. Avant qu’une nouvelle vague me submerge, une vague qui me donne l’envie soudaine de posséder à nouveau ses lèvres, mais qui me pousse aussi à découvrir une part de moi qui jusqu’à présent n’existait pas chez moi, une lueur d’empathie qui me donne envie de faire plus que de comprendre mais aussi de le comprendre.
«Qu’est ce que... » je suis incapable de finir, trop occuper à me poser mille questions en réalité. Qu’est ce que tu fais ici ? Qu’est ce qu’il t’es arrivé ? Qu’est ce qu’il m’arrive ? Pourquoi je suis dans cet état ? Que se passe-t-il ? Comment est ce que j’ai fini par arriver ici ? Mais surtout la plus secrète de toute : pourquoi je suis incapable de t’oublier ?
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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyJeu 21 Mai 2020 - 12:11


Le début d'une

liste de problème

sans fin...

Avec Androméda


Tout ce bouscule dans ma tête, trop d'information à traiter et pas assez de temps. Tout ce bouscule, même mes actes vont plus vite que ma pensée. Faut croire que j'en ai en faite, de l’instinct de survie, sinon mes pas ne m'aurait pas amener ici, droit dans sa chambre, alors que je ne sais même pas si je veux me sauver ou non. Enfin je présume qu'il s'agit de son entre, non, si j'arrête de me mentir, j'en suis sur, l'odeur m'est familière, peut être même attractive, beaucoup trop attractive. Pourquoi ? Pourquoi suis-je tend attiré par elle ? Pourquoi mon monde ne tourne plus qu'autour d'elle depuis trois jours ? Le lien tout ça je veux bien, mais ne suis je censé être sa nourriture ? Alors pourquoi est elle tout le temps dans ma tête ?

La pièce vide me rend nerveux, j'explose, pleurant comme jamais, j'ai pas le temps, ni la force de la chercher partout. Pourquoi n'y a t'il personne dans cette chambre ? Pas même Nay...  Vais-je mourir seul ici, accoudé à son lit ? Arthémis où es tu ? Les larmes coulent, je peux plus les arrêté, je crois que je lâche tout se que je retiens depuis longtemps, après tout, pourquoi continuer d'être fort alors que la mort est juste là devant moi. Androméda, je t'en supplie, rentre... Je suis rincé, entre la fatigue intense qui me ronge depuis se matin et cette crise de larme, mes yeux me brûle au point que je fini par les fermer, pour la dernière fois sûrement. J'ai peur, je veux pas finir en enfer Androméda. Pitiez vient me sauver, vient finir se qu'on a commencé.

Tu es ou ? Qu'est ce que tu fais ? Dis moi que tu es pas dans le même état ? Que tu vas bien ? Dis moi que tout vas bien aller pour toi si je trépasse ce soir ? Pourquoi tu veux pas venir hein ? Tu veux plus de moi ? Bon d'accord, c'était juste une histoire sans lendemain, une erreur de parcours, un pêché auquel on a succombé, je dirait même qu'on sais même pas pourquoi on à fait ça... Alors pourquoi j'ai tant envie que tu passe cette porte, que tu me prenne dans tes bras ? Pourquoi est que mon âme réclame que tu me fasse l'amour alors que je suis entrain de mourir ? Bon, mon cou qui désire tant que tes dents perse ma peau, je comprend, ma vie en dépend. Mais le reste ? Il n'y à aucune raison au reste !  Aucune que je souhaite m'avouer en tout cas...

J'en peux plus, ce sont sûrement mes derniers instants et je reste là a pleurnicher et à penser à elle plutôt que d'aller faire mes adieux au personne que j'aime. Pour ma défense, mon corps refuse obstinément de bougé, j'ai plus une seule force physique, plus que ma tête qui carbure avec les même questions depuis deux jours sans pouvoir éclairer beaucoup plus la situation, même avec les informations de Red. Pour compléter la panoplie, mon esprit me joue un nouveau tour, je sent ses mains sur mon visage et entends sa voix m'appeler. Tout mon corps réagi à ses souvenirs sensoriel, je tressailli avant de pleurer de plus belle. Difficilement je fini par ouvrir les yeux, découvrant la blonde, rendu floue par mes larmes, devant moi. Un sourire triste se dessine sur mon visage, alors que mes larmes commencent à se tarir. Est elle vraiment là ? Ou suis je tout simplement passé de l'autre côté ? « Mort » Ma voix est faible, tout juste audible pour cette unique mot sur toute une phrase. Alors c'est ainsi que Lucifer à décidé de me torturer, en utilisant l'image de la blonde et tout ce qu'elle provoque chez moi ?

Tremblante et hésitante, ma main s'approche de cette douce vision  pour venir cueillir ses larmes que je n'avais même pas remarquer. Je la questionne alors du regard, seulement si je veux ramener ma main vers moi et me reculer légèrement, je retrouve mon corps lourd, incapable de bouger d'un micro pouce. Cela me fait réalisé que mon souhait à été exaucé, que Androméda est belle et bien rentrée. « Ça va toi ? »Murmurais-je avec autant de difficulté que plus tôt, peut être même plus sous l’inquiétude. C'est une des questions qui trottent dans ma tête depuis qu'on ma parler de se lien qui veux nous unir. Est elle comme moi à l'article de la mort, ou non ? Et les larmes que je viens d'aspirer me rassure pas vraiment. Sans vraiment attendre de réponse, et avec une force qui sort de je ne sais ou, j'attire la demoiselle contre moi.


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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 25 Mai 2020 - 17:43
Le début d'une liste de problèmes sans finSi j’avais été une de ces droguées, le résultat n’aurait pas été différent. Maintenant que je suis là, devant lui mes pensées semblent enfin accepter de m’appartenir. Je suis capable de réfléchir, de penser sans que ces sensations horribles et désagréables prennent possession de moi. Une crise de manque… Les vampires peuvent facilement perdre la tête quand ils ne se nourrissent pas pendant plusieurs jours. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé, je ne suis pourtant pas du genre à m’amuser avec mon régime alimentaire. Alors, qu’il est juste là, devant moi je suis prête à m’avouer ce que je ne voudrais pas admettre… Si mon organisme agis étrangement. Qu’une force inconnue à fini par me ramener jusqu’ici alors que je n’aurais jamais imaginé le trouvé dans ma chambre. C’est peut-être que finalement, j’ai fini par connaître une forme d’addiction. Le vice de trop ? Mon enfer à commencé après cette nuit là , cette journée même, dont je ne garde que des souvenirs merveilleux. A chaque tentative pour me nourrir c’est son visage qui me revenait en tête, et tout particulièrement ces yeux, qu’il m’est insupportable de retrouver pleins de larmes.
A son contact je m’aperçois de mon premier signe de faiblesse, le premier d’une longue série dont il sera le seul spectateur. Le gardien du secret de mes états d’âme. Androméda Blake possède une âme, qui l’aurait cru… Une nouvelle fois, comme l’autre fois le simple contact de sa peau semble me réchauffer toute entière. Au lieu de me dérober quand il intercepte une larme, je continu de l’observer, lui, et lui seul. Tout ce que mon corps semblait réclamé, cette folie qui commençait à prendre possession de moi, il en était la seule et unique raison… Mais comment ? Pourquoi ? Tant de questions encore une fois. Vient alors le son de sa voix, qui me fait sourire autant qu’elle me déchire le cœur. De par ces quelques mots il me montre un intérêt qu’aucun autre être ne m’aurait porté. Qui, dans son état aurait pu s’inquiéter pour moi ? J’aurais aimé feindre l’indifférence mais j’en suis bien incapable. Il semble être capable de toucher une part de mon humanité, une partie de moi que je pensais bien cachée au monde extérieur. Mais je n’ai pas la force d’essayer de dresser un mur fictif entre nous. J’en suis incapable, après avoir passé trois jours à nier l’existence de ses appels silencieux. Ma fierté, mon égo me reviennent en plein visage quand je commence à me demander depuis combien de temps il est dans cet état. Quand sa main quitte ma joue je me sens soudainement vide, comme si ce simple contact me permettait de me réanimer de l’intérieur. Quand il m’attire près de lui, cette petite flamme en moi s’intensifie, et se transforme en un véritable brasier. « Ne t’en fais pas pour moi… Tout ira bien. » Bien sur les paroles d’Almael me reviennent en tête, si je ne peux me nourrir la mort finira par venir me trouver. Mais je suis bien trop inquiète pour lui, incapable de rajouter la réalité de ma situation à ce tableau qui réduit en miette la carapace que j’ai mis des siècle à mettre en place. Je pourrais aussi lui avouer que ces trois derniers jours ont été un enfer, mais maintenant ils commencent à ressembler à un simple souvenir.  

Je sens son souffle, son rythme cardiaque qui semble incroyablement plus lent qu’il ne devrait l’être . Cette étreinte, j’en avais visiblement tellement besoin. De nouvelles larmes, d’angoisse le concernant, mais également de soulagement à l’idée de l’avoir retrouvé perlent sur mon visage encore plus pâle que d’habitude. Je me rends compte d’un détail qui prendra beaucoup plus d’importance par la suite. Au bout de trois jours d’absentéisme mes canines semblent réagir au rythme de son cœur. Pourtant je lutte, je résiste car une petite voix dans ma tête me hurle que quelque soit les conséquences pour moi, je me refuse à lui faire du mal. A l’inverse je serais prête à lui offrir mon sang, si au moins l’un de nous pouvait se soustraire à la mort.

L’unique… La seule personne capable de m’offrir son sang, d’après la légende la seule personne que je serais capable d’aimer. Je le prenais presque pour un fou, un fanatique d’histoire incroyable qui s’amusait a semer le doute dans mon esprit. Maintenant que je suis dans ses bras, ces mots prennent beaucoup plus de sens. Seulement dans son état, j’aurais tellement peur de le tuer. A quoi bon prolonger ma vie de quelques jours si la seule personne capable de m’offrir un peu plus de temps sur ce monde s’éteint à ce moment là. Pour la première fois en 300 ans je crois que je préfère sacrifier ma vie, pour sauver une autre vie. Après tout depuis le temps que je flirt avec la mort, il serait peut être temps de l’accueillir ? Mes pensées me perturbent, et si ce jour doit arriver je tiens a m’assurer qu’il ira mieux. Incapable de quitter ses bras je me blotti contre lui. « Cas… Qu’est ce qui t’es arrivé ? » Je lutte contre moi même pour m’éloigner du contact réconfortant qu’il m’offre pour essayer de plonger mon regard dans le sien, et à cet instant je suis simplement incapable de résister à l’idée de capturer ses lèvres. Une nouvelle manière de résister à l’appel du sang que je ne connaissais pas. C’est bien plus douloureux que je l’imaginais de s’inquiéter pour quelqu’un, et pendant que nos lèvres se cherchent de nouvelles larmes viennent se perdre sur mon visage. Je le prends ensuite dans mes bras, la gorge serrée par ce surplus d’émotions. « Je crois que je m’inquiète vraiment pour toi… Dis moi que je peux faire quelque chose pour toi. Je ferais tout ce que je peux je te le promet. »
Je crois que je m’inquiète… Oui je crois car en vérité c’est la première fois que je ressens quelque chose de semblable. Tout ça, toutes ces larmes, tout ce cinéma normalement ce n’est pas moi. Pourtant je suis certaine d’être bien là, et que ça n’a rien d’un rêve.  Mais il y a une chose dont je suis étrangement certaine. Il sera ma rédemption

Le loup qui s’accroche à la vie, la vampire prête à accepter sa fin.
Un lien qui sans avoir été établi, semble déjà changer les règles du jeu.

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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyDim 31 Mai 2020 - 23:54


Le début d'une liste de problème sans fin...

Avec Androméda


Enfin, Andro est là devant mes yeux flous, il me faut un moment pour l'accepter, pour m'assurer que je ne suis pas mort, je pose même la question, enfin j'essaie puisque seulement le dernier mot sortira de mes lèvres muettes. Le mot restera suspendu dans le vide, sans aucune réponse, se qui n'est pas plus mal, cela m'épargne une honte de plus. La honte, la peur, je crois que se sont les deux sentiments qui me consument depuis deux jours. Que ses deux sentiments fort régissent toutes mes réactions, comme si ils étaient les seules émotions que je suis encore capable de ressentir.

J'ai beau la voir face à moi, sur ses deux jambes, je m'inquiète pour elle, parce que après tout, j'ai dut tituber, voir ramper, pour arrivée ici. Ma voix se décide à m'accorder cette question, ne la hachant pas, tout comme mon corps m'autorise à me mouvoir pour la prendre dans mes bras. J'avais besoin de se contacte je crois, il me ravive, j'ai l'impression de retrouver de la force, que mon esprit fonctionne moins au ralenti. Ce qui est peut être pas si bien vus l'état de se dernier. Ses mots rassurant arrivent, mais j'ai dus mal à y croire.Je n'irait pas dire qu'elle me ment, mais cette utilisation du futur ne me plais absolument pas. Elle raisonne comme tout ses changements de sujets dont je suis capable quand je veux dissimuler la vérité. J'ai l'impression que cette tournure utilisé se veux le même effet. Je pose ma tête contre la sienne, la serrant un peu plus fort contre moi. Je poserais pas plus de question, d'un certain sens, je l'ai ma réponse. Est elle au courant ? Sait elle pour le lien, elle aussi ? Ou veux t'elle juste me rassurer ? On se connaît tellement pas que je peux pas me faire une idée.


Le temps passe sous le silence qui s'installe, je garde la blonde contre moi, la serrant un peu plus qu'au départ, et je pourrais sûrement plus encore maintenant. J'ai cette étrange sensation que son énergie bascule vers moi, qu'elle passe à travers nos peaux, se transfère d'un corps à l'autre. Je rejette totalement ça, je refuse d'aller mieux à son détriment. Seulement, si mes bras accepte de serrer son corps, ils ne répondent pas pour la repousser. Fichu lien à la con. J'observe la demoiselle, priant intérieurement pour que son énergie lui reste, je vois ses larmes, ses larmes qui ruissellent sur ses joues, ça me déchire le cœur. Je peux rajouter à ma honte cette manie de faire pleurer les filles... Une de mes mains se détache, venant essuyer ses gouttes salé avec mon pouce. Ma main restera là, continuant de caresser tendrement sa joue alors que je me mord la lèvre basse pour ne pas me remettre à pleurer aussi.

Sa voix fini par rompre le silence. Qu'est ce qui m'est arrivée... J'ai même pas le temps de commencer à réunir mes idées que la sens se débattre de mon étreinte. Je peux pas lutter et laisse mes bras s'ouvrir pour la laisser s'échapper pendant que je tente de ramasser les morceau d mon cœur qui vient d'exploser. Pourtant c'est sûrement mieux comme ça, mieux que tout s’arrête maintenant, que j'accepte ma mort imminente, que j’arrête de lutter. J'ai mal, j'ai tellement mal, pourtant un cœur douloureux je connais, mais ça n'a rien de semblable. Je me concentre tellement pour ne rien laisser paraître, que je vois rien venir, et réagis au dernier moment à ses lèvres sur les miennes. Un remède miracle auquel je m'attendais pas, qui relance mon organe vital. Je lui rend son baiser avec sûrement trop de passion. Pourquoi on retombe là dedans ? Ne me méprisais-je pas déjà suffisamment comme ça ? Bref, ce baisé à finalement un goût amer, et apporte un nouvel élan de question.


Si tu savais Androméda. Je me suis réveillé dans le pire des endroits, on m'a traumatisé, complètement. Plus jamais, plus jamais je ne veux revoir cette pièce que j'ai fuis, plus jamais je ne veux recroisé cette femme et do... monsieur Salztman. Je préfère mourir que de revivre ça Androméda. Je suis un lâche,et à tel point que j'ai fait souffrir Aliana pour rien. Puis j'ai rencontré cette curieuse demoiselle, elle m'a fait rire au milieu de toute cette merde. Mais le plus important Androméda c'est qu'elle m'a appris ce que j'étais, pourquoi je suis différent comme ça. Je suis pas qu'un garou, je suis aussi un calice. Je suis ta nourriture favorite Androméda, et après se que nous avons fait, inconsciemment, nous nous somme pré-lié. Je suis à toi Androméda, enfin en partie, parce que part de mon être refuse totalement cela. Je sais pas quoi faire, je sais même pas se que je veux. Je veux pas mourir, mais je veux pas être à toi non plus. Je souffle douloureusement avant de plonger mon regard dans le sien et de murmurer. « La petite chose a trouvé son maître, mais ignore si elle accepte se faire dompter ... » Y a trop de chose à prendre en compte, et pas assez de temps pour peser tous les pour et contre, parce que si on ne fini pas se qu'on a commencer je vais mourir dans quelques heures, ou minutes... Mais je veux pas t'imposer ça non plus.

Ça me touche, même si je supporte pas ça, j'ai jamais supporté ça. Je sais même pas combien de fois j'ai pus engueuler ma fratrie et même mon père et ma mère pour tous les soucis que je leurs causais inutilement. Ma main retrouve sa joue pour la câliner alors qu'un pâle sourire se forme sur mes lèvres. « Ne t'en fais pas pour moi, ça sert à rien.» J'étouffe un petit rire nerveux, il faut que je me lance, que je lui expose les fais, et à voix haute cette fois, qu'elle aussi prenne ça décision. Je tente de me lever, voulant qu'on s'installe plus confortablement, dans le lit plutôt que sur le planché, mais mon corps refuse, et  peine redresser, je retombe directement dans ses bras. « A vrai dire, tu es la seule à pouvoir m'aider Androméda. Mais tu dois y réfléchir avant parce que j'ai aucune idée des conséquences, ni de l'implication qui en découle. » je m’arrête un moment, venant embrasser son front pour reprendre la gorge un peu plus serré. « Je veux que tu prennes cette décision pour toi Androméda, pas pour moi. Promet le moi s'il te plais ? » J’attends son consentement pour reprendre avant de lui cracher le morceau. « Il semblerait que mes gènes de loup baignent dans ceux d'une race plus rare. Celle des calices.» je l'observe,traquant ses réactions. Je ne connaissais pas, mais j'y connais rien en même temps, alors peut être qu'elle sera mieux que moi de quoi je parle. J'aimerais bien d'ailleurs, se serais bien plus facile et plus rassurant de savoir ou nous mettons les pieds.


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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 1 Juin 2020 - 19:43
Le début d'une liste de problèmes sans fin« Un humain qui sera l'unique amour et l'unique source de nourriture du buveur de sang qui se l'appropriera. Un être dont le sang si parfait comblerait chacun de nos instincts ténébreux, un être qui nous tournerait la tête au point de ne supporter son absence, et nous pousserais à protéger sa vie innocente. »

Ces paroles résonnent encore dans ma tête, peut a peut elle prennent du sens.
Je ne sais pas si je suis capable d’être raisonnable de mesurer le pour et le contre. Je ne sais pas comment réagir face à toutes ces annonces qui font de nous en quelque sorte les amants maudits de cet univers. Je suis là et je l’observe, je respire son odeur et m’en délecte. A chaque bouffé d’air je lutte contre ces instinct qui me pousse à vouloir le goûter une nouvelle fois. Je ne peux pas lui faire de mal, j’en suis incapable. Je ressens son mal, je sens que quelque chose ne vas pas. Alors qu’on m’a toujours connu comme étant cette vampire froide et sans scrupules je suis incapable de me résoudre à supprimer sa vie pour rallonger la mienne. Je m’écartes de lui pour attendre cette réponse, quand je me noie une nouvelle fois dans ces yeux je suis incapable de lire clairement ce qui s’y passe. Dans un murmure il fait référence à ce surnom que je lui avais donné, se désignant ainsi dans une phrase qui n’aurait aucun sens si je ne commençais pas à ressentir les effets de ces légendes, même si pour l’instant j’ai encore du mal à y croire. Pourtant quand il pose sa main sur ma joue je sens bien que quelque chose d’électrique se passe, quelque chose de totalement indépendant de ma volonté. Je devine alors dans ces mots le même genre de mensonges que ceux que j’ai pu glisser précédemment. Ces mensonges qu’on veut rassurant, ceux qu’on dit pour ne pas inquiéter alors que si on est totalement honnête, aucun de nous ne vas réellement bien… Je ne saurais m’expliquer les raisons de tout ce mal.  Perdue hésitante je remarques qu’il essaye de se hisser sur mon lit, avant de retomber près de moi. Alors que je pensais me redresser pour l’aider il m’immobilise en reprenant la parole. Alors qu’il commence à m’exposer les faits je sens que j’ai besoin de son contact pour ne pas défaillir. Moi, la vampire de guerre, celle qui fonce toujours pour atteindre son objectif je m’attendrit au point de ne désirer qu’une chose. Plus que de ne pas lui faire de mal j’espère au plus profond de moi pouvoir l’aider. Il semble d’ailleurs donner raison à ses idéaux, mentionnant que je serais là seule à pouvoir le faire. Moi qui ai toujours revendiquer mon indépendance, qui était fière de n’être attaché à aucun être vivant sur cette terre je suis incapable d’imaginer perdre ce loup que je connais à peine. Il me demande même de réfléchir aux conséquences ? Mais si j’étais de ce genre là, en serions nous au même point aujourd’hui ? Si je n’avais pas chercher à te provoquer serais-je aussi heureuse de te revoir sans comprendre pourquoi, ni comment une tel chose et possible. Je suis prête à le faire remarquer quand je sens ces lèvres sur mon front. Si geste qui m’intime silencieusement de lui laisser le temps de reprendre, ce geste qui me persuade également que je suis bien encré dans la réalité. Pour le meilleur comme pour le pire…

Prendre des décisions en pensant à ma personne, n’est ce pas ce que je fais de mieux ? Ce depuis toujours. Ma réputation me précède où que j’aille, même dans cette école alors que je n’y suis pas depuis très longtemps les gens commencent à savoir à quel genre de personnage ils ont affaire. Ils ne connaissent pas  mon histoire, ne peuvent savoir que je suis formatée pour ignorer tout sentiment humain autant que faire ce peut. C’est ce qui rendait mes transitions entre l’extinction des émotions et le retour à la normal si simple au temps du règne des empires en Europe. Je me force à prendre le temps de réfléchir, à me répéter intérieurement cette ligne de conduite comme s’il s’agissait d’un mantra. Comme si j’essayais de me convaincre que rien de ce que je ressens n’est réel, alors que je suis incapable d’envisager une seule seconde le fait de le laisser. L’imaginer seul, livré à lui même dans cet état me fait tourner là tête et me rends malade. Je ne suis pas sur d’aimer ce que je ressens, encore moins de vouloir revivre les mêmes journées que celles qui nous ont séparés depuis cette fameuse journée. Je sais que tout ça va à l’encontre de tout ce en quoi je suis censé croire.
Les paroles du professeur font à nouveau écho dans mon esprit, je suis incapable d’envisager son absence, mon souhait le plus cher et de lui venir en aide. Alors je me met à trembler un instant alors que je suis contre lui. Je  lève les yeux pour trouver son regard. «Je ferais tout ce que je peux je te l’ai dit. Pas juste pour toi, je suis incapable d’imaginer agir autrement. »
Je ne m’inquiète même pas à l’idée de passer pour une folle, après tout n’est-il pas lui même autant que moi à la recherche de ce contact que nous entretenons maintenant. Alors pourquoi prendrais-je la peine de dissimuler mes pensées. Après tout, il vient de faire voler en éclat tout ces efforts pour maintenir mon masque en place. Je le soupçonne même de me forcer à découvrir une partie de moi que je n’aurais jamais imaginée. Quand je l’entends prononcé le mot calice c’est comme si le sol s’ouvrait sous nos corps. Je me sens totalement vide, perdue, en chute libre et je sens ce besoin de me raccroché à lui comme si c’était mon seul moyen pour ne pas disparaître. Je suis sous le choc. J’espérais encore vainement que ce ne serais que des légendes, que le blondinet un peu particulier ne faisait que se tromper. Je me laisse aller en arrière et mon dos rencontre le bois de lit. Je suis comme assommée. Je l’observe, le dévisage essayant vainement d’évaluer la situation alors qu’en l’observant je suis incapable de faire preuve d’une quelconque sorte d’objectivité. La magie a-t-elle déjà opéré pour que je ne sois pas capable de voir autre chose en lui que l’objet de mes envies, de mes désirs quels qu’il soit. J’essaie de lutter, de me redonner contenance. Mes lèvres s’entrouvrent à plusieurs reprises sans qu’on son puisse en sortir. Je dévide le regard pour essayer de retrouver un semblant de contrôle et fini pas observer le sol. Ce sol dur sur lequel son corps repose lourdement, alors que je prétends vouloir prendre soin de lui. Une diversion en somme le temps d’accuser le choc mais je fais en sorte de me redresser, l’entraînant avec moi dans un même mouvement. Comme la première fois, je ne ressens aucune difficulté à l’aider à se déplacer. L’installant ainsi au sur mon lit au plus proche d’une pile d’oreiller pour qu’il puisse s’y appuyer, alors que je me rapproche de lui. Maintenant qu’il est près de moi ne pas le toucher me donne l’impression de geler.   Je me rapproche alors de lui pour poser ma main sur son visage. « L’unique . » A mis chemin entre la question et la déclaration je me rends compte que ce terme lui correspond à la perfection. Dans tous les sens littéraires qu’on pourrait donner à ce terme, il est ma nourriture préférée. Je réagis comme une personne victime d’addiction à son absence comme à sa présence. Tout devient clair, limpide, même si je perds ma capacité à luter. En fait je ne ressens pas ce désir de mettre la nature au défi de nous vaincre. Juste l’envie de le goûter à nouveau.

« Je ne sais pas ce que ça implique...J’ai entendu parler de légendes, de mythe. Je pensais pas ça possible. Encore moins pour moi. Je… j’ai jamais été du genre à m’attacher, à aimer vivre en communauté ou à vouloir dépendre de quelqu’un. » Je m’agenouille sur le lit et vient déposer un baiser à la commissure de ses lèvres comme une invitation à en demander d’avantage, comme pour demander la permission. Je résiste incroyablement pour ne pas fondre immédiatement sur lui. « Mais me demande pas pourquoi, j’ai pas envie de lutter. J’ai pas envie de me battre et aussi dingue que ce puisse te paraître j’ai pas envie de laisser… Ma petite chose disparaître. » Je me colle à nouveau contre lui, son odeur titille à nouveau mes instinct animal. J’ai l’impression de ne pas pouvoir réfléchir correctement. Comme si je m’offrais à lui au-delà de la raison. Je m’approche à nouveau de ses lèvres et je m’arrête juste au moment où les miennes frôles les siennes. «  Je sais pas pourquoi, et je sais pas si j’ai envie de le savoir mais d’une manière ou d’une autre tu vas finir par me rendre folle ma petite chose, au moins j’en suis consciente. T’en fais pas pour moi d’accord… Je ferais tout ce qu’il faudra. » Je me demande simplement jusqu’à quel point la légende évoquée plus-tôt dans la soirée peut-être vrai. Pourtant je refuse d’y penser, où d’admettre que je connais déjà la réponse. Tout ce qui m’importe, encore, une nouvelle fois, toujours… C’est le fruit de mon obsession qui refuse de me quitter depuis que je l’ai rencontré. Car depuis soyons honnête, mon univers gravite autour de son existence. Cette fois au moins, je sais pourquoi, et n’ai plus le loisir de nier cette raison.  






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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 8 Juin 2020 - 7:14


Le début d'une liste de problème sans fin...

Avec Androméda


La mort me tend les bras, je la sens se rapprocher, et j'ai aucune idée de si je veux accepter de lui prendre la main, ou si au contraire, je veux l'envoyer chier. Je veux pas mourir, je peux pas prétendre le contraire, même si je le mérite, amplement même. Seulement j'ai aucune idée de se que va engendrer se lien, je sais juste que je dois finir se qu'on a commencé. Red ne m'a rien dit de plus, ou je m'en souvient pas, j’étais tellement dans les vapes en même temps. En tout cas, d'instinct, je sais que ça va induire des choses, qu'on va pas se lié juste pour le fun. Alors oui, peut être que quitte à me lancer dans l'inconnue, la mort serait pas plus mal non ? Et au moins j'embarquerais pas la vampire, et peut être d'autre personne dans ma chute. C'est peut être le seul argument que j'ai en réserve, alors je fini par lui exposer les fais, parce que cette décision, j'ai l'intime conviction qu'elle nous revient à tous les deux. Bon en même temps, il faut être deux pour se lié, même si pour le moment, je suis le seul qui semble empathir de la situation.

Avant de véritablement me lancé, je veux qu'elle me promette de penser uniquement à elle dans cette histoire, ignorant totalement son égoïsme naturel. Autant dire que je suis pas conquis par sa réponse, son : je suis incapable d'imaginer agir autrement, sonne bien trop altruiste à mon goût. Mais que puis-je y faire ? Comment pourrais-je la forcé à penser plus loin, à réfléchir vraiment à la question alors que le temps nous est compté et que j'ignore totalement les points noirs sur le tableau ? Alors je me lance réellement ce coup si, bien que j'ai pas grand chose à dire, juste un mot, mais il a son effet. Beaucoup trop, j'ai l'impression de la sentir se raidir, de la perdre. Oui que son corps est resté là, accroché au mien alors que son esprit est partir loin dans ses réflexions. Je la serre un peu plus contre moi, retrouvant quelques force, je vais même jusqu'à caresser son visage pour la faire revenir à elle. J'aime vraiment pas ça, mon estomac se rétracte au point d'avoir envie de vomir. En tout cas sa réaction me fait comprendre qu'elle en sais plus que moi, et me donne clairement l'impression que c'est pas bon. Pourquoi paniquerait elle autant si tout cela était tout blanc hein ? Non, si c'était le cas, elle sauterais de joie non ? Définitivement, j'avais raison de pas le sentir se truc, de me douter que je serais pas juste sa poche de sang et son serviteur personnel comme me l'a laissé entendre la brune tatoué.

Après un moment qui me semble des heures, je la sens se mouvoir, bouger souplement. Elle va partir, me laisser mourir ici, je la comprend, si bien que j'essaie de m'extraire de ses bras, mais à nouveau mon corps refuse complètement d'obéir. Ca me met la puce à l'oreille, foutu lien, mon corps ne répond qu'a des gestes visant à me rapprocher de la blonde. Je la laisse donc faire, attendant sans rien dire qu'elle m'abandonne. Alors je sursaute presque en me sentant m'élever, rougissant de me faire porté de la sorte. Un petit grognement m'échappe lorsqu'elle me dépose sur son lit. Mon corps s'alourdis, devenant presque douloureux quand notre contacte se trouve rompu, revenant à la normal quand Androméda revient contre moi, et je me fait pas prier pour me blottir contre elle. Plongeant à nouveau mon regard dans le sien quand sa main vient trouver mon visage. Je comprend le mot qu'elle prononce, dans le fond ça me rassure de l'entendre enfin parler. Mais je doit avouer que son sens m'échappe complètement, je l’interroge alors du regard. Unique? Je suis pas unique, enfin si peut être un peu de par ma race qui sort de l'ordinaire mais sinon non, je suis juste quelqu'un de … Différent ... Bon j'ai rien dit, quoi que être différent ne fait pas forcement quelqu'un d'unique. J'aime pas se mot au final, jamais j’aurais pensé dire ça, mais je préfère différent. Vraiment, ça sonne moins comme si on attendait quelque chose d'héroïque de ma part. Faudrait peut être que je retrouve un peu d'estime de moi, ça m'aiderais, mais vus mon état comment me sentir glorieux ?

J'aime pas se que j'entends, d'autant plus quand les paroles sont dites alors qu'elle s'éloigne de moi. L'espace d'un instant la panique me gagne, j'ai peur, je veux pas mourir. Je ferme les yeux alors que ses lèvres viennent se posé à l'extremité des miennes, tel un baisé timide pour dire au revoir, un adieu en douceur mais qui n'en est pas pour le moins douloureux. J'ai mal, j'ai froid aussi. Sa voix reprend, pour m’annoncer tout l'inverse, je suis totalement perdu. Mon cœur est entrain de traverser des montagnes russe, mon rythme en est tout chamboulé au point de me rappeler l'époque ou il déconnait pour un oui ou pour un non. Si elle ne sais pas pourquoi, une petite voix me hurle dans la tête que c'est tout simplement le lien qui parle. Est ce possible ? Que se soit lui qui finisse par nous gouverner ainsi ? Qu'il est le pouvoir d'inciter nos décisions sans même qu'on en ai conscience ? Quand je vois comment il agit sur mon corps, ça m’effraie un peu, parce que tout ça à l'air sacrement puissant. La demoiselle fini par revenir contre moi, laissant le froid qui me submergeais partir aussi vite qu'il était venu, soulageant mes douleurs corporels, et me rassurant sans aucune raison. Ça commence vraiment à devenir flippant, au point que j'arrive plus à définir qui de la mort ou de se lien magique me terrifie le plus. Parce que quoi hein ? Une fois liée, je vais devoir passer ma vie collée à Andro sinon je vais rester une loque ? Serais-je totalement dépend d'elle à se point là ? Mon esprit sera t'il uniquement dédié à elle, à la servir et à la nourrir ? Serais-je au final son … Esclave ? Je veux pas, je refuse. Pourtant quand ses lèvres sont au dessus des miennes, j'ai juste envie de m'en emparer. Son souffle qui se glisse sur mes joues me rend totalement dingue, si bien que je happe ses lèvres quand elle fini de parler. L'embrassant presque sauvagement, pour rattraper le manque, pour faire taire se désir qui grimpe, se besoin d'elle qui ne m'a pas quitter depuis mon réveil. Je l'embrasse sans vouloir mettre fin à se baiser, parce que ce que je m’apprête à dire est trop dure, parce que dans le fond j'en ai pas envie.

Ma langue joue avec la sienne, jusqu'à rencontrer intentionnellement ses dents faisant frisonner tout mon corps. Mord moi ! Mord moi ! Sous cette pensé j'enfonce mes ongles dans ma paumes pour ne pas finir par le prononcer à voix haute. Il ne faut pas, il ne faut surtout pas, ni elle ni moi ne voulons de se fichu lien. Je me fin à notre baisé, un peu violemment pour pas que tout dérape comme à notre rencontre. « Laisse moi partir Androméda. Je refuse d'être un poids pour toi. Et clairement, de se que tu me dis, c'est se que je serais.  » Soyons réaliste et réfléchie quelques instants, ce lien mettra fin à la liberté dont nous aimons jouir tout les deux, il faut qu'elle en prenne conscience pleinement. Mes mains s'empare de son visage, venant le caresser doucement de mes pouces. «  Je t'ai dis de m'oublier dans ta décision, de ne pas t’inquiéter pour moi. Depuis ma naissance je repousse la faucheuse, il est peut-être temps pour moi de la suivre enfin.» Des larmes viennent perler dans mes yeux, parce que je vais mourir, j'ai pris ma décision. La meilleure pour nous deux je pense, je l’espère de tout mon cœur. Cependant cela ne m'empêche pas d'être terrorisé. « Tu veux bien rester avec moi en attendant ? » Mes larmes coulent et sans même attendre sa réponse, je me blotti un peu plus dans ses bras, m'accrochant à elle malgré moi et me forçant à me taire avant de lui demander de mettre fin à tout ça en finissant se lien à la con qui me consume de l’intérieur à chaque seconde qui passe.


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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyMer 10 Juin 2020 - 19:22
Le début d'une liste de problèmes sans finJe ne saurais expliqué réellement ce que je ressens, quels sont mes intentions. Je ne saurais dire si ce lien m’effraie, si je suis prête à lier ma vie à celle d’un autre où si la mort me paraît plus douce encore. Là maintenant, j’ai arrêtée de calculer mes coups à l’avance, et pour une fois depuis des centaines d’années je m’autorise à vivre l’instant présent. Je ne sais pas si cette nouvelle philosophie de vie vient de ces cocktails « spéciaux »  que j’ai consommés plus tôt de la soirée, si ça vient de ce lien, sa manière à lui de me consumer en silence alors qu’il semble aspiré l’énergie de ma petite chose. Où tout simplement d’une forme de fatigue du au manque d’alimentation, a moins que je ne sois simplement résignée à passer à la prochaine étape. Non, c’est impossible, Androméda Blake ne baissera pas les bras aujourd’hui ni jamais ! Indéniablement je ne veux pas que ma vie s’arrête ici, ni même qu’elle s’arrête demain. Malgré tout ce que mon corps réclame je me refuse à l’idée de le priver consciemment de son elixir vital lui qui est déjà si faible. Alors peut-être que je me suis fait une raison, ou que je me suis lancé un nouveau défi. A force de flirter avec la mort pendant des années, elle ne m’a pourtant jamais semblé aussi près. Je ne saurais dire si ce n’est qu’une impression où une réalité, mais loin de lui je sens tout mon être se glacer, se raidir. Alors à quoi bon penser, à quoi bon réfléchir si nos portes de sorties sont verrouillés, si la roue du destin s’est déjà mise à tourner sans que nous ne puissions la stopper. Pourtant j’ai quand même cette envie de me battre, pour lui. J’ai l’impression d’avoir une durée limitée pour lui faire aimer la vie, pour lui donner envie de tenter l’impensable. Pour l’instant la seule chose à laquelle je pense sont les pouvoirs de guérison de mon sang. Je suis une ancienne noble de la cour de France, j’ai fait partit de l’élite de la noblesse viennoise. Pour autant je n’ai jamais grandit avec des rêves de princesse et je suis encore à mille lieu d’imaginer que le  seul moyen de le sauver et autant de m’offrir à lui dans le sens biblique du terme, que de le posséder de cette manière que seule les vampires sont capable. Pourtant, tout proche de mes lèvres sont souffle me fait perdre la raison, je me fais violence pour résister à l’envie de laisser ce désir m’envahir. Et pourtant je ne ressens pas non plus cet aura qui me coupe toute possibilité de résister comme la première fois, notre première fois…
Je me laisse surprendre quand il vient posséder mes lèvres, mes muscles se détendent instinctivement, venant se reposer souplement contre lui. Je suis incapable de résister, la raison n’a jamais été mon fort et personne ne saurais imaginer à quel point, maintenant je ressens simplement le besoin de faire durer cette étreinte. Le feu, la passion qui animent se baiser me donnent l’impression de planer, d’être totalement ailleurs. Malgré mes yeux fermés je pense pouvoir deviner chaque trait de son visage comme si son image avait été gravé au fer rouge dans mon esprit.
Nos langue se mêlent, se croisent, se cherche et se caresse. Je laisse échappé une sorte de soupir d’aise de soulagement tellement je me sens bien, là, maintenant. Quand celle-ci vient sensuellement saluer mes crocs, je les sens s’allonger immédiatement. Mes canines deviennent douloureuses, presque brûlantes et je sens mon système veineux apparaître sous mes yeux. J’aurais été incapable de résister à la tentation si il n’avait pas mis fin à cet échange. Pour l’instant j’ai simplement le souffle cour, les respirations beaucoup trop rapides mais saccadées, la pâleur de mon visage s’accentuant quand je tente de le priver de sa seule chance de survie, de ce que mon corps réclame depuis plusieurs jours maintenant. j’ouvres la bouche prête à répliquer à ses paroles. Un poids où pas je ne veux rien entendre de cela, pire encore une petite voix en moi me souffle qu’il ne sera jamais un véritable poids. En vérité le seule poids qui existe vraiment et celle de cette carapace à laquelle je tiens tant. Mais l’orgueil coule dans mes veines et il semble être le seul autorisé à me découvrir autrement, différente. Témoin des rares moments où je me laisser aller à la douceur.

L’oublier dans ma décision… Comment lui expliquer que ces trois deniers jours chacune de mes actions étaient polarisés en vue de ce moment où j’accepterais l’évidence. Comment lui dire clairement que je ne peux pas manger, je ne peux pas dormir, sans que son visage vienne s’insinuer dans mes rêveries. Comment dire que même lorsque Almaël lui à préparé ce fameux coktail, cette pilule ne m’a fait pensé qu’aux reflets marins que je perçois dans ses yeux si profonds. Je prends son visage en coupe, le voir pleurer m’est tellement insupportable. Je suis bouche bée devant ses mots. Comment peut-il oser penser baisser les bras ? Imagine-t-il réellement me... laisser ?  Cette pensée provoque un frisson désagréable le long de mon échine. Alors que des goutes d’eau salé semble encore vouloir embrouiller mes yeux je le sens se rapprocher de moi et je ne peux résister à l’envie de faire de même. « Tu sais bien que j’irais nul part… mais t’as pas le droit de me faire ça. »  
Mon sang boue, littéralement. Je refuse catégoriquement de le voir baisser les bras. Je pense qu’il me faudra des semaines, voir des mois ou peut-être des années pour admettre certaines chose, et certains détails de ce lien dont Almael m’a parlé. Après tout je suis censée être incapable de ressentir ce genre de choses. Je regarde ses lèvres à plusieurs reprise, je sais l’effet qu’il à sur moi et craquer pour elles, me fait risquer le fait de craquer totalement. Alors je plonge simplement mon regard dans le sien, et je craque, d’une autre manière.

« T’as pas le droit de baisser les bras comme ça. Tu débarques dans ma vie, j’ai eu droit à une douche froide, dans tous les sens du terme. Où on pourrait aussi dire que je suis tombée de haut… » J’inspire, j’expire sans lâcher son regard une seconde, car c’est cette seule lumière sur ce tableau dénué de toutes couleurs qui me pousse à me livrer, exprimer ce que je ressens pour une fois. De manière un peu maladroite je conçois, peut être égoïste. Mais à ma manière. « Depuis trois jours c’est n’importe quoi, je comprends plus rien a ce qui se passe. Je n’ai pas pu dormir sans repenser à ce moment là, j’ai rien pu avaler non plus. Tout est fade, plus rien n’a le moindre goût. Depuis trois jours je vis un enfer et là, maintenant je commence enfin à me sentir mieux. J’ai enfin l’impression que les choses peuvent s’arranger, j’essaie de trouver un peu d’espoir. Alors réveil toi et bat toi ! » Je me laisse clairement emportée et rapproche ma bouche de la sienne tout en faisant passé ma poitrine au dessus de son torse. « T’as pas le droit, par ce que si baisser les bras c’est simple pour toi, moi je refuse de te voir   partir sans avoir pu comprendre ce qu’il se passe exactement, par ce que j’y comprends rien. » Je cède, je dévores ses lèvres comme si me vie en dépendait, je les gouttes pour ne jamais en oublier la saveur. Le souffle court je parvient à reculer mes lèvres un instant pour conclure ma tirade. « Je suis pas quelqu’un de bien ma petite chose, je suis égoïste, superficielle, parfois même manipulatrice. Depuis toujours quand je veux quelque chose je l’obtient, quand je mène une guerre je fais en sorte de la gagné. Alors s’il te plaît ne devient pas mon ultime défaite et accepte de vivre… Je resterais avec toi tant qu’il faudra pour te convaincre. »

Je retourne vers ses lèvres, que j’aime tant, que je désire tellement. Ma langue passe doucement sur ses lèvres pour l’inviter à entrouvrir la bouche pour que je puisse m’y inviter. Je m’attarde cependant sur celle-ci. Je continue à les goûter, et avide d’en avoir plus je fini par les mordiller. Sans prendre le temps de ne manifester mes canines s’allongent. Mes yeux prennent alors une couleur pourpre quand une fine goûte de sang vient caresser mes papilles. Une simple goûte qui me donne envie d’avantage, mais qui me pousse également à m’inquiéter de lui. Je m’immobilise, rouvrant doucement les yeux en espérant trouver son regard, et découvrir si je dois fuir pour résister, où s’il accepte le chemin qui semble se dessiner indépendamment de nos projets. Où même de notre volonté.  
   
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Le début d'une liste de problème sans fin...

Avec Androméda


La peur, se sentiment d'angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d'un danger, réel ou supposé, d'une menace. Une appréhension qui pousse à fuir ou à éviter cet événement. Tel est sa définition dans le dictionnaire, et c'est fou comment il se plante !

Il se plante totalement, parce qu'a cette instant et depuis plusieurs jours elle me consume. Alors oui, elle m'a pousser ici pour fuir la mort, mais plus à cette instant. Maintenant, j'attends, j'attends simplement que se danger vienne me prendre, qu'il m’emmène. Je me défendrais pas, ma décision est prise. J'ai juste besoin d'un peu de courage.  Dose que je tente de prendre dans les bras d'Androméda. Alors que ma tête tente de se frayer un chemin contre son torse, je sens ses mains venir s'approprier mon visage, je chercher même pas à résister, j'en ai absolument pas la force, je retiens juste mes larmes au maximum.

Non je ne sais pas, en fait je ne peut pas savoir, si je connais son corps au point de pouvoir le dessiner au grain de beauté prés après l'avoir admirer pendant une journée entière, je connais rien d'elle, absolument rien parce que nous avons à peine parler. Et je reste persuader que tout ça n'aurait du être qu'une énorme bêtise classer si je n'était pas se que je suis, si boire mon sang ne nous avez pas lié. Je comprend plus rien, enfin si tenter que j'ai compris quelques choses un jours en fait. Je n'ai pas le droit de faire quoi hein ? La réponse arrive s'en que j'ai à poser la question, peut être l'a telle lus dans mon regard ? Qui sais de quoi se lien est capable. Nos yeux ne se quittent plus, plonger l'un dans l'autre alors qu'elle me refuse d'abandonner. Un rire sort de mes lèvres quand elle me remémore notre rencontre, ce plongeons que je lui ai imposé. Je me rappel aussi se petit combat trafiqué à la fiole, et je ris, retrouvant un sourire qui m'a abandonner depuis notre séparation, un son qui n'avait pas été aussi sincère depuis le même moment. Cela ne dure pas, parce qu'elle me livre enfin le poteau rose, la vérité sur ses derniers jours.

Trois jours qui ont tout aussi été dur pour elle. Mon cœur se serre instantanément, j'aime pas ça. Elle a pas à être torturé de la sorte,  c'est pas juste, elle à rien demander. Mes larmes ont repris leur chemin, coulant doucement sur mes joues sans que j'en ai le contrôle. Autant moi, ça fait partie de ma nature, mais elle pourquoi ? Le fait d'apprendre qu'elle n'a pas pus se nourrir depuis autant de temps m’insupporte, et mon poignet monte instinctivement vers ses lèvres alors que l'envie de me faire mordre se fait de plus en plus forte. Je pratique pas ça depuis assez longtemps pour en être vraiment sur, mais je dirais que se besoin est semblable au désir, l'envie est la même ou presque. Mon bras reste là, suspendu en l'air, invitation silencieuse, ma voix refusant de se faire entendre, encore trop sous le choc. Nos lèvres se rapprochent et a partir de se moment, je capte plus rien. Les mots rentre par une oreille et ressorte par l'autre. Je suis incapable de penser à autre chose que ses canines qui se rapproche, je sens mon sang s'agiter, lui aussi est entrain de lui faire passer le message, de l'appeler, ce crier son nom pour être libéré, s'en est même douloureux. Libère moi, libère toi, libère nous ! Voila la seule chose qui tourne dans ma tête.  Nos lèvres se retrouvent enfin, la passion se traduit dans les miennes, plus rien n'a d'importance à part la blonde, la nourrir est l'objectif premier, la combler le second. Notre échange s'arrête, beaucoup trop vite, je n'ai même pas eu le temps d'en profiter, de venir aguicher l'objet de mon désir.

Je met un peu de temps à passer ma frustration si ben que tout ce que je retiendrais de se petit moment ou j'aurais pus en apprendre plus sur elle, c'est son coté manipulatrice. Et je peux pas en douter, parce que j'ignore totalement comment, mais elle à réussi à me faire changer d'avis, je suis absolument plus résigné à mourir, bien au contraire. Mais comment ? Comment devons nous nous y prendre pour finir se qu'on ignore même avoir commencé ? Ses lèvres reviennent sur les miennes, perturbant mon raisonnement en cour. Je me fait pas prier pour lui laisser l’accès à ma langue, bien au contraire j'en suis demandeur, peut être même plus qu'elle. Nos langue se mélangent, nos lèvres se cherchent, se caressent, veulent s'unir toujours plus. Ses dent finissent par venir me maltraiter, m'extirpant de peit gémissement, tant pis de plaisir que de frustration. Ses dents, je les veux sur ma peau, non dans ma peau, puis je veux qu'elle aspire, sentir mon sang m'échapper pour la combler elle. Une nouvelle douche froide, la blonde cesse tout sans prévenir. Mon sang n'est il plus aussi bon ? Beaucoup de chose ont changé ses derniers jours, je cicatrice comme jamais alors peut être que ? Cette idée me panique et mon regard effrayé trouve celui d'Andro. « Je suis plus bon ? Enfin mon sang ? Il a changé c'est ça ? Je cicatrise depuis hier, j'ai aucune idée de pourquoi... Pardon, je suis désolé.» Ma vois part un peu trop dans les aiguë, se cassant vers la fin. Ça me coûte d'apprendre ça, enfin ça m’effraie, comment me battra si la seule personne qui peux me sauver ne veux plus de moi ? « Je vais le faire. Pour toi. Je vais me battre pour vivre si c'est ce que tu désires. » Mon regard reste dans le sien alors que ma main gauche vient s'emparer de son visage pour le caresser du pouce. Puis je la laisse retomber de l'autre coté de sa tête, lui adresse un sourire avant de me tourner avec une souplesse dont je ne me rappelais plus, pour me retrouver au dessus d'elle, en appuis sur mes bras et jambes sans souffrir d'un manque d'énergie ou autre, bien au contraire. Aussi pres d'elle, je me sens revigoré. « Mors moi. Nourries toi. Nous en avons besoin.» Je murmure ses mots lourd de sens à son oreille, prenant soin de laisser ma nuque tentatrice devant ses crocs.


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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 22 Juin 2020 - 18:21
Le début d'une liste de problèmes sans finJe suis perdue, définitivement et irrémédiablement égarée. Quelque part entre la raison et la folie, entre le l’envie et la retenue, entre le désir et la raison. Je me suis égarée sur la route escarpée et sinueuse de la vie. Moi qui m’étais pourtant toujours arrangée pour emprunter le chemin le plus avantageux, le chemin qui me conduirais irrémédiablement vers le gain, ou la réussite, le chemin qui ne me forçait jamais à regarder en arrière, ni même à une quelconque introspection. Le destin semble avoir décidé qu’il était temps de changer les règles du jeux. Quoi que je décide ce soir ma vie sera marquée à jamais par ma décision. Je ne sais pas si tout concerne ce lien, où si je suis vraiment entrain de m’adoucir comme je le craignais lors de ma dernière soirée avec Cassiopée… Mais je suis incapable d’envisager une solution qui me priverais de l’idée de le garder en vie. Pourtant je suis venue sur ce continent avec l’idée de reprendre ma vie où je l’avais laissé, avec l’envie de me fondre dans la masse politique et de m’amuser de la fragilité humaine comme j’ai pu le faire les siècle passés. Je voulais reprendre cette partie d’échec interminable, jouer avec les vices des grands de ce monde. L’Amérique me semblait pourtant être le parfait terrain de jeux. Je pensais me fondre dans une petite bourgade le temps de reprendre pieds et en faire ma première conquête. Comment aurais-je pu me douter un seul instant, que ma compassion serait réveillée étrangement en  apprenant la disparition d’une jeune fille du nom de Blake ? Elle qui m’imagine être une sorte de bénédiction qui lui à épargné l’enfer alors que j’ignore moi même pourquoi je me suis mêlée de cette affaire. Naïvement je pensais que ce serais ma seule faiblesse… J’étais loin de me douter qu’ici tout serait différent pour moi.

J’ai toujours cette envie, ce  besoin de sentir la puissance régner en moi. Pourtant la seule pièce maîtresse de cette partie, c’est lui. Serait-il le fou sur le plateau géant de la vie. Celui qu’on destine malgré lui à endurer ma présence ? Pourtant bien malgré moi je le vois différemment, je lui donne plus d’importance...Le roi noir qui mène un combat qui n’est pas le sien, sans savoir comment placer son jeux, et que je suis incapable de vaincre. Mon seul objectif, étant de l’épargner. Comme si le but était devenu de le préserver quelque en soit le prix. Je suis d’ailleurs capable de l’inimaginable, retenant même cet instinct sanguinaire qui à guidé mon existence en pensant l’épargner. J’en viendrais presque à me penser folle, car quand je réussi par miracle à me soustraire à l’idée de posséder ses lèvres autant que son sang, quand je parvient enfin à résister à la tentation de me l’approprié tout entier comme la créature sauvage que je suis, lui semble en demander d’avantage ! S’il sont sang n’est pas bon ? S’il à changé ? Je reste un instant stupéfaite devant ses mots. Lui laissant alors le temps de m’adresser les seul mots que je voulais entendre. Il se battra pour vivre, et mon égo sans faille me fait apprécié l’idée qu’il le fasse pour moi.  Je sais que mes yeux pétillent d’une lueur inconnue sur mon visage quand je le regarde, et je ne me l’explique pas non plus. Je le désir, lui tout entier. De son corps, jusqu’à son sang, de ses lèvres jusqu’à son esprit. Sans vraiment m’y attendre je le sens passé au dessus de moi. Je frissonne de cette proximité, je me perds dans son regard, à la recherche de toutes les réponses que je voudrais y trouver. « Rien n’a changé... » Incapable de rendre mes pensées cohérentes face à cette proximité ce sont les seuls mots  que je suis capable d’articuler. Sait-il seulement tout ce qu’il éveil en moi ? Instinctivement, à son approche une de mes mains cours se réfugier sous son T-shirt pour y trouver la chaleur de sa peau, mes doigts entreprenant mécaniquement une danse lancinante au creux de ses reins.

« Mords moi. Nourries toi. Nous en avons besoin. »

Si je ne sentais pas son souffle caresser ma peau , j’aurais cru rêver. Je prends soin de prendre une inspiration, une deuxième en me rapprochant de lui pour me rassasier de son odeur, de son parfum que je ne veux jamais oublié. Cette seule autorisation, ces simples mots qui rendent impossible toute tentative de retenues. Je redresse ma tête pour venir embrasser sous cou. Un petit baisé qui s’intensifie avec passion, avec envie et qui se transforme instantanément. Le baisé du vampire. Je ferme les yeux et je me laisse envahir par le plaisir, par la satisfaction. Je ne sais si les mots existent pour décrire un tel délice. J’ai l’impression d’être déconnecté du monde, que plus rien n’existe à part lui, son corps, et son sang. Mes doigts cessent leur mouvement de va et vient et viennent se plaquer plus fermement contre son  dos musclé, pendant que mon autre main va rejoindre sa nuque. Je l’attire contre moi, le serre un peu plus fort non sans laissé échappé un grognement de plaisir. C’est indéniable, j’ai besoin de lui et là maintenant je suis bien incapable de le nier. Cette envie insatiable de son sang se mêle alors à des désirs plus charnel quand nos corps se rencontrent alors que je me perds dans notre étreinte. Je me concentre sur les battement de son palpitant sur la chaleur de sa peau et finalement je reprends le contrôle de mes membre, par vraiment celui de mon esprit et je préfère ne pas écouter ce que pense mon cœur. «Tu n’es pas bon... tu es délicieux. C'est la toute la différence... Il n'a pas changé, il est parfait. » Je passe une langue avide sur les dernières gouttes de sang qui s’échappent de la morsure avant qu’elle ne se referme. Mes mains tentatrices descendent dangereusement dans son dos, maintenant son corps contre le mien, et je refuse de m’en séparer. Je le regarde encore une fois, mémorisant l’image de son visage avant de me saisir rapidement de ses lèvres. J’y met encore plus de passions que les fois précédentes, revigorée par son sang merveilleux, par sa présence envoûtante. Alors que je mords sa lèvre inférieur pour l’attirer dans ma direction non sans lui voler au passage quelques gouttes de sang, mes mains se faufilent rapidement jusqu’à son fessiers et prennent soin d’en dessiner avidement les contours. « Il n’y a pas que ton sang qui me rende accro petite chose… » Je murmure ses quelques mots avant de retourner à la dégustation de la seule créature que je semble capable de désirer d’autant de manières.
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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptySam 27 Juin 2020 - 23:33


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Avec Androméda


Prendre des décision n'a jamais été mon fort, du moins je n'ai jamais vraiment eut à prendre, ma famille le faisant pour moi avant, et je devait mon arrivée ici à Arth et Hazel. Alors mourir aujourd'hui pour ne pas finir se lien doit être ma première finalement, enfin dont l'importance est crucial. Et j'étais totalement déterminer. C'est plus à prouver que je suis une tête de mule, Charles puis Astrée en fond les frais toutes les nuits. Quand j'ai quelque chose en tête, je lâche pas. Pourtant, en une phrase, une simple demande accompagner de quelques argument, ma décision vole en éclat, effaçant en une seconde ma détermination, ou plutôt l'inversant. D'attendre gentiment et patiemment la mort, me voilà boosté d'une force nouvelle pour la battre, pour lui rendre la tâche difficile. Pourtant je pense toujours la même chose, que ce n'est pas une bonne idée, que la blonde n'a pas à me traîner, à me subir, mais j'arrive pas a aller contre sa volonté. Enfin tout ça passe au second plan quand la demoiselle qui s'abreuvais légèrement s'arrête net. La peur m’envahis, mon sang est étrange depuis quelques jours, depuis mon réveil. Malgré ce sentiment désagréable, je me place au dessus de la vampire,  soufflant et souriant en coin quand elle m'apprend que rien à changé. Alors pourquoi ? Pourquoi s'être arrêté plus tôt ? Pourquoi ne s'est elle pas rassasié ?  Rien à changé, pourtant au fond de moi, je sens que tout à changé, absolument tout sauf peut être notre attraction l'un pour l'autre, l'attirance et la réaction de nos corps à l'autre. Sa main se faufilant sous mon t-shirt en est la preuve, je frissonne, si fort que je m'en cambre, me mordant la lèvres pour ravaler un râle. Je lui murmure des mots à l'oreille, résumant nos besoins respective et partagé à la fois. Parce que si je refuse de m'y attarder et d'y penser, sentir ses dents se planter pleinement dans ma peau est pire qu'une obsession. Et si la demoiselle ne fini par par céder à la tentation que représente ma nuque, je résisterais pas à l'idée de mettre mon poignet dans sa bouche. Vivre, c'est ce qu'elle m'a demander non ? Alors pourquoi ne pas me mordre et mettre enfin fin à tout ça ?

Mon corps se crispe, je tremble à nouveau, allant jusqu'à devenir nerveux, je tend mon cou le plus possible, le rapprochant doucement mais sûrement de ses dents. L'attente est ignoble, pourtant je suis patient habituellement, mais pas là. Elle me fait languir encore et encore, mon ouïe fine l'entend prendre son souffle. Pourquoi ? Pourquoi a t'elle besoin de se recentrer avant de se nourrir ? Ses lèvres finissent par trouver ma peau, se posant pour m'embrasser, je frémis, incapable cette fois de retenir un gémissement, qui deviendra un petit grognement de mécontentement, c'est pas des bisous qui me font envie !  Enfin, je les sens se positionner, les pointes de ses canines tutoient ma peau, je frémis, me cambre encore un peu plus, mon pouls s'accélère pour la tenter d'avantage, mon corps tremble de plus belle, je la supplie intérieurement de mettre fin à se supplices, d'accéder à ma requête, mieux notre requête, parce qu'elle aussi se languis, se force de nous faire attendre. Je sais que le moment n'en sera que meilleur, la blonde me l'a enseigné lors de notre première rencontre, mais j'en peux plus, si bien que j'enfonce un peu mon cou sur les pointes me mordant la lèvre pour ne pas laisser un nouveau râle m'échapper. Pourquoi ? Je pourrais l'exprimer après tout, c'est pas comme si j'en était déjà venu a lui demander de le faire, pas comme si des sa première morsure j’étais devenu déjà totalement accro à cette sensation. Un drogué actuellement en manque.

Enfin la vampire se décide, ses dents perforent ma peau et je gémi sans même pouvoir retenir. Mon corps se tend quelques secondes avant de se détendre complètement, se laissant tout simplement bercer par la sensation. Mon sang se fait sucer et en plus de cette douce brûlure exquise, à chaque gorgé, c'est comme si elle absorbait tout le mal qui me consume depuis deux jours, comme si elle aspirait le venin qui me réduisait a un corps fatigué. Petit a petit mon énergie perdu me revient doucement. Elle est différente, comme incomplète. Je dirais que sur ses nombreux composant, c'est comme si je n'en récupérait qu'une moitié. Ses dents finissent par se rétracter, je grogne a nouveau, découvrant un sombre côté de moi même dans cet acte. Depuis quand suis je aussi enclin a montrer mon mécontentement et de façon aussi bestiale ? Le loups en moi peut être ? Au moins nos corps son encore l'un contre l'autre, plaqué par sa main dans mon dos, je m'efforce juste de pas l’écraser. Mais je peux pas nier que cette proximité ne me laisse pas indifférent, et la demoiselle me paraît dans le même état d'esprit. Après tout, c'est elle qui me rapproche et dorlote mon dos et me complimente maintenant de mon goût.

Nos regard se retrouvent, quelques secondes, avant que nos lèvres ne jouent a nouveau ensemble. Nouveau râle quand ses dents s'en prennent encore à ma peau alors que ses mains s'affaire sur mon fessier. Je sens l'envie, le désir monté en puissance. Cependant, nous avons déjà fait l'erreur une fois, devons nous recommencer aussi rapidement ? Devons nous céder à nouveau alors que j'arrive toujours pas à accepter notre première fois ? Le rouge me monte au joue sous les nouvelle parole de la vampire. Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soi que ses lèvres retrouvent les miennes. Tout ce qui me venait naturellement jusque ici devient hésitant, je sais ou elle veux en venir, j'en ai envie aussi je peux pas le nier. Cependant je stress, je stress énormément, comme ci cela allait être ma première fois. Puis je suis partagé, entre mon envie et ma raison. J'ose pas bouger, de toute façon je suis en équilibre sur mes bras, se qui m'arrange bien, mais n’émèche pas nos lèvres d'agir. Avide, j'aspire, titille, mordille l'endroit pour quémander l’accès à sa langue. Une fois obtenue, je fais danser nos deux organes, me perd dans se baisé, dans ce doux échange, qui ne prendra fin qu'une fois à bout de souffle. Je ne tien pas longtemps avant de retourner à la charge, oubliant toute mes résolutions, mes lèvres partent de la commissure des siennes pour descendre le long de son menton, puis dans son cou, je dessine sa clavicule avant que son top ne vienne me ralentir. Je grogne avant de me redresser sur mes genoux pour venir lui ôter le tissu ne réalisant mon geste que lorsque son haut est suffisamment lever pour faire apparaître ses sous-vêtements. Rouge pivoine, je redescend le tissu et adresse un regard autant désolé que honteux à la demoiselle.


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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 29 Juin 2020 - 0:41
Le début d'une liste de problèmes sans finSi un jour on m’avait dit que je me laisserais aller à ce genre de plaisir de la vie, je ne l’aurais pas cru. De toute ma vie j’ai eu l’occasion de vivre plusieurs nuits placées sous le signe de la luxure. A vrai dire je ne me suis jamais comportée comme une sainte, n’en déplaise aux féministe, à l’époque où je suis née, usée de ses charmes restait le meilleur moyen de se faire une place, avant d’insinuer dans la noblesse le doux poison de ma présence et de pouvoir manipuler les uns puis les autres. Avant d’être réellement prise aux sérieux pour mes qualités et mes compétences.  Pour autant ce soir ce n’est pas tant ce désir de subvenir à un besoin primaire qui me fait envie. Sa simple présence ravive en moi une flamme qu’il semblait impossible d’éveiller. Le contact de sa peau, de ses lèvres me font frémir. Non vraiment, jamais je n’aurais imaginer me satisfaire autant de la simple présence d’une personne. Alors que rien dans mon attitude ne ressemble à celle que je suis, j’ai pourtant l’impression de n’avoir jamais été autant moi même, de me sentir aussi libre de mes mouvements que lorsque je suis dans ses bras. Quelque part ce que nous vivons semble irrémédiablement placé sous le signe du paradoxe, une aventure non binaire qui ne ressemble à aucunes autres. Une légende, un mythe que nous incarnons. Un mythe qui semble s’être effacé de la surface de la terre pendant une éternité  d’après ce que j’ai pu entendre ce soir. Une histoire aussi inédites que nos personnalités, aussi unique que lui, que son corps. Une légende aussi indécente que les sensations qu’il éveil chez moi ou encore que ses yeux turquoise que je ne cesse de voir même lorsque je ferme les yeux.

Un instant je repense à cette première fois où nos corps se sont trouvés. Comme une droguée en manque je ne désire qu’une seule chose, réitérer l’expérience. Pour autant je ne ressens pas cette folie qui me fait perdre tous mes moyens au point de lui sauter dessus tel une bête sauvage. Le lien, ou quoi que ce soit d’autre de différent me pousse a vouloir désirer chaque contact, me rendant à l’écoute du moindre de ses mouvement. Définitivement et irrémédiablement je suis incapable d’imaginer aller contre sa volonté où lui faire consciemment le moindre mal. Mais qui est donc ce jeune homme qui semble modifier tous mes plans sans même s’en rendre compte ? Pourtant, je sens que quelque chose est véritablement différent de son coté. Dans son regard d’une certaine manière, mais aussi dans ses gestes, où sa façon de réagir. Bien que ses lèvres réagissent délicieusement au contact des miennes, j’ai cette impression que nos corps vibrent sur des fréquences différentes, et un sentiment nouveau, un de plus vient titiller mon esprit. De l’inquiétude, de l’empathie peut être de l’altruisme ou autre chose dont j’ignore le sens, mais qui s’insinue irrémédiablement dans mon esprit. Puis soudainement, il redevient plus entreprenant, plus sauvage. Demandeur a son tour du contact de nos lèvres, initiateur d’une danse langoureuse entre nos langues. Je me laisse persuadée, convaincre par ce regain d’entrain de sa part. Ses baisés qui viennent rejoindre mon cou me rendent fiévreuse et je suis incapable de retenir un tremblement de désir proche du spasme incontrôlable. Je réagis au moindre de ses mouvements, me redressant pour lui facilité la tache quand il entreprends de retirer mon haut… avant de se stopper net en plein mouvement.

Je dois avouer que pour mon orgueil c’est la douche froid et je me redresse immédiatement sur le lit pour le regarder. Qu’est ce qui cloche ? Comment va-t-il ? Je m’inquiète vraiment pour lui, immédiatement en repensant à sa détresse quelques minutes plus tôt. Son regard me transperce alors de part en part. Hésitante, un instant je lui adresse un sourire timide avant de passer ma main sur sa joue, finissant par caresser tendrement sa joue. « Castiel ?... » Je remarque alors ses joues rougies, et cet expression étrange sur son visage, comme s’il venait de commettre une faute. Je me redresse d’avantage pour me rapprocher de lui. La seule chose que j’ai à l’esprit étant de découvrir ce qui se passe dans le sien. « Dis moi ce qui se passe.. s’il te plaît. » J’ai presque l’impression de sentir son coeur battre dans ma poitrine d’ordinaire éloignée du moindre signe de tachycardie. Comme si je ressentais tous les signes de son incertitude. Je ressens alors cette envie étrange d’exposer mes certitudes, mes envies, mon ressentit. Pas seulement pour le convaincre. Mais plus comme si pour une fois dans ma longue existence je ressentais le besoin de me confier, de mettre les mots sur ce que je ressens. D’exprimer mon opinion d’une autre manière que celle qui m’est familière. D’une certaine manière depuis que je l’ai rencontré j’ai l’impression que mes émotions me font payé toutes ses fois où je les ais réduites au silence. Toutes ces fois où j’ai fait taire mon humanité… Alors ce soir, bien malgré moi elle décide de s’exprimer, de reprendre le contrôle. Comme si elle avait se besoin irrépressible de se faire entendre par quelqu’un qui pourrait l’écouter, qui pourrait la comprendre.« Je suis… J’étais pas vraiment prête pour tout ça. Me demande pas ce qui se passe, ni pourquoi … A vrai dire j’en sais rien. J’ai pas l’habitude de ce genre de choses. C’est comme-si, tout devenait plus simple, plus facile quand tu es là. » Je m’emmêles moi même dans mes mots, parler de sentiment, de ressentit ? Alors que je passe à vie à en ignorer le sens. Voilà un exercice pour lequel je suis vraiment gauche.  Je replonge mon regard profondément dans le sien comme s’il m’aidait à reprendre le fil de mes pensées. « J’aime pas l’idée de m’attacher… Mais avec toi c’est instinctif. C’est un peu comme si, rien qu’en étant là, tu faisais ressortir une autre version de moi même ? Une meilleure version de moi même peut-être ? Je sais pas… Je suis pas sure. »Je rapproche instinctivement mes lèvres des siennes car je ne trouve pas de réel finalités constructives, autre que l’idée de les rencontrer à nouveau. « Tout ce que je sais c’est que j’avais besoin de te revoir, je refuse de revivre l’expérience de ces derniers jours. » Je rejoins alors ses lèvres qui semblent m’appeler, me tenter dans l’unique but que je les miennes les rencontrent à nouveau. Je m’en détache péniblement pour conclure. En espérant mettre un terme à ce sentiment de gêne que je suis persuadée d’avoir ressenti chez lui. Je déposes quelques bisous légers et volatiles sur sa joue jusqu’à rejoindre le creux de son oreille dans lequel je peux murmurer. « Je … J’ai besoin de toi… et j’ai envie de toi m’.. » Je m’arrêtes net, ce soir je ne cherche pas à prendre le dessus, le pouvoir, ou la moindre dominance. Ma seule envie est autre, le rassurer. Gagner sa confiance. Je ne veux pas l’effrayer comme je le désir avec tant d’autres. Bien au contraire. Alors je reprends pour des mots plus instinctif. «  J’ai envie de toi mon petit trésor... »
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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyLun 6 Juil 2020 - 2:12


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Avec Androméda


Je reste totalement stoïque, choqué par mon comportement des plus indécent. Comment j'en suis arrivé à vouloir lui enlever son haut hein ? Hormone, baiser, désire, je vois le schéma, même si je le comprend pas complètement. Cependant pourquoi la dernière fois tout cela se faisait sans autan de question, alors que là, je bloque totalement. Tellement gêné, que, à part lui adresser un regard sincèrement désolé, je trouve rien à dire, je reste planté là comme une potiche.  Sa main gagne mon visage, et l'immobilité reste ma seule arme pour minimiser ma gène, ma culpabilité. La blonde sais mieux y faire avec moi-même, ses caresses me rassurent doucement. Oh non, je me sens pas pardonné de mon geste beaucoup trop entreprenant, mais c'est rassurant de savoir qu'elle ne m'en veux pas complètement, qu'elle reste à mes cotés, sans prendre la fuite. Mon sang fini tout de m^me par ce glacer quand elle me demande se qui m'arrive.N'est ce pas totalement transparent ? A moins qu'elle ne cherche à me faire payer en prononçant  tout ça à voix haute ? Mon regard jusque ici focalisé sur ses iris hypnotiques dévie sur le matelas, j'ouvre la bouche, voulant me plié à cet exercice que je mérite amplement et qui n'est vraiment pas cher payer, seulement aucun mot ne verra le jour. Je sais même pas par ou commencer, le début oui, mais ou est il vraiment ?  Je réfléchie, cherche mes mots, histoire que mon charabia est un temps soit peu de sens. La voix sort, hésitante, comme aurait pus être la mienne, mon océan remonte que la demoiselle, je l'écoute curieux. Mon cœur se serre, alors elle aussi ressent la même chose ? Elle aussi se demande comment on à bien pus en arriver là ? Elle aussi ne se sens pas prête pour franchir se pas que nous avons pourtant déjà passé un certain nombre de fois ? Je suis même pas sur que ce soit normal qu'on es pas décroché pendant autant de temps, parce que clairement je n'ai pas l'habitude de ça non plus. D'ailleurs cela me tilte seulement maintenant, mais alors qu'elle affirme le contraire, bien que mes souvenirs soit un peu flou, la demoiselle donnait l'impression de savoir se qu'elle faisait. Mais après, comme elle le dit si bien, tout est bien plus facile quand nous sommes ensemble. N'importe quoi devient tout de suite une évidence, des gestes inconnues ou inhabituelles deviennent naturel, les décisions paraissent clair et sans appel, Alors pourquoi sommes nous là en plein doute ? Nos regards se retrouvent, je n'ai pas le temps de m'exprimer, de lui dire que je ressens la même chose, de lui expliquer que je me sens gêné de se besoin charnel à son égare que la blonde reprend la parole. Autant dire que je tombe de haut, comprenant mon mal entendu, et je suis bien heureux de pas avoir ouvert la bouche finalement !  

Je sais pas comment interpréter tout ça, j'ai l'impression que dans le fond on est les deux parfaits opposés, contrairement à elle, je m'attache facilement, beaucoup trop même. Peut être pour ça qu'on s'attire autant, ou c'est vraiment juste ce lien mystérieux ? Je suis totalement perdu dans cette conversation qui n'est que monologue au final, mais surtout qui se veux transparente, alors que les malentendu s’enchaîne. Je sais plus quoi penser de rien, encore moins de ma présence qui la change. Est ce bien, est ce mal ? Devons nous continuer sur ce chemin dont la pente devient de plus en plus glissante ?  Ses lèvres s'approchent, détournant à nouveau mon attention, je sais pas ou j'en suis, mais je veux ses lèvres contre les miennes, mon corps les réclames, je grogne intérieurement que de nouvelle parole retarde se moment, surtout pour entendre des propos qui me glace le sang. Parce que plus on parle de notre séparation, plus elle me dresse un tableau noir qui me semble bien plus critique que mon affaiblissement. Nouveau baisé me desservant un peu d’énergie au passage, mine de rien, durant notre papotage, mes forces s'amenuisait à nouveau. Pourquoi ? Encore une grande question, il faut croire que boire mon sang n'est pas suffisant.


A ses propos, mes doutes s'envolent, fini les questions, après tout si elle le veux et moi aussi, pourquoi s'en priver ? N'ai je pas déjà renier une grande partie de mon éducation ? Puis une fois de plus ou de moins est ce vraiment différent ? De toute façon je ne peux renier se frisson qui parcoure mon échine en réaction à son souffle dans le creux de mon oreille, encore moins le petit râle qui s'échappe par surprise de mes lèvres, ou encore ma virilité qui durcit un peu plus. C'est comme un signal de départ, mes lèvres s'emparent des siennes, au diable la timidité, j'attrape sa lip inférieur pour une douce morsure dans le but de gagner sa langue pour un tendre duel alors qu'une de mes mains part redécouvrir avidement et inlassablement se corps, remontant son bras en laissant glisser les doigts jusqu'à son épaule, contournant habillement sa poitrine tentatrice, descendant sur son vendre trop couvert pour remonter son top, accéder enfin à sa peau,taquiner un instant son nombril, et remonter du bout des doigts le chemin inverse, se délecter de tout ses petits contacts simple qui pourtant font monter le désire, donnant envie de touchés plus franc, plus prolongés encore et encore. A bout de souffle, nos lèvres se quittent, mon regard se plonge dans le siens et ma main s'envole de son bras pour venir se poser sur sa joue alors que je lutte contre moi pour prendre la parole plutot que suivre mon instinct primaire. « J'ai envie de toi aussi. Et bien que j'ignore si je suis vraiment prêt, la lutte à cette instant pour ne pas te sauter dessus est difficile, parce que comme tu l'as dit, tout est plus simple, plus facile, je dirais même limpide et naturel quant on est tout les deux. » Je lui sourie doucement avant de grimacer pour reprendre et mettre les choses à plat. «Quelque part, c'est ça qui m’effraie, parce que j'ignore si se sont vraiment nos ressenties, nos envie, nos pensées, ou si tout cela est créés par le lien. Je refuse de t'être néfaste Androméda. Je veux pas te changer si tel n'est pas ta volonté, je refuse que tu sois dans le mal, et d'autant plus à cause de moi. J'ignore la puissance, les règles de cette relation et ce qu'elles impliquent, ça me terrorise pour toi, et, peut être un peu pour moi. » Je l'embrasse chastement, voulant calmer mon cœur s'affolant de parler autant. D'ailleurs c'est uniquement maintenant que je comprend que je suis entrain de me confier, que pour la première fois, je déballe mes petits secrets à un Homme. « Maintenant je crois qu'il faut que j'arrête de me torturer avec toutes mes questions, que j'accepte tout ça, parce que après tout, dans un sens, tout ça fait partie de moi, de mon côté calice. Et que je le veuille ou non, que se soit le lien ou pas, cette attirance, ses émotions, elles sont réelle malgré tout. Faut juste que je me laisse aller, mais pour ça, je risque d'avoir besoin de toi, pare que c'est pas l'exercice que je maîtrise le plus...» Je baisse les yeux sur cet aveux, honteux de lui demander de l'aide comme ça. Mais je sais qu'il me sera toujours plus simple de répondre à ses envies et besoin que d'écouter et de me laisser aller aux miens.
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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyMer 8 Juil 2020 - 21:04
Le début d'une liste de problèmes sans finIl y a quelque chose d’étrange dans ces échanges, de paradoxal. La vie, ce sentiment d’être en vie semble s’allumer en moi tel un immense brasier maintenant que je l’ai retrouvé. Je ne parle pas de mon instinct de survie, mais bien cette sensation dont je ne me rappelais plus les effets. Cette sensation qui s’était éteinte... De ce fait je n’ai pas le souvenir de m’être sentie aussi bien. Mais d’un autre coté, je ne me reconnais pas vraiment. Cette douceur, ces mots… j’ai l’impression de découvrir une nouvelle personne. De ne pas être véritablement moi. Comment en suis-je arriver à cet extrême. A roucouler de plaisir au contact d’un homme, à désirer son sourire plus que je ne désire le pouvoir. Qui est donc cette vampire qui évolue au coté d’un loup ? Qui est celle qui, a cet instant, dans mon lit, se permet autant de futilité. A qui sont ses yeux qui s’illumine lorsque je croise  son regard ?
Qui aurait pu imaginer un tel changement, un chamboulement aussi total dans mon univers, ainsi que dans ma façon de percevoir le monde. Comment vivre lorsqu’on ne se sent plus comme étant la priorité absolue ? Si j’aime me jouer du destin, j’en viens à me demander si les règles du jeux n’auraient pas subitement changer. J’ai l’impression de redevenir une novice. Comment une simple personne peut-elle à se point changer le court d’une vie ? Mes capacité de compréhension dans ce domaine semble limité. C’est d’ailleurs sûrement pour cette raison que mon corps semble passé en mode pilote automatique. Mes paroles, mes gestes, j’ai a peine le temps de penser qu’ils évoluent en fonction de ses réactions, comme si eux même pouvaient se passer des cheminement embrouillés de mon esprit. J’aurais pu avoir milles réaction en le voyant se stopper de cette manière, mais jamais je n’aurais imaginer m’inquiéter pour lui. Une autre moi même aurait trouvé ma réaction risible de par cette tendresse sortie de nulle part et cette petite voie douce, parfois nouée par le désir, que j’ai en m’adressant à lui.

Je suis un vampire, perpétuelle droguée en manque d’hémoglobine. Mais est-il possible de subir cette même addiction concernant la présence d’une personne ? Son contact peut-il vraiment faire perdre le contrôle à ce point là. Car finalement, bien que son sang au saveurs et aux arômes presque divin ait enfin cesser de m’obséder je suis toujours incapable de me séparer de lui. Chaque centimètre de ma peau réclame sa présence comme jamais je n’ai désiré tel contact auparavant. Plus qu’une envie, un besoin. Le besoin de sa proximité pour me sentir entière. Le yin et le yang, deux opposés qui s’attirent inévitablement pour former un tout. Comme les pôles opposés d’un aimant qui sont irrémédiable attiré l’un par l’autre. Comme le jour et la nuit en un sens, quoi que dans notre cas je ne saurais définir qui prendrait la place de l’astre incandescent.
Mon corps est tendu comme un arc, tout mes sens en alerte dans l’attente de son contact, et je laisse échappé un soupire de soulagement quand il répond à mes baisés. Une vague de chaleur me traverse quand mes lèvres s’envolent pour rejoindre les siennes. Je me laisse séduire par cette passion qu’il laisse naître entre nous, lui répondant avec toujours plus d’ardeur, toujours plus d’envie. Quand il vient s’emparer de ma lèvre inférieur un frisson m’électrise, et je fini par m’accrocher à lui comme s’il risquait de disparaître sans prévenir. Comme s’il était un trésor inestimable que je refusais de voir s’éloigner. C’est une explosions de bonheur, une symphonie des sens qui s’emballe et me fait perdre la raison. Un plaisir interdit auquel je me laisse aller sans aucuns regrets, et avec un plaisir non dissimulé. Sa main qui s’insinue sous mon haut me fait frémir d’envie et pousse mon corps à me rapprocher de lui. Puis nos mouvement respectifs ralentissent, et nos lèvres s’éloignent sans que cette tentions qui règne entre nous ne redescende un seule instant. Une attraction que je serais bien incapable de décrire. Je me perds une nouvelle fois dans la profondeur de ses yeux bleus et la joue vient trouver sa place avec plaisir au creux de sa main quand il vient la trouver avec une douceur infinie. Il prend la parole, et je l’observe, je l’écoute. Je prends le temps de comprendre chaque mot, tout en me laissant bercer par sa voix. Je comprends ce qu’il veut dire, où il veut en venir. Où du moins ses paroles font facilement écho à mon ressenti. Il semble au moins bien plus doué que moi pour mettre les mots sur les choses. Il me donne cette certitudes que je ne deviens pas folle, où que si tel est le cas nous partageons visiblement cette douce folle. Sous sourire me fait chavirer, avant que sa grimace n’annonce un changement concernant le discours. Un retour à la réalité moins sulfureux peut-être. Pour autant je ne dis rien, je ne bouge par et je continue à lui prêter une oreille attentive. Place ensuite à l’expression de ses doutes, qu’une nouvelle fois je partage sans jamais oser les nommer. A l’entendre s’ouvrir à moi de cette manière, j’ai cette sensation de me comprendre d’avantage. Comme si le fait de lui prêter une oreille attentive me permettais de m’écouter moi même par la même occasion. Je m’apprête à lui répondre quand il dépose un simple baisé sur mes lèvres, je sens et j’entends son cœur qui s’accélère et détourne mon attention ce qui lui permet de reprendre sans que je l’interrompe.

Cette attirance, ses émotions… De toute évidence ce sont elles qui nous perturbent tout les deux. Je doute que nos raisons soit identique. Mais comment appréhender une telle nécessité  ? Je comprends également à ses mots, que ce soir là, lui non plus ne contrôlais pas grand choses dans ses réactions, répondant lui aussi à des pulsions plus forte que sa raison. Pour la première fois j’entends quelqu’un demander mon aide, exprimer le besoin de mon intervention et aussi bête que cela puisse paraître mes lèvres s’étirent en un léger sourire et je viens déposé un baisé aussi doux que possible sur ses lèvres avant de m’en séparer à contre cœur et me lancer dans un exercice que je ne maîtrise pas … L’art de la douceur et communication, et pourtant à cet instant ces notions me semblent indispensable. « Je sais pas vraiment si je peux répondre à ces questions, d’où ça vient ni pourquoi. Je peux te rassurer si un point, personne de bien pensant a part toi ne pourrait imaginer un instant que tu me sois néfaste… L’inverse est malheureusement plus probable et je m’en excuse d’avance. » Ma main vient retrouver celle qu’il à déposé contre ma joue, sans pour autant vouloir rompre le contact de sa peau douce et chaude contre mon visage. «Il faut que tu saches, je suis pas quelqu’un de raisonnable, je suis même pas sure qu’on puisse dire que j’ai été quelqu’un de vraiment bien un jour dans ma vie. Depuis toujours je fais ce qui me plaît, sans me soucier de demain… Mais là c’est différent. C'est comme si ces derniers jours n'avaient eu que pour seul but de me ramener vers toi... C'est plus fort que moi»

Je prends appuis sur le matelas et en un instant je me hisse au dessus de lui, collant mon corps contre le sien autant que faire se peut et maintenant une distance douloureuse entre nos lèvres, afin de pouvoir l’observer, le détailler tout en essayant de lui décrire mes sentiments sans tomber dans des banalités que je ne maîtrise pas. « En ce qui concerne les règle du jeux, je suis prête à les apprendre en jouant. Je… J’ai essayé tu sais ? De lutter contre ça, de me convaincre que c’était juste une passade, un sale moment à passé. Mais c’est évident que tu es la seule réponse à mon état de ses derniers jours. Alors si c’est ce que tu veux, si tu le désire alors lance la partie. » Je viens retrouvé ses lèvres pour un baisé que je voulais furtif, mais la modération ne fait toujours pas partit de mes attributions et je me laisse submerger par l’envie de les déguster d’avantage. Me délectant de leurs douceur plus que nécessaire. M’éloigner à nouveau me coûte beaucoup trop d’effort et je fini par m’en laisser tomber sur le coté , une jambe placée au dessus des sienne et mes yeux cherchant désespérément les siens. « Si on arrêtais de réfléchir ? Si on s’en fichait de comment demain sera fait ? » Pendant que je parle, une main malicieuse vient trouver la peau du loup sous son T-shirt et se balader sur son torse en y dessinant des motifs qui n’ont pas vraiment de sens. « Détends toi, te pauses pas de question… Fait simplement ce que tu as envie, laisse toi simplement aller. Vis tout simplement. » Ces paroles je les murmures à son oreille. L’histoire de ma vie, la philosophie qui m’a conduite jusqu’ici. La vie peut s’arrêter du jour au lendemain, autant profiter de chaque choses. Pour une vampire cette vision des choses et paradoxale, mais finalement les anges de la mort ne sont pas passés loin de nous… Alors je baisse les armes et cède une fois de plus à l’objet de mon désir, retrouvant ses lèvres avec une avidité extrême, et laissant mes mains vagabondé sur son corps, les faisant descendre chaque fois un peu plus bas, cherchant à jouer avec ses sens, sa sensibilité. Cherchant simplement à provoquer toujours d’avantage de réactions, pour jouer avec son désir en mettant dans notre étreinte toujours d’avantage de passion. Pensant ses mots comme s’il pouvait les entendre.
«Laisse toi aller me petite chose, je serais là pour toi. »
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Castiel Mc Toruh
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyVen 14 Aoû 2020 - 6:19


Le début d'une liste de problème sans fin...

Avec Androméda


Perdu n'est peut être finalement qu'un doux euphémisme. Je nage, me noie dans des idées, des propos, des réflexions qui après un certain temps se contredisent, perdent toute leur valeur parce qu'un nouveau petit élément vient écrouler les théories échafauder... Nous parlons, nous confions même l'un a l'autre je crois, pour des raisons que nous échappe tout autant. Parce que j'ai jamais fait ça, et pourtant je viens clairement de lui énoncer mes doutes et crainte, je lui ai même demandé de l'aide non ? C'est tellement marqué dans mes habitudes, que je suis pas sûr de l'avoir fait, d'autant plus que ce fut totalement naturel, comme demander le sel à table. Encore une fois, ça me chiffonne, parce que ce n'est qu'une preuve de plus de la puissance de se lien, de son action sur nous.

Sa voix fini par prendre la place de la mienne, et mon attention est d'autant plus présente pour ses paroles. J'ai toujours accordé de l'importance aux ressenties, aux besoin des autres, et c'est encore plus important pour les siens ! Chacune de ses paroles me prend aux tripes, comme si je ressentais moi aussi ses joies et ses peines, même si je ne les comprend pas toujours, comme c'est le cas de se sourire qui se dessine sur ses lèvres. J'ai dus mal à assimiler qu'elle puisse être si mauvaise qu'elle le prétend, certes nous avons failli nous battre à notre rencontre, mais aurais-je réussi à la maintenir à distance si elle voulais vraiment me boire ? Il y a quelque chose au fond de moi qui me fait douter, voir même ne pas y croire. Encore... Des doutes, des quelques choses que je n'arrive jamais à nommer précisément. Peut être parce qu'une fois encore, il s'agit du lien... Ou est-ce juste moi qui ramène tout à ça, pour justifier ma conduite ?

Pa le temps de réellement tergiverser sur se point, encore une fois mon cœur se heurte à des problèmes de battement, qui, dans un tout autre contexte, m'aurais alarmé. Ici, je sais qu'elle en est la cause, entre apprendre que ma modeste personne à hanté ses journées, le fait qu'elle se retrouve sur moi en abattant le peu de distance qu'il nous restait, mais surtout le retour des explications de ses quelques jours qui nous ont séparé. Savoir qu'elle à tenter de se battre et fini par baisser les bras est douloureux, tout comme me laisser seul décider de notre sort. Je suis incapable de prendre une décision réfléchie, j'aime pas trancher, et encore moins pour les autres ! Si je lui adresse une moue déconfite, elle disparaît bien vite quand nos lèvres se rejoignent. Simple baisé qui me fait tourner la tête, retrouver de la simplicité d'esprit, me délivré de toute cette merde de calice. Ce petit moment de liberté prendra fin bien trop rapidement, j'en grogne même faiblement quand elle sépare même nos corps. Je me met alors sur le coté rapprochant mon corps du sien instinctivement comme un aiment se rapprocherait aussitôt de la pièce métallique la plus proche.

Arrêter de réfléchir, en voilà un idée que j'ai lancé mais dont je ne m'attendais pas à être propulser dedans par un autre, mais plutôt à me prendre une tape derrière la tête pour me remettre les idées en place. Quoi qu'il en soit, j'ignore si j'en serais capable, mais la main qui se glisse sous mes vêtements emmène une fois de plus mes pensées dans un environnement bien moins stressant ! Je frémis à se contacte alors que tout mes poils se dressent, ma peau réagissant à ses mains de manière démesuré, comme si tout était nouveau, comme une première fois. J'ai l'impression que tout est encore plus puissant, à moins que se soit ma mémoire qui me fasse défaut. Son souffle dans mon oreille m’achève presque, mon corps se tend, se cambre pour encaisser les sensations. Le souffle court, ses lèvres viennent toutefois s’approprier les miennes et je suis le mouvement, préférant l'apnée à la séparation. Mes mains reviennent à la charge de sa peau, se frayent à nouveau un chemin sous son top, avec toujours autant de douceur, mais des mouvements plus rapide, plus avide et ferme. Je n'ai juste plus aucune hésitation, j'écoute simplement mes désires et mes envies, toutes tournées dans le besoin de satisfaire la vampire, mon vampire. Explorant à nouveau son corps en retenant les endroits les plus sensible pour y revenir.

Naturellement nos vêtements finissent pas voler à travers la pièce alors que nos corps se cherchent, se trouvent, réagissent et danse ensemble. Les sensations sont incroyable, puissante, nouvelle, déclenchant de nombreux gémissement impossible à retenir. A mes oreilles, les siens sont les plus magnifique, chacun me donne envie de l'entendre encore et encore, de lui apporter toujours plus de plaisir. Et pour ça, je l'écoute, la laisse diriger, suis ses moindres conseils exprimer verbalement ou corporellement. Je refoule mon plaisir quand il se montre trop proche du précipice, je veux durer, la satisfaire. Seulement ce n'est pas comme une douleur, on ne peu l'ignorer trop longtemps, et fatalement, je viens dans un gémissement qui en dit long. Moment tendresse qui s'en suis, papouille, caresse et baiser tendre, presque chaste, le calme après un concert mémorable jusqu'à se que mes yeux se ferment à nouveau.

Fidèle à moi même, mes yeux s'ouvrent à peine deux heures plus tard. Le temps que mes yeux s'habitue à l'obscurité qui nous baigne encore et je découvre les trait d'une vampire paisiblement endormie. Dois je avouer que quelques instants avant, je me pensais dans ma chambre avec Simon, mon squatteur préféré ? Non, ça ne compte pas, ça n'a duré que trois secondes, à la position, a la douceur de sa peau, à son odeur, j'ai vite compris. En tout cas, je reste un moment à l'observer dormir, un sourire collé sur les lèvres alors qu'une de mes mains la papouille distraitement. J'ai absolument pas envie de la quitter, pourtant mon regard fini par se poser sur la fenêtre, découvrant une lune bien avancer dans son cycle, je refuse de passer encore une pleine lune sans lui, sans Arthemis. Et surtout je refuse d'abandonner mes recherches, même juste pour une nuit, parce que c'est peut être celle ci qui le mènera dans le coin. Le cœur lourd, je me sépare de la demoiselle, sortant habillement et sans bruit du lit. Juste le temps de m'habiller, et je saute par la fenêtre, hanter d'une énergie nouvelle !

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Androméda L. Blake
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MessageSujet: Re: Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel Le début d'une liste de problème sans fin...Andriel EmptyDim 16 Aoû 2020 - 22:53
Le début d'une liste de problèmes sans finSe détendre, ne pas se poser de question, et accepter la vie comme elle vient. S’autoriser les doux plaisirs de la vie. Voilà des domaines dans lesquels j’excelle d’habitude, mais pour la première fois mes actes semblent engagé quelque chose de beaucoup plus sérieux. Comme un pacte silencieux qui nous liera l’un à l’autre quoi qu’il en coûte. Je devrais avoir peur, je devrais vouloir prendre la fuite, refuser de prendre le risque d’avoir un jour des comptes à rendre à quelqu’un, et pourtant… Sa présence rends les choses tellement plus simple, face à lui ce soir mon cerveau semble irrémédiablement mis sur pause, mon corps étant guidé par une force étrange que je ne saurais expliqué. Tout ce que je désire ce soir, c’est comblé ce manque qui m’ a rendu folle durant ces derniers jours. Il m’apparaît comme la résolution de tous mes problèmes, la seule personne avec qui j’ai envie d’être à cet instant. J’ignore de quel sorte de magie il s’agit, mais je n’ai jamais rien ressenti de pareil.
Nos lèvres se retrouvent enfin, moi la vampire assoiffée de sang je n’ai actuellement soif que d’elles. Leur contact seul me permet de retrouver toutes les forces qui me manquaient. Le contact de sa peau m’électrise. J’en veux plus, toujours d’avantage, je m’agrippe à lui comme s’il risquait de disparaître, de s’évaporaient à chaque instant. Je réalise, je comprends que ce manque que j’ai ressenti venait uniquement de lui, pas forcément du manque d’hémoglobine. Son contact me revigore, je refuse d’imaginer revivre son absence. Ses mains passent à leur tour sous mes vêtements, me faisant frémir, frissonner, gémir. Il réveil tous mes instinct, provoque en moi des réaction insensée, et sans s’en rendre compte joue avec mon impatience de me l’approprié. Je n’en peux plus, je ne tiens plus, nos vêtement tombent dans un accord parfait, une entente silencieuse qui se fait demande d’en avoir d’avantage.

Dans un accord parfait nos silhouette viennent former un tout, une unité presque parfaite. Nos corps se réclament l’un l’autre, encore et encore. Je savoure chacune de ses caresses, chacun des allés et retour que la marque de sa virilité fait en moi me fait gémir d’avantage à chaque fois. La danse de nos corps s’accélère, ralenti, s’intensifie. Mes mains passent dans son dos, mes ongles s’enfoncent dans sa chair, mes bras l’attirent contre moi. Mon loup, ma petite chose, je préférerais n’importe qu’elle sentence, n’importe qu’elle douleur plutôt que de le voir s’éloigner, plutôt que de le perdre. Je ne me l’explique d’aucune manière. Pourtant maintenant c’est ce que je ressens. Le temps passe sans que je lui accorde la moindre attention, Castiel, il n’y a que lui dans mon esprit. Le plaisir monte, encore et encore, mes gémissement se font de plus en plus intense et je fini par être victime du plus primaire de mes instinct, comme la toute première fois. Alors que mes lèvres se perdent dans la dégustation de l’endroit où sa peau est la plus fine, mes canines s’allongent dans un ultime gémissement de plaisir, qui s’étouffent quand celles-ci pénètrent sa chair.
Enfin, vint l’explosion. Quand son sang emplit ma bouche et que la chaleur de celui-ci vient emplir tout mon corps, j’ai l’impression de partager son plaisir en plus du mien. Puis enfin vient le calme après la tempête. Doucement, tranquillement, nos corps retrouvent leur calme. Apaisé par cette union que tout deux réclamaient. Je prends le temps de le regarder, l’observer, l’admirer passant une main délicate sur son visage en lui adressant un sourire tendre. Je retrouve ses lèvres plusieurs fois avec une tendresse que je ne me connais pas. L’un contre l’autre nous finissons par trouver un sommeil bien mérité. Un sommeil calme que je n’avais pas pu trouver en son absence.

Il me semble sentir son contact, alors que je dormais encore paisiblement je suis pourtant persuadée de sentir cette impression délicieuse de son contact sur ma joue que je ressens a mon réveil. Ce qui me perturbe le plus c’est son absence, cette chambre vide. Je regarde à droite, à gauche sans remarquer la moindre personne. Dernièrement ma colocataire à quittée l’école, ce n’est donc pas sa venue qui à pu faire fuir le loup auquel j’accorde tant d’importance. Je me redresse, et remarque la fenêtre ouverte. Il se serait donc enfuis ? Cette constatation me provoque une douleur inexplicable. Pour la première fois je me sens… seule. Pour la première fois j’ai la réelle impression d’être abandonnée, oubliée. Où plutôt l’absence d’une personne m’affecte pour la première fois. Je m’enroule dans le draps, comme pour garder l’impression de sa chaleur contre moi, et sors du lit pour regarder par la fenêtre. Personne, il est sûrement déjà loin, mais où ? Honteuse de ces sensations nouvelles je retourne dans mon lit, toujours enveloppée dans mon cocon de satin. Je me recroqueville sur moi même incapable de retrouver le sommeil, où même de vider mon esprit.
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