Le sexe, c'est cool, mais on se connait ? [+18]
Isabella et Richard
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Le Mystic Grill, un sacré endroit particulièrement très bien connu en ville. Je pourrais même dire que c’est une institution de Mystic Falls. Un peu comme la maison des Salvatore. C’est dans cette endroit que j’ai fait la rencontre de l’une des femmes les plus appétissantes que j’ai eu le plaisir de voir, depuis que je suis sorti du Malivor. C’était une belle jeune blonde, avec un talent certain pour le sexe. Un amusement pour un serpent lubrique tel que moi.
Ce jour-là, je suis allé prendre mon déjeune dans le restaurant qui était ouvert le midi. J’étais à peine attablé qu’il y avait déjà une bagarre entre plusieurs clients. Deux poivrots étaient en train de se battre. En temps normal, je devais bien dire que j’aimais une bonne bagarre. Après tout, je suis l’incarnation de la colère. Pourtant, je déteste être dérangé quand je déjeune un bon steak tartare, accompagné de pomme au four, avec une sauce à la crème et à la ciboulette. En tant qu’incarnation de la gourmandise, je dois bien dire que c’est un excellent repas. Donc quel ne fut pas mon agacement, quand j’ai vu un des poivrots qui se battaient, en train d’attraper une jeune femme blonde par le poignet.
« Je te conseil de lâcher la jeune femme » Disais-je d’une voix glaciale et sifflante. L’homme me regarda et s’approcha de moi : « C’est à moi que tu causes, la pédale ? » Pour parfaire son idiotie, il me bouscula violemment. Roulant des yeux, je me suis levé de ma chaise avant de lui sourire d’un air particulièrement amusé et sadique. « Oui, c’est à toi que je cause » Mes yeux s’allumèrent de vert et je l’ai regardé avec beaucoup d’amusement avant de lui murmurer de ma légendaire voix : « Je crois que tu commences à avoir très faim. Va dans la cuisine, tu y trouveras une boite avec écrit « mort au rat ». Elle te semblera très appétissante et c’est pour cela que tu vas tout avaler. » L’homme me regarda, avant de se diriger vers la cuisine et faire exactement ce que je lui ai dit. Je pouvais le voir faire, un grand sourire s’étirait sur mes lèvres. L’un des cuisiniers tentait de l’en empêcher, mais en vain, tandis qu’une des serveuses criait. Je l’ai regardais avec les yeux jaune, avant de lui dire d’une voix douce : « Silence, crier est beaucoup trop épuisant pour vous, vous allez juste avoir la force de décrocher le téléphone pour appeler les urgences, avant de vous endormir »
Retournant à mon plat, je continuais de manger, tandis que tout le monde me regardait avec des yeux remplis de frayeur. « Si vous ne voulez pas que je m’amuse aussi avec vous, je vous conseille de vous taire, de regarder vos assiettes et de manger » j’avais prononcé cette phrase avec beaucoup de froideur, avant de voir la blonde que j’avais « sauvée » s’approcher de moi, d’un pas décidé.
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