Cast/Nate : Need to breathe

Pando

Need to Breath

Quand il me rend ma politesse, je lui adresse un sourire, bien qu’ils doivent être partiellement dissimulé par le tissu et me reconcentre sur le discours du principale. L’impatience prend petit à petit plus d’ampleur, j’en ai marre de la compagnie des adultes, enfin surtout marre d’être le sauvage à qui faut tout expliquer. Heureusement ce type à l’air plus, comment dire, désinvolte ? Désintéresser ? Ou discret tout simplement ? Je sais pas comment qualifié ça, mais déjà le fait qu’il se jette pas dans des explications sans fin sur qui il est me rassure !

On finit par sortir, je le suis sans trainer des pieds, heureux de quitter mes bourreaux on va dire, bien que j’ai un énorme respect pour eux et ce qu’ils font pour moi, mais je suis pas non plus à sautiller de joie. Alors qu’on sort, le silence prend place quelques secondes.  Je tente de le rompre avec les premières politesses qui me viennent en tête, mais Nate me prend de cours.

« Ho ça, non c’est rien. C’est comme ça jusqu’à plusieurs fois par jour, ça passe au bout d’un moment. Depuis tout petit j’ai ce genre de problèmes. »

Expliquais je en haussant des épaules. Ce petit désagrément avait toujours été mis sur les effets secondaires de ma malformation, cependant maintenant qu’il le dit, c’est étrange que cela continue alors que la transformation m’a offert un nouveau cœur. Mais je remets cette réflexion à plus tard, sa fin de phrase m’interpelle beaucoup plus pour le moment.

« Qu’entends-tu par ‘surtout pour un loup’ ? »

On a pas mal parlé de mes nouvelles caractéristiques de loups avec ce professeur, mais je suis tout de même curieux d’en apprendre un peu plus, parce que c’est impossible qu’on est fait le tour en même pas une semaine. Oui, impossible de reprendre des milliers d’années d’histoire en quelques heures !

Codage par Libella sur Graphiorum

Pando

Need to beathe

Finalement, il n’aura pas fallu bien longtemps avant que je me ressente comme une bête de foire, comme la curiosité à devoir apprivoiser, et tout ça juste à travers un regard. Je prends sur moi, mais ça commence à devenir usant, de se sentir autant paumé, comme l’idiot du village qui sais rien et comprend rien. Je sais que c’est absolument pas ça, qu’au contraire ils essaient de m’intégrer, j’aimerais juste avoir quinze minutes, une demi-heure pour souffler, respirer et penser à rien. Pourtant je repars direct à la pêche aux informations quand j’en ai l’occasion. Curiosité quand tu nous tiens…

Finalement je n’apprendrais pas grand-chose de plus que ce que le professeur m’a déjà appris ou que je savais déjà. Cependant, à tous réagir de la sorte avec mes problèmes de saignement nez, ils vont finir par me faire peur. Oui ma transformation est « activé » même si j’ai aucune idée de comment j’ai fait cette prouesse, et la régénération à elle aussi eu lieu pourtant ce désagrément continue jour après jours.

« La régénération s’est faite, crois-moi, sinon je serais pas ici, mais sous terre depuis presque un an. Et oui je guérie plus vite aussi. Mais mon nez ça a continué, et je m’en porte pas mal, c’est juste ennuyant le temps que ça dur. »

Tout en parlant, je vérifie si ma cavité nasale c’est enfin décidé à coaguler, c’est le cas, si bien que je jette mon mouchoir dans la première poubelle que nous croisons.  

« Tu vois, fini. Dis, ça fait des jours que je suis enfermé dans ce manoir, et truc de loup, ou pas, j’ai besoin d’air frais ! Donc on pourrait pas commencer par les extérieurs ? Puis tu parlais de cellule et de force, mais t’as oublié le plus cool, la vitesse. Et je serais pas contre une petite démonstration, histoire de voir si je suis complètement à l’ouest à ce niveau-là ou si je maintiens le cap. »

Je lui adresse un sourire joueur. Est ce que je viens de le défié pour une course ? Oui et encore oui. Je croise même mentalement les doigts pour qu’il accepte, pour avoir cette pause dont j’ai besoin avant de péter un câble. Est-ce que la libération de la course est un truc de loup aussi ? Pour le coup j’aimerais bien, puis affronter un de mes semblable m’existerais presque, un esprit de compétition qui se développe en moi peut être. Je le regarde à nouveau, un peu plus défiant cette fois ci. Ouai je crois que je serais prêt à tout pour le convaincre et qu’au pire, c’est moi qui vais lui fausser compagnie.

Codage par Libella sur Graphiorum

Pando

Somebody Save Me

Si je ne souffle pas, j'accueil sa réponse avec un soulagement indécent. Sortir, prendre l'air, respirer un bol d'air bien frais, sentir la nature, l'herbe fraîchement coupé, les pins au loin, toutes les fleurs du jardins, tout ça me tarde déjà. J'en serait presque même tout grillerait, à sautiller dans les couloirs le temps d'atteindre la porte, en tout cas mentalement parlant c'est le cas. Cette légèreté ne dur pas, non, je me reprend la vérité, enfin plutôt mon ignorance en pleine tête. En une phrase, une seule petit phrase, et simple en plus, je me heurte à deux questions. Qui sont ses ennemies dont il fait référence ? Puis nous n'aurions pas de vitesse ? Je jugerais de courir bien plus vite qu'un humain, mais du coup serait-ce encore un écart entre moi et mes semblables ?  Tout ça commence vraiment à me blaser, ne rien comprendre, être différent et devoir toujours me justifier, si bien que j'hésite à lui poser mes questions. Ne suis-je pas déjà suffisamment passé pour un abruti ignorant et maladroit à souhait ? Remarque, peut être que ce serais la bonne stratégie, finir de m'afficher devant lui pour avoir de meilleurs base la prochaine fois. J'hésite un long moment avant de finir par m'accorder encore quelques questions, mais pas trop non plus pour ne pas le souler.

« Notre ennemie ? Désolé, comme tu l'as dis, je nage au milieu de toute cette nouveauté... »

Je lui adresse un sourire désolé. Finalement je ne poserait que cette ci pas vraiment désireux d'apprendre tout de suite, si en plus de mon sang, j'ai une rapidité anormal. Certes se deuxième point serait quand même plus avantageux, utile et plus agréable que le premier, cependant se ne serait qu'une raison de plus de me regarder avec de grand yeux. Puis je devrais le découvrir rapidement vue le nombre d'élève ici. Nous continuons d'avancer dans les couloir, et pour rompre le silence, le jeune homme me pose une question qui me surprend, parce que d'aussi loin que je m'en souvienne, personne ne me l'a jamais posé, ici ou ailleurs, même en remontant dans le temps. Bon faut dire que nous peuple amish, nous connaissons tous entre nous, puis nous ne sommes pas de grand voyageur.

« Je vient d'un tout petit village à l'est de Lynchburg, une bourgade quasiment inconnue. Et toi alors, tu viens d’où ? Tu es ici depuis longtemps ? »

Demandais-je autan par curiosité que pour détourner le sujet de moi et de mes origines. J'a pas honte d'avoir été Amish, et encore moins de ma vie de sauvage dans la foret, mais je suis pas sur que ces modes de vie aient leur place ici. Du moins c'est ce que j'en pense vus comment se professeur fait tout pour me « civiliser », et j'aimerais bien réussir à m’intégrer. Je peux pas nier que d'avoir de la compagnie est agréable, puis ça change que de parler à un loup qui ne vous répond jamais, la conversation est plus enrichissante.

Codage par Libella sur Graphiorum

Pando

Need to breath

Je me sent mal, comme l'idiot du vilage qui sais rien et comprend rien même en se donnant la peine d'essayer. Bon, certe je comprend, mais j'ai cette impression fortement désagréable d'avoir cette étiquette sur le front. Si je lui adresse un sourire désolé pour excuser mon ignorance fatigante pour tout les partie, je suis heureux de le voir me répondre  normalement, il reste calme, patient, et sa voix est neutre. Je le remercie intérieurement pour ça. Je grimasse un peu en apprenant que nos dents peuvent être coupable d'un tel crime. Si les vampires sont nos ennemies de par nos gènes, je compte bien quand même en rencontrer quelque un et me faire une idée par moi même. J'aime pas stéréotyper les gens, j'en ai trop fait l'objet pour beaucoup trop de point différent ! Puis comme l'a dit Alaric, si il nous mélange, c'est que la cohabitation est possible. Enfin, ce que je retient le plus, c'est cette arme situé dans ma mâchoire, et qui avec ma maladresse est entrain de me faire craindre le pire. « Mais...Il existe un antidote en cas de...enfin si jamais on venait à mordre ? » Je sais pas trop comment tourner ma phrase, j'ai l'impression que Nate ne porte pas ses créatures nocturne dans son cœur. Mais quand même, on ne se contrôle pas sous notre forme bestial, alors avoir une solution de retour en arrière serait quand même préférable non ?

La conversation fini par prendre une tournure moins scolaire, chose que j’apprécie une fois étonnement des questions passés. Faut dire que ça fait un baille, que j'ai pas eu une conversation comme celle ci. Nous nous connaissons tous dans la communauté, alors rencontrer des gens n'est pas très courant pour nous, comme le comprend rapidement le jeune loups face à moi. «Tu n'imagines même pas ! Et on est pas une ville très visité non plus » Mis a part quelque curieux et quelque jeune voulant foutre la merde. Bon et on va pas se mentir, on est pas très accueillant avec les pêcheur de l’extérieur... Je lui retourne ôliment la question et fini sourcil arqué, quand il me parle de ville de résidence, et intrigué par les voyages qu'il a pus faire. Encore une fois, je me sens vraiment con, je connais absolument pas le monde qui m'entoure et la façon de vivre des humains actuel. J'ai du mal a comprendre pourquoi des gens changerait de ville, pourquoi ils abandonneraient leur terre et leur maison ? Enfin c'est pas une question que je poserais. En revanche : « Tu as voyagé où ? Sur le continent, ou même au delà des océans ?» Je suis impressionné et ça s'entend dans ma voix, faut dire que même si j'ai testé la voiture, je réalise pas qu'on a fait tan de kilomètre que ça en si peu de temps, que eux traverse l'état en quelques heures alors que nos buggy mettent des jours et épuisent nos chevaux...

Une fois ma curiosité assouvie ou presque je lui demande si il est ici depuis longtemps et lui rend son sourire sans savoir quoi rajouter à cela. C'est pas si facile et pas si naturel que ça pour moi au final que de converser comme ça avec un inconnue. Nous franchisons enfin les maudties portes et je prend une enorme inspiration, heureux de retrouver de l'air fais dans mes poumons. Petit détails, mais je me sens tellement revivre en sentant toute ses odeur, le pollen qui me chatouille légèrement le nez, ça fait un bien fou, et dessine un énorme sourire sur mes lèvres alors que je m'étire les bras par réflexe. Nate sauve la conversation, que j’oubliais presque, me demandant comment je suis arrivé. Je tique intérieurement, j'ai pas envie de lui dire qu'on est venu m'arracher presque de force de ma forêt. Alors je trie rapidement les faits que je juge acceptable puis lui souri avant de hocher les épaules, l'histoire étant banale. « Mr Weilling est venu me chercher.»  Bon d'accord, c'est bien plus compliqué dans la pratique. Et peut-être qu'elle finira par être dévoilé au grand jour, mais pour le moment cette version minimaliste et simpliste me va très bien ! Puis j'ai pas envie de penser à Shaylee maintenant. J'observe les extérieurs, tout est bien plus coloré que lors de mes escapades nocturnes, les jardins ont l'air magnifique, entretenue à la perfection, et décoré de statu dont je n'avais pas remarqué la présence. « C'est magnifique. » Déclarais-je sûrement plus pour moi que autres choses alors que mes yeux continuent de balayer l'espace verdoyant. « Les grilles s'étendent loin ?» Demandais-je, non pas curieux de savoir si la cours était grande, mais plutôt pour en apprendre plus sur mes possibilités de m'échapper sans tomber sur le gardien, son cheval et son fouet !

Codage par Libella sur Graphiorum

Pando

Need to Breath

Sa réponse me perd un peu, enfin je suis pas plus avancé sur la possession ou non d'un remède à notre morsure. Ce qui est pas franchement rassurant d'un coté, mais d'un autre, si il y a jamais eu d'accident, c'est que le doyen doit vraiment être sur le qui vive à la pleine lune. Ça doit vraiment pas être facile de gérer tout ça, de faire cohabité des êtres qui se détestent naturellement. Et pourtant il à l'air de s'y prendre parfaitement bien, parce que même si Nate discrédite ses paroles, il n'a pas l'air de chercher plus de noise que ça aux sangsue, et je pense pas qu'on lui en demande plus, en même temps nous forcer à plus que s'ignorer serait contre-productif.

On en vient par la suite à parler de nos origines, de mon village, se troue perdu ou peu d'âme adepte de se siècle ne vient nous rendre visite, sauf pour des raisons obscure. Mais n'ayant connue que ça, je me contente de hocher les épaules lorsque Nathaniel prétend qu'il en est mieux ainsi. Lui retournant la question, j’apprends que le brun à voyager, se qui me rend curieux, rêveur même. En réalité j'ai des tas de question à lui poser, faut dire que c'est intrigant pour moi qui n'ai rien vus du monde, seulement à sa voix et au propos qu'il me tien, j'ai l'impression qu'il y a anguille sous roche, alors je reste dans des banalités. « Tu pourras toujours te laisser tenter plus tard, refaire ce que tu as oublie aussi.» Je me rend compte qu'apres que mes propos sont sûrement très maladroit, histoire de continuer dans le contexte quoi... Va vraiment falloir que je réfléchisse un peu avant de parler !

Nous avançons dans les jardins, l'air me fait un bien fou et j'en profite alors que la conversation continue. Cette fois nous abordons nos arrivé ici, et je suis vite mal à l'aise quand mon acolyte me demande ma réaction à tout ça. Je suis passée par pas mal d'état avant d'accepter ma condition, mais quand se fut fait, je dois avouer que j'ai fortement apprécier l'ensemble, et que je me suis jamais vraiemnt poser de question de si j’étais seul ou non avant de voir débarquer le wendigo. Je hausse à nouveau les épaules, avant de répondre avec une voix hésitante. « Je crois qu’après m'être accepté moi, je suis prêt à tout accepter.» Ou peut être pas, parce qu'il est clairement hors de question qu'on me prive à nouveau de ma liberté en m'enfermant dans une putain de cage à la pleine lune. C'est leur solution à tout que de nous enfermer ou quoi ? « Pardon ? Mais non ! Mes pates supporterons jamais ça ! » On aura pas le temps d’échanger plus que ça sur le sujet, le brun me montrant deux jeunes aillant une conversation plus que animer. Aller chercher un prof ? Oui ? Mais ou ? C'est pas comme si je connaissait autre chose que le bureau de Alaric et les appartement de Hazel ! Mais bon, je court vers l’établissement, sautant sur le premier adulte que je trouve. Je le mène au combat, le laissant faire par la suite jusqu'à ce que tout le monde m'abandonne là. Oh non je me plains pas, au contraire, je sourie un moment avant de partir courir dans les bois sans réfléchir.

Codage par Libella sur Graphiorum